inconnu(e)
Il y a Spielberg le bon réalisateur et Spielberg l'Américain. Ces deux personnes ne peuvent cohabiter sous le même crâne et ici c'est l'Américain qui réalise. Caricature, satire de l'Amérique? C'est à espérer car tous les personnages du film sont bons pour l'internement, voire l'euthanasie. On se demande si les monteurs ne se sont pas trompés en collant un générique prestigieux (Spielberg-Zemeckis-Williams) à ce vrai cirque, emmerdifiant de surcroît... et bien non, c'est du Spielberg, et qui ne craint pas de l'affirmer! Un point positif : après çà, je vais de nouveau apprécier les bidasseries des Charlots.