Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 33 films notés

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  • COPIE CONFORME (1946)
    Note : 14/20
    Un film avec Louis Jouvet reste toujours un agréable moment cinématographique, quel qu'en soit le réalisateur ou le scénariste et mérite ainsi le détour.
  • YOL (1982)
    Note : 15/20
    Dirigée depuis sa prison d'Ankara par le génial Yilmez Guney (en fait le véritable réalisateur du film), cette oeuvre grave et puissante dérange et séduit profondément.
  • IL ETAIT UNE FOIS LA REVOLUTION (1970)
    Note : 11/20
    Seconde partie du triptyque de Sergio Leone, après "Il était une fois dans l'Ouest" et avant "Il était une fois l'Amérique". C'est une oeuvre sympathique, toujours bienvenue, mais quelquefois considérée comme mineure dans la trilogie léonienne.
  • LA VEUVE NOIRE (1986)
    Note : 14/20
    Excellent travail, entre thriller, ambiguïté, comédie psychologique, un superbe moment de détente, avec des acteurs parfaitement convaincants.
  • LIAISONS SECRÈTES (1959)
    Note : 12/20
    Intéressante chronique un peu désabusée, sur l'adultère, le mal de vivre, la conformité comportementale dans la société américaine, et du même coup une sympathique, quelquefois ennuyeuse vision des rapports humains.
  • CASINO ROYALE (1967)
    Note : 11/20
    Enorme pastiche du film d'espionnage, une oeuvre totalement dingue et farfelue ponctuée à travers ses gags, de multiples références cinématographiques. Un délire visuel et sonore auquel, pour notre part, on n'adhère pas.
  • LE BOUNTY (1984)
    Note : 12/20
    Adaptation fort moyenne présentée en clôture du Festival de Cannes 1984.
  • WINDWALKER (1980)
    Note : 17/20
    Une superbe et documentée reconstitution des moeurs et du vécu des Peaux-Rouges, loin du clinquant et de la frime hollywoodiennes, qui a le mérite, curieux et sympathique, d'avoir été réalisé entièrement en idiome indien.
  • LA ROMANCE DES AMOUREUX (1974)
    La première partie du film est vraiment excellente par son étonnante sensualité et son dionysiaque hymne à la nature. Malheureusement la seconde partie se tire lamentablement en longueur avec éternels retrouvailles, inévitables épousailles et nativité. Quelques plans insistants sur la flotte soviétique.
  • LE DIAMANT DU NIL (1985)
    Note : 6/20
    Devant le fréquent et grandissant succès commercial de certains films "aventuriers", "spielbergiens", les rapaces producteurs se lancent dans de multiples resucées bien pâles de ce genre cinématographique fort couru.
  • ON EST VENU LA POUR S'ECLATER (1979)
    Inutile de se déplacer !
  • L'INTROUVABLE RENTRE CHEZ LUI (1945)
    Note : 14/20
    Grand succès critiques et public et financier de la Métro Goldwyn Mayer, qui fit une lucrative affaire dans la création de cette série d'aventures policières avec les mêmes personnages, confrontés à de complexes intrigues criminelles.
  • LE FLIC DE BEVERLY HILLS 2 (1986)
    Ce film a tous les ingrédients d'un bon policier, avec en prime quelques notes d'humour grâce à Murphy. Une déception tout de même.
  • LA MORT EN DIRECT (1979)
    Note : 11/20
    Oeuvre "fantastique" qui malgré un sujet en or n'arrive jamais à nous envoûter.
  • NEXT OF KIN (1982)
    Note : 15/20
    Un étonnant petit film australien qui oscille avec efficacité entre fantastique et policier plaidant fortement pour la découverte d'un cinéma jusqu'à présent marginalisé.
  • CONDAMNÉ AU SILENCE (1955)
    La plupart des scènes se déroulent dans des bureaux et des casernes, et passe difficilement à l'écran. Le réalisateur a pourtant du mérite : il n'a pas craint de braver la censure et l'état major américain et il a aussi dirigé un Gary Cooper très convaincant.
  • LE MORS AUX DENTS (1979)
    Note : 12/20
    Sympathique réflexion sur les magouilles sinistres des tenants et aboutissants du "Pouvoir", la compromission d'une certaine classe dirigeante ou affairiste pour qui le scandale, les coups tordus, le chantage et le meurtre sont monnaie courante.
  • MORT D'UN POURRI (1977)
    Thriller efficace et alerte, politiquement médiocre dans sa dénonciation superficielle. Un sujet en or pour des cinéastes comme Elio Petri ou Damiano Damiani.
  • LE LIEU DU CRIME (1986)
    Note : 10/20
    Film sur la fuite, la frustration, l'impossible quête, entre douloureuse réalité et dramatique destinée, réalisé par un Téchiné qui nous laisse indifférent.
  • LES PORTES DE LA NUIT (1946)
    Note : 17/20
    Ecrit à l'origine pour les acteurs Marlène Dietrich et Jean Gabin, un film qui fut traité avec mépris par la critique de l'époque, mais qui à l'aune du temps, a été réévalué jusqu'à devenir un véritable "classique" du cinéma français représentatif du célèbre réalisme poétique du metteur en scène Marcel Carné.
  • LA MONTAGNE MAGIQUE (1982)
    Sans vraiment y parvenir, Geissendorfer a tenté de retraduire un chef-d'oeuvre de la litterature mondiale dans son contexte historique et morbide. Notons à sa décharge que la version distribuée en salle est un malheureux "saucissonnage" de l'original télévisé qui dure pas moins de sept heures.
  • LE MAÎTRE DE GUERRE (1986)
    Note : 11/20
    Superbe interprétation de Clint Eastwood dans un film au discours fort ambivalent.
  • UNE FEMME MARIÉE (1964)
    Note : 10/20
    Interdit pendant deux mois à sa sortie en octobre 1964 par les féroces et sournois censeurs de l'époque, un film fort bavard, d'un ennui fréquent, malgré certains coups de génie dans l'écriture cinématographique.
  • LA MOME VERT-DE-GRIS (1953)
    Chanteuse de cabaret sulfureuse, imprésario corrompu, kidnapping expéditif sur un cargo, tous les ingrédients de la Série Noire sont réunis dans cette aventure policière où Eddie Constantine alias Lemmy Caution se paie la part du lion et de la lionne. Premier film de cet acteur-chanteur qui débuta ici une longue et pas toujours digeste série, dans la peau du séduisant inspecteur américain.
  • LE MARGINAL (1983)
    Un film relativement mineur de Jacques Deray qui nous avait habitués à de bien meilleures mises en scène dans le passé et qui par cette oeuvre sans réelle consistance, semble vouloir rejoindre définitivement le peloton indistinct des réalisateurs lourdement commerciaux voire insipides.
  • MARTIN (1977)
    Note : 14/20
    Un intéressant et curieux "Romero" !
  • L'OEIL DU MALIN (1965)
    Note : 12/20
    Un brin de sorcellerie, une once de panthéisme, un peu de conspiration pour un film intéressant mais un peu bâclé. Le cinéaste utilise bien trop souvent les mêmes scènes-chocs, la même répétition d'images pour tenter d'installer l'angoisse.
  • LE MOME (1986)
    Oeuvre pesante et bancale d'un metteur en scène dont la filmographie oscille désormais entre le moyen et le mauvais, voire le pire.
  • L'ENTOURLOUPE (1980)
    Pirès est et reste un tâcheron du 7e Art qu'on suit plus ou moins attentivement.
  • NIAGARA (1953)
    Note : 15/20
    Un excellent film noir américain, traversé par la haine et la passion, qui nous vaut quelques splendides prises de vue sur les chutes du Niagara, et les non moins époustouflantes chutes de reins de Marilyn Monroe.
  • LE MONDE SELON GARP (1982)
    Note : 13/20
    Le film peut apparaître comme fort plaisant, voire agréable pour qui n'a pas lu l'excellent roman éponyme de John Irving. En fait, il se résume malheureusement à une approximative et pâle adaptation souvent lourde et incertaine.
  • GUERRE ET PASSION (1979)
    Amour, famille, patrie. Un récit conventionnel, correctement filmé, où l'ennui fait de fréquentes apparitions, entre mélodrame sur fond de guerre et morale d'arrière-saison. Une oeuvre d'une honorable moyenne, mais sans réel intérêt.
  • PRÉPAREZ VOS MOUCHOIRS (1977)
    Note : 12/20
    Jeux de mots et d'acteurs fort consistants sur fond d'habituelle et récurrente misogynie dans une oeuvre plutôt déconcertante.
  • LE PAPE DE GREENWICH VILLAGE (1984)
    Note : 9/20
    Une penible deception.
  • 15 AOUT (1986)
    Note : 15/20
    Sympathique et bienvenu.
  • LES SOUS-DOUES EN VACANCES (1981)
    Note : 4/20
    Banal, comme quasiment toute la série, plein de stéréotypes navrants et d'une constante médiocrité, une opération commerciale qui résume bien la nullité d'un certain cinéma comique ou prétendu comme tel, de notre triste production hexagonale.
  • LE PASSAGE (1986)
    Note : 5/20
    Une oeuvre prétentieuse, lourdement maladroite avec un Delon insupportable.
  • I LOVE YOU JE T'AIME (1978)
    Une petite comédie fort sympathique d'un metteur en scène de talent qui mélange adroitement la romance avec l'humour, le romantisme et l'action.
  • LE GENDARME ET LES EXTRA-TERRESTRES (1978)
    Note : 5/20
    Navet commercial insondable qui tente d'exploiter jusqu'à la moelle la mythique équipe des loufoques pandores. Les ufologues et autres humoristes en herbe en seront pour leurs frais. Le spectateur hélas aussi !
  • LE SECRET DE MON SUCCÈS (1986)
    Eloge gnangnan de l'arriviste à la mode yankee, cette oeuvre platement réalisée laisse parfaitement indifférent.
  • LIÉS PAR LE SANG (1979)
    Tiré par les cheveux, tarabiscoté à outrance, de quoi avaler un tube d'aspirine.
  • LES NUITS ROUGES DE HARLEM (1971)
    Note : 13/20
    Film d'action bien mené, mais dont la réalisation manque de densité. A noter le statut du privé noir, à une epoque où le racisme culturel commençait à s'effriter.
  • LE SIXIÈME SENS (1985)
    Note : 15/20
    Excellente adaptation d'un superbe thriller d'angoisse à lire absolument !
  • 1941 (1979)
    Note : 8/20
    Une histoire complètement délirante où l'on découvre, entre autres, les effets d'une bombardier sur une séduisante Américaine, l'obsession du canon et de la défense chez un Yankee moyen et la passion secrète d'un général cinéphile. Cinquième long métrage de Spielberg, beaucoup moins connu que ses autres réalisations, qui déçoit fortement par sa morne surenchère de gags élimés.
  • L'OR DANS LA MONTAGNE (1938)
    Note : 14/20
    Drame sur l'indépendance et la liberté individuelle, magistralement interprété par Jean-Louis Barrault. Ce film mérite une rapide reprogrammation dans les circuits de distribution de l'Hexagone. Une heureuse surprise.
  • LE TARTUFFE (1984)
    Gérard Depardieu pour sa première mise en scène cinématographique reprend les mêmes partenaires qu'au théâtre et nous propose un agréable divertissement, sans surprise ni déception. Pourquoi pas et à défaut.
  • C'EST PAS MOI, C'EST LUI (1979)
    Un excellent numéro de Pierre Richard dont les gags, malgré un scenario des plus éculés, avec les inévitables quiproquos, "cocufiages" et autres banalités de rigueur, respirent de temps à autre, la nouveauté, l'inédit, la fraîcheur créative. Bien sûr, on est encore loin de Chaplin, Keaton, Sennett et autres consorts.
  • LA PASSANTE DU SANS-SOUCI (1981)
    Note : 12/20
    Une oeuvre sympathique qui mérite toute notre attention et notre intérêt,
    même si la technique n'est pas toujours bien maîtrisée.
  • LE THÉ À LA MENTHE (1984)
    Une comédie dramatique des plus suaves, largement éloignée des quotidiennes réalités du racisme, qui vaut surtout pour l'exceptionnelle performance de l'actrice incarnant la mère. Un ensemble plus sympathique que réellement convaincant.
  • ARABESQUE (1965)
    Note : 14/20
    Le film, un peu boudé par la critique, sans doute parce que le genre "espionnage" s'éloigne beaucoup de la comédie musicale, est pourtant parsemé de malice et de fantaisie. Du générique à la poursuite finale en hélicoptère, c'est un spectacle explosif, une oeuvre habile, presque reniée par son metteur en scène.