Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • HOT SPOT (1990)
    Note : 16/20
    Une oeuvre magnifique et trouble.
  • L'OEIL AU BEUR(RE) NOIR (1987)
    Sociologiquement, un film d'époque ; sur fond de racisme, de chômage, de crise de logement, une oeuvre décapante et souvent drôle (ce qui est rare pour un premier film) avec des acteurs éclatants de fraîcheur et de spontanéité pour un scénario fort sympathique et toujours bienvenu.
  • LA DÉCHIRURE (1984)
    Note : 16/20
    Une oeuvre superbe d'une gravité et d'une émotion exceptionnelles qui reste un grand moment de cinéma et le meilleur film du metteur en scène.
  • SUIVEZ-MOI JEUNE HOMME (1958)
    Une oeuvre finalement fort gentillette !
  • JE SUIS PHOTOGÉNIQUE (1979)
    Note : 14/20
    Sans être un inoubliable chef-d'oeuvre, ce film mérite bien des considérations.
  • LES ANNÉES DÉCLIC (1983)
    Note : 15/20
    Plus qu'une simple description narcissique, ce film évoque 25 d'Histoire, histoires des peuples qui luttent pour leur survie, histoire des témoins de cette Histoire.
  • LES AFFAIRES PUBLIQUES (1934)
    Note : 14/20
    Lorsqu'on connaît l'extrême rigorisme et le sobre dépouillement de l'oeuvre à venir de Bresson, on ne peut qu'être (positivement) étonné de cette frénésie visuelle.
  • LA DÉSENCHANTÉE (1990)
    Note : 14/20
    Surtout d'excellents seconds rôles !
  • CONAN LE DESTRUCTEUR (1983)
    Note : 10/20
    Une sequel de plus d'où seuls surnagent quelques effets spéciaux.
  • J'AI ENGAGÉ UN TUEUR (1990)
    Note : 14/20
    Le plaisir de retrouver Jean-Pierre Léaud dans une oeuvre "minimaliste" et mortellement décontractée, une marque de fabrique du nordique cinéaste !
  • LA DIXIÈME SYMPHONIE (1918)
    Note : 17/20
    Une rareté de qualité !
  • LES SEVICES DE DRACULA (1971)
    Note : 8/20
    "Dracula" n'existe que dans le titre "accroche-spectateur" de cette oeuvre décevante où seul Peter Cushing arrive à tirer son épingle du jeu.
  • THEODORA IMPERATRICE DE BYZANCE (1953)
    Note : 14/20
    Pour retrouver la sulfureuse beauté de Gianna Maria Canale.
  • HOLLYWOOD EN FOLIE (1938)
    Rien à retenir de particulier dans cette production fort quelconque.
  • LE FUTUR EST FEMME (1984)
    Note : 11/20
    Pas de quoi crier au divin miracle !
  • CLEOPATRE UNE REINE POUR CESAR (1962)
    Uniquement pour la savoureuse composition de Pascale Petit !
  • JE T'AIME À TE TUER (1990)
    Note : 13/20
    Comédie alerte où se bouscule une amusante galerie de seconds rôles.
  • L'HOMME À LA PEAU DE SERPENT (1960)
    Note : 16/20
    Sidney Lumet, dans ses meilleurs jours !
  • FROID DANS LE DOS (1959)
    Note : 13/20
    Une oeuvre fort sympathique où les éléments naturels ont largement le "beau rôle" et dont la photographie est excellente voire quelquefois splendide.
  • S.A.S. A SAN SALVADOR (1982)
    Décidément Raoul Coutard aurait mieux fait de rester derrière la caméra, comme chef-opérateur, et de ne pas s'aventurer à la réalisation. C'est constamment médiocre.
  • LA NUIT DU LENDEMAIN (1968)
    Note : 11/20
    Une intrigue scénaristique plutôt fort banale, sauvée par la présence de Marlon Brando et Richard Boone, inquiétants à souhait.
  • LE TEMOIN À ABATTRE (1955)
    Note : 13/20
    Honnête film noir américain d'où se détache la prestation de Robinson.
  • MON VINGTIEME SIECLE (1988)
    Note : 16/20
    Premier long métrage d'une jeune réalisatrice hongroise, pigmenté d'un foisonnant déferlement d'idées suaves et de situations baroques, balisant l'effervescence d'une période charnière où les découvertes scientifiques, comme le télégraphe sans fil, s'acoquinent avec les pigeons voyageurs, le féminisme naissant avec de rances théories machistes jusqu'aux animaux qui revendiquent leur liberté ou leur part de rêve.
  • LA VENGEANCE AUX DEUX VISAGES (1961)
    Note : 12/20
    Un formidable échec financier pour une oeuvre fort bancale qui durait à l'origine, dans sa totalité pas moins de 4 heures 42 ! Ceci expliquant peut-être cela.
  • MODEL SHOP (1968)
    Note : 14/20
    Malgré un certain coup de vieux, le film reste sereinement attachant.
  • EROICA (1958)
    Note : 15/20
    Un film qui gagne à se revoir !
  • LES RÉVOLTÉS DU BOUNTY (1962)
    Note : 16/20
    Du grand spectacle, incontestablement. Tous les ingrédients nécessaires à une brillante réussite du film d'aventures se retrouvent réunis, exotisme en plus.
  • L'ENTERREMENT DU SOLEIL (1960)
    Note : 12/20
    Tableau sans concession d'un monde interlope sur fond de misère et de déchéance dont on retient surtout les vingt dernières minutes.
  • LENINGRAD COWBOYS GO AMERICA (1989)
    Note : 13/20
    Malgré la légèreté d'un scénario des plus tenus et un humour pas toujours bienvenu, le film se regarde tout de même, avec le sourire, sans aucun déplaisir.
  • MORITURI (1965)
    Note : 14/20
    Quelques longueurs préjudiciables à l'ensemble ; Brando et Brynner, égaux à eux-mêmes et des acteurs de seconds rôles convaincants.
  • LE DIABLE AU CORPS (1986)
    Note : 15/20
    Un excellent film dont le vulgum pécus ne retiendra qu'une seule scène.
  • LE PROVINCIAL (1990)
    C'est prétentieux et niais comme les habituelles productions du genre.
  • L'AMI AMÉRICAIN (1977)
    Note : 16/20
    Du travail de qualité, riche et dense qui honore le 7ème Art.
  • DÉTECTIVE (1985)
    Note : 8/20
    On ne peut absolument pas dénier au metteur en scène Jean-Luc Godard une constante originalité dans la recherche cinématographique, ni quelques dérangeantes facilités proches de la fumisterie et de l'arnaque intellectuelles.
  • TOUCHE PAS A MA FILLE (1989)
    Note : 11/20
    Délassant, pourquoi pas !
  • AU FIL DU TEMPS (1975)
    Note : 17/20
    Un superbe "road-movie" d'une évidente et lumineuse profondeur.
  • ROSE BONBON (1985)
    Note : 9/20
    Une bluette bébête sans intérêt.
  • GUNMEN (1988)
    Note : 14/20
    Polar rapide et percutant aux spectaculaires moments d'action d'une violence extrême. Le reste est nettement plus banal et plus convenu.
  • COUPABLE RESSEMBLANCE (1989)
    Note : 13/20
    Un bon moment de cinéma d'action qui délasse et passionne quelquefois.
  • TORCH SONG TRILOGY (1988)
    Note : 14/20
    Une peinture de l'homosexualité plus mature que ce à quoi le cinéma américain nous avait habitués. L'interprétation est remarquable.
  • NOUVELLE VAGUE (1990)
    Note : 15/20
    Un "Godard" incontournable qui présente un réel intérêt (enfin).
  • SUMMER IN THE CITY (1970)
    Note : 5/20
    Long métrage réalisé à la "Hochschule" pour "Fernsehen und Film". Il faut vraiment beaucoup de patience au spectateur pour parvenir à visionner dans son intégralité cette réalisation exaspérante qui lorgne parfois du coté de Jean-Marie Straub mais n'en atteint jamais la rigueur ni la poésie, même si en filigranes apparaissent déjà les thèmes majeurs du réalisateur Wim Wenders : la solitude urbaine et l'errance.
  • LES FOUS DE BASSAN (1986)
    Les bonnes intentions ne sont pas suffisantes et l'oeuvre manque profondement de densite.
  • MORSURES (1979)
    Note : 7/20
    Vraiment rien à se mettre sous la dent, dans ce film ennuyeux et poussif à la fois, dont on ne peut retenir, en se forçant un peu, que la scène de l'incendie final.
  • HAMMETT (1981)
    Note : 15/20
    Une excellente oeuvre (encore) de Wim Wenders qui arrive merveilleusement à retraduire l'ambiance feutrée et violente des films "noirs" américains.
  • MISERY (1990)
    Note : 14/20
    Prenant en tous points !
  • IL Y A DES JOURS ET DES LUNES (1989)
    Note : 4/20
    La quintessence du "style" Lelouch qui nous refait à nouveau le coup du film puzzle -aujourd'hui appelé "film choral" (cf. "Les uns et les autres" et "Viva la vie") où s'entrecroisent les destins d'une bonne trentaine de personnages dont les existences, a priori, n'appellent à aucune interférence évidente. Ce n'est pas connaître Lelouch. On fait dans le nombre et le hasard pour faire plus riche et plus convaincant. On assiste à la parfaite illustration d'un cinéma qui privilégie la forme sur le fond. Des personnages sans réelle consistance qui ne servent que de supports à des plasmas existentiels tentant d'illustrer les difficultés relationnelles du Couple dans une schématisation naïve et benoîtement simpliste par-delà son honnêteté mégalomane. Cinéma de la fermeture, de la non-réflexion, du res(senti) primaire qui se suffit à lui-même, alimentant une procession d'images d'Epinal et d'évidences piétinantes. Cinéma du vide, rassurant, imperméable à toute réflexion analytique de fond pour le spectateur "lénifié". La cruelle inconsistance des personnages qui ne sont que des représentations rigides, codifiées (jusque dans leur dénomination dans le scénario) d'affects archétypés pourrait, à l'extrême, permettre l'interchangeabilité des rôles sans que le film en perde son sens ou sa démonstration. Cinéma simpliste, réducteur qui n'est qu'un ressassement de lieux communs, de sentiments connus d'avance, sans mystère ni profondeur.
  • DOC'S KINGDOM (1987)
    Note : 14/20
    Envoûtant.
  • L'OBSERVATEUR (1988)
    Note : 15/20
    En filigrane de l'éternel et rugueux problème ethnique et relationnel, un solide hymne à la nature qui ne fait qu'intensifier la stupidité de certaines réactions humaines.
  • L'ARDENTE GITANE (1956)
    On reconnaît malgré tout la patte experte du metteur en scène Nicholas Ray, même si ce dernier s'est totalement désinvesti du scénario.