Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • BREAKFAST CLUB (1985)
    Note : 14/20
    Un film de jeunes, mais aussi une courte réflexion sur leurs problèmes.
  • LES TARTARES (1960)
    Amours, combats, décapitations, duels : le lot habituel des films du genre. A regarder avec nonchalance entre la poire et le fromage.
  • LA DILIGENCE VERS L'OUEST (1966)
    Remake avoué de la célèbre "Chevauchée fantastique" de John Ford -1939- qui bien sûr n'arrive pas à égaler en beauté et en fureur son illustre modèle. Néanmoins, un western de bonne qualité qui se regarde sans déplaisir.
  • SUR LA RIVIERA (1951)
    Comédie musicale mineure qui n'intéresse que les inconditionnels de Dany Kaye dans ses numéros de danse époustouflants. Pour les idéalistes de la beauté féminine, la présence divine de l'éblouissante Gene Tierney qui donne toujours envie, pour ses beaux yeux, de vendre sa mère, de prostituer sa soeur, de renier son chien.
  • LA FEMME A ABATTRE (1951)
    Note : 15/20
    Excellent film "noir" américain, qui malgré une sortie discrète durant l'année 1951, devint rapidement un film-culte de cette époque bénie pour ses efficaces productions du genre mais que nous ne mettrons pas au pinacle comme bien des thuriféraires.
  • RAFLES SUR LA VILLE (1957)
    Note : 17/20
    Vraiment une réussite du genre, avec deux acteurs étonnants, Charles Vanel et Michel Piccoli, pour une oeuvre brillante et cynique, à la splendide photographie.
  • MAIGRET TEND UN PIÈGE (1957)
    Note : 14/20
    Film d'atmosphère où l'enquête fort bien menée, nous propose un sympathique film de divertissement. Avec en prime, d'excellents seconds rôles, et une parfaite reconstitution de qualité d'un arrondissement de la capitale.
  • LE RETOUR DU GRAND BLOND (1974)
    Note : 11/20
    Quelques gags plutôt bienvenus, dans une histoire somme toute bien moyenne. Toujours ce besoin navrant de rentabiliser à l'extrême un succès, en tournant d'impossibles remakes ou de fastidieuses et inutiles prolongations.
  • LOULOU (1980)
    Note : 11/20
    Sur le thème de la marginalité et son corollaire la bourgeoisie, un film relativement moyen, qui sans être une véritable réflexion sociologique, se laisse regarder.
  • LE RENDEZ-VOUS DE HONG KONG (1956)
    Note : 13/20
    C'est un peu mélodramatique et quelquefois un brin fastidieux, mais la présence du grand Clark Gable nous fera un peu fermer les yeux sur certaines invraisemblances du scénario et contentera le spectateur nostalgique. En prime et en positif, quelques scènes typiquement orientales fort réussies et d'une véracité certaine.
  • COUP DE TORCHON (1981)
    Note : 12/20
    Le sujet est simple, mais parfaitement maîtrisé. Le dialogue est caustique, les décors et les images, superbes. Excellent Noiret en personnage pathétique, au comportement fort loin des notions morales de Bien et de Mal.
  • RICHARD III (1955)
    Remarquable transposition et mis en scène de la célèbre pièce shakespearienne, retraduisant fidèlement la notion de tragédie, chère au théâtre anglais de l'époque et qui se regarde toujours avec un évident plaisir délectable.
  • L'HOMME DE FEU (1987)
    Note : 16/20
    Vraiment superbe !
  • LE TROISIÈME HOMME (1949)
    Note : 16/20
    Un classique du 7e Art qui reste incontournable, inamovible.
  • LES YEUX NOIRS (1987)
    Note : 18/20
    Drôle, émouvant, déchirant, un grand bonheur émotif et visuel qui nous réconcilie avec le cinéma. Une sublime et fine interprétation du grand Marcello Mastroianni dans son ineffable rôle de séducteur hâbleur et vélléitaire. Sabatchka !
  • LA TULIPE NOIRE (1963)
    Note : 10/20
    Un (petit) faux pas du metteur en scène Christian-Jaque qui nous avait habitué à des oeuvres quelque peu plus élaborées en général.
  • LA VILLE GRONDE (1937)
    Note : 16/20
    Excellent en tout point de vue, proche de la thématique dénonciatrice de "Fury" de Fritz Lang (1936), une oeuvre solide, révélatrice d'une certaine mentalité sudiste.
  • LE VIAGER (1971)
    Note : 13/20
    Comédie fort agréable et distrayante, avec une pléiade de vedettes diverses et variées, souvent en brèves apparitions (la fameuse bande à Papa Tchernia) qui semblent s'amuser comme de grands enfants déchaînés, pour notre plus grand plaisir. Divertissant et bienvenu, comme d'ailleurs tous les films du cinéaste.
  • UNE ALLUMETTE A TROIS (1932)
    Note : 12/20
    Un scénario fort ringard, mélodramatique à outrance dans lequel le destin des protagonistes s'enchevêtre étroitement. A voir par curiosité.
  • LA VIE A L'ENVERS (1963)
    Note : 16/20
    Le délicat thème de la folie douce, du glissement progressif d'un être vers une forme d'autisme triomphant est admirablement amené par une caméra lucide et attentive, proche de l'implacable constat clinique. Certainement le meilleur rôle de Charles Denner, l'homme qui n'aimait plus les femmes.
  • L'ETRANGE PASSION DE MOLLY LOUVAIN (1932)
    Note : 13/20
    Entre réalisme social et dramaturgie mélo.
  • VIVRE SA VIE (1962)
    Note : 16/20
    A nouveau Godard va remuer ses plus violents détracteurs et ses plus fervents exégètes qui, selon, vont appréhender le film comme une pochade de lycéen ou une géniale démonstration brechtienne des rapports humain face au social.
  • CUBA (1979)
    Note : 7/20
    Inédit en France (novembre 1986) un film totalement décevant, hésitant sans cesse entre la vision politique et la bluette sentimentale. Une solide rature d'un metteur en scène ayant fait illusion avec ses excellentes premières oeuvres.
  • MARIANNE DE MA JEUNESSE (1954)
    Note : 15/20
    Les prises de vue sont splendides dans leur limpide poésie, et la vision romanesque de l'adolescence particulièrement bien abordée, avec ses déchirantes rêveries et ses platoniques élans personnels.
  • L'AIGLE A DEUX TETES (1947)
    Note : 15/20
    Adapté de la célèbre pièce éponyme de Jean Cocteau, un film plein de bruit et de fureur à voir et à revoir absolument, qui intrigue et séduit notablement.
  • LIBERTY BELLE (1982)
    Note : 14/20
    Lumineux film politique montrant l'obscur travail des "porteurs de valises" et la lente prise de conscience d'un jeune homme face à l'idéologie ambiante et à l'éveil de ses sentiments. Mention spéciale pour la regrettée Dominique Laffin.
  • TUER N'EST PAS JOUER (1986)
    Note : 13/20
    Seizième adaptation des romans d'espionnage écrits par Ian Fleming, un film sympathique dans son délassement et ses gadgets, malgré moult invraisemblances.
  • LA LOI DE LA PRAIRIE (1955)
    Note : 15/20
    Troisième western de Wise qui reste une oeuvre secondaire dans sa filmographie.
  • LES BRONZES (1978)
    Note : 9/20
    Un film méchant, agressif et sarcastique qui tente de dénoncer la médiocrité d'une certaine conception estivale des vacances, mais qui n'arrive pas à prendre de la distance avec son sujet, restant d'une large superficialité et pétri d'esbroufe.
  • LE TEMPS DU CHÂTIMENT (1961)
    Note : 16/20
    Excellente réalisation menée tambour battant, malgré quelques moments bien bavards, elle s'inscrit dans un certain cinéma social efficace et attrayant.
  • POLICE PYTHON 357 (1976)
    Note : 15/20
    Un bon divertissement, tordu à souhait, qui se regarde avec beaucoup d'intérêt et dont les performances de la "vedette" principale (un des célèbres colts de la police nationale "le Python 357") sont vraiment renversantes !
  • TERESA (1951)
    Note : 11/20
    Un mélodrame fort moyen qui charrie des tonnes de bons et lourds sentiments et manque paradoxalement de véritable émotion. Un Zinnemann plutôt mineur.
  • BRITANNIA HOSPITAL (1982)
    Note : 12/20
    Une oeuvre d'origine britannique, grinçante et méchante, teintée d'une acidité constante, qui hélas, ne tient pas toutes ses promesses.
  • UN CAPRICE DE CAROLINE CHERIE (1952)
    Note : 11/20
    Mélo à la sauce historique, indigeste, digne des romans de gare et de garde.
  • BROADWAY DANNY ROSE (1984)
    Note : 11/20
    Une oeuvre mineure de Woody Allen qui n'enthousiasme jamais vraiment. Pourtant certaines scènes d'une cocasserie fort subtile resteront inoubliables. Cette relative déception peut s'expliquer par un scénario quelque peu vague et une multitude de petits rôles sans réelle consistance et dont l'existence est discutable.
  • LE PELERIN (1922)
    Note : 17/20
    Un humour d'une grande finesse d'observation et de psychologie pour un des grands classiques des films comiques de l'histoire du cinéma burlesque. En effet, c'est un vrai régal de voir Charlot officier devant une assistance coïte et médusée et nous narrer à sa façon la légendaire histoire de David et Goliath.
  • BOULEVARD DU CRÉPUSCULE (1950)
    Note : 19/20
    Génial, sublime et cinglant. Une décapante et meurtrière vision des milieux du cinéma d'hier, qui ne doivent guère être différents, aujourd'hui et demain.
  • PECHE MORTEL (1945)
    Note : 15/20
    Gene Tierney est vraiment fascinante et le film d'une excellente facture.
  • CHAIR DE POULE (1963)
    Note : 16/20
    Excellent film nocturne et crépusculaire du presque toujours séduisant Julien Duvivier, qui rappelle dans sa trame et sa densité le classique de Tay Garnett "Le facteur sonne toujours deux fois", avec une étonnante et superbe Catherine Rouvel dans le rôle somptueux d'une garce intégrale, proche dans sa vilénie et sa superbe de certains rôles similaires composés par l'incontournable Bette Davis...
  • PAROLES ET MUSIQUE (1984)
    Note : 6/20
    Pour ceux qui aiment le cinéma branché, les apparences, le flou, les "leloucheries".
  • L'ENFER EST À LUI (1949)
    Note : 18/20
    Film d'une extrême solidité quant à son habile scénario et sa constante richesse dans les scènes d'action. Une composition phénoménale de James Cagney en gangster névropathe, amoureux de sa petite maman et mégalomane violent.
  • LA NOUVELLE BABYLONE (1929)
    Note : 18/20
    Réalisé en huit étonnants tableaux avec comme thème central et fédérateurs les événements de la Commune de Paris, un film inoubliable d'une grande beauté plastique et d'un enthousiasme continu qui ne répugne nullement à s'immerger dans le baroque et le grotesque, d'une générosité indéniable et nimbé d'un authentique esprit révolutionnaire. A noter une exceptionnelle prestation de l'ensemble des acteurs et un dénouement d'un profond lyrisme poignant et bouleversant.
  • DAS INDISCHE TUCH (1963)
    Note : 9/20
    La série s'épuise et Alfred Vohrer s'enlise !
  • LE MUR (1983)
    Note : 17/20
    Un film puissant souvent insoutenable, déchirant, qui malgré son extrapolation géographique (il fut réalisé dans le sud de la France pour cause d'interdiction de tournage en Turquie) nous retrace l'absurdité et la cruauté du brutal régime militaire écrasant toute velléité de démocratie et de justice au pays. Pour notre part, on préfère cette oeuvre au célèbre "Yol" du même réalisateur, plus élaboré dans son ensemble.
  • FLAMBEURS (1980)
    Note : 8/20
    Atroce, insupportable, médiocre au possible et parfaitement incompréhensible, venant d'un metteur en scène sympathique et convaincant à ses débuts.
  • LES ENNUIS DE MONSIEUR TRAVET (1946)
    Note : 11/20
    Comédie bien moyenne, inédite en France (décembre 1986) qui dénonce avec plus ou moins de bonheur les us et coutumes d'un certain milieu fonctionnaire.
  • LÉGITIME VIOLENCE (1982)
    Encore un film sur le thème favori des années 1980, d'une extrême complexité dans le scénario trop touffu et avec un jeu d'acteurs plus qu'honorable.
  • LA MARIEE ETAIT EN NOIR (1968)
    Note : 16/20
    Un bon film, fait rare chez le cinéaste, qui se regarde sans ennui, sans déplaisir et pourrait inciter le spectateur littéraire à relire les excellentes nouvelles du grand William Irish. A noter la remarquable interprétation de Jeanne Moreau, en veuve noire.
  • LAURA (1944)
    Note : 19/20
    Un chef-d'oeuvre absolu du cinéma, le film noir par excellence, avec l'inoubliable Gene Tierney, pour un des plus beaux fleurons du film noir américain.
  • LA BELLE AMÉRICAINE (1961)
    Note : 14/20
    Comédie française plutôt réjouissante qui, sans faire dans la finesse excessive et la rare dentelle du rire, propose tout de même un agréable moment de détente cinématographique. Et rien que l'exceptionnelle pléiade d'acteurs présents ou de passage dans le film, vaut un déplacement parfaitement justifié.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
BOULEVARD DU CRÉPUSCULE (1950) 19
LAURA (1944) 19
LA NOUVELLE BABYLONE (1929) 18
L'ENFER EST À LUI (1949) 18
LES YEUX NOIRS (1987) 18
LE PELERIN (1922) 17
LE MUR (1983) 17
RAFLES SUR LA VILLE (1957) 17
LA MARIEE ETAIT EN NOIR (1968) 16
CHAIR DE POULE (1963) 16
LE TROISIÈME HOMME (1949) 16
LA VIE A L'ENVERS (1963) 16
VIVRE SA VIE (1962) 16
LE TEMPS DU CHÂTIMENT (1961) 16
L'HOMME DE FEU (1987) 16
LA VILLE GRONDE (1937) 16
PECHE MORTEL (1945) 15
MARIANNE DE MA JEUNESSE (1954) 15
LA LOI DE LA PRAIRIE (1955) 15
LA FEMME A ABATTRE (1951) 15
L'AIGLE A DEUX TETES (1947) 15
POLICE PYTHON 357 (1976) 15
LA BELLE AMÉRICAINE (1961) 14
LIBERTY BELLE (1982) 14
BREAKFAST CLUB (1985) 14
MAIGRET TEND UN PIÈGE (1957) 14
LE RENDEZ-VOUS DE HONG KONG (1956) 13
LE VIAGER (1971) 13
L'ETRANGE PASSION DE MOLLY LOUVAIN (1932) 13
TUER N'EST PAS JOUER (1986) 13
COUP DE TORCHON (1981) 12
UNE ALLUMETTE A TROIS (1932) 12
BRITANNIA HOSPITAL (1982) 12
LES ENNUIS DE MONSIEUR TRAVET (1946) 11
LE RETOUR DU GRAND BLOND (1974) 11
TERESA (1951) 11
UN CAPRICE DE CAROLINE CHERIE (1952) 11
LOULOU (1980) 11
BROADWAY DANNY ROSE (1984) 11
LA TULIPE NOIRE (1963) 10
DAS INDISCHE TUCH (1963) 9
LES BRONZES (1978) 9
FLAMBEURS (1980) 8
CUBA (1979) 7
PAROLES ET MUSIQUE (1984) 6