Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 40 films notés

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  • TOKYO-GA (1985)
    Note : 11/20
    Une oeuvre assez vaine qui ne vaut le détour que pour l'approche passionnée et documentée de la vie et de l'oeuvre du grand réalisateur Yasujiro Ozu.
  • LA TOUR (1928)
    Note : 15/20
    Une curiosité incontournable !
  • LA TABLE-AUX-CREVÉS (1951)
    Un plaisir certain de retrouver l'excellent Fernandel.
  • L'ÉTAT DES CHOSES (1982)
    Note : 16/20
    Réalisée durant l'arrêt de tournage temporaire de "Hammett", une oeuvre excellente, d'un large foisonnement thématique, superbement réalisé, à une époque où Wim Wenders avait encore bien des choses à nous dire.
  • NOGENT ELDORADO DU DIMANCHE (1929)
    Note : 16/20
    Une oeuvre pleine de fraîcheur et de spontanéité qui donne la part belle, aux jeux d'ombres et de lumières irisés par les incessants reflets de l'élément liquide.
  • J'ACCUSE (1918)
    Note : 15/20
    Une oeuvre fort théâtralisée d'Abel Gance qui tourna en 1938, une version parlante. Dommage que Gance appuie trop sa démonstration quant à la bêtise et l'horreur de la guerre. Et ce n'est pas l'insertion de prises de vue réellement tournées durant la Première Guerre Mondiale, ni la lecture de lettres de soldats qui sauvent le film d'un pesant accent mélodramatique presque constant, au bord du ridicule quant aux rapports variables entre les deux "prétendants". Reste une exceptionnelle prestation de Severin-Mars en mari jaloux et quelques plans d'une fulgurante beauté esthétique.
  • LES MOISSONS DE LA COLERE (1984)
    Note : 14/20
    Une cinglante et courageuse dénonciation de la politique reaganienne vis-à-vis du milieu agricole yankee. De plus, la réalisation est particulièrement efficace et solide.
  • LA VIE EST À NOUS (1936)
    Note : 16/20
    Documentaire essentiel sur le thème du cinéma de propagande, rarement distribué.
  • D'OÙ VIENS-TU JOHNNY ? (1963)
    Rien à retenir de cette oeuvre naïve et fatigante, d'une lourdeur incommensurable qui ne mérite aucune ligne (de critique ou de coke) supplémentaire.
  • L'ANGOISSE DU GARDIEN DE BUT AU MOMENT DU PENALTY (1972)
    Note : 13/20
    Oeuvre intéressante qui n'arrive pourtant jamais à la qualité et la densité du roman.
  • LES HONNEURS DE LA GUERRE (1960)
    Note : 15/20
    Une oeuvre rare et bienvenue, dénonçant avec précision et tranquillité, l'absurdité de la guerre et des conflits de toutes sortes, au détriment d'une saine joie de vivre, épicurienne et nonchalante. On comprend fort bien que les tartuffes gallonnés et les ganaches médaillés de nos sombres casernes aient pu vitupérer devant un tel discours hédoniste et pacifiste, les mettant magnifiquement au rebut et au chômage.
  • ATTACHE-MOI ! (1989)
    Note : 10/20
    Une déception, considérant l'oeuvre antérieure du génial réalisateur.
  • LES HOMMES QUI MARCHENT SUR LA QUEUE DU TIGRE (1945)
    Note : 11/20
    On ne peut pas dire que cette oeuvre courte, qui subit à la fois la censure américaine et japonaise, apporte quoique ce soit à la gloire du grand réalisateur. Pas vraiment de quoi s'enthousiasmer dans cette histoire qui reste ancrée dans la pensée et le "folklore" nippons.
  • PROMIS... JURE ! (1987)
    Sur le thème classique de l'enfance durant la guerre, le film n'arrive jamais à émouvoir, encore moins à captiver, sans pour autant devenir insipide ou quelconque.
  • SAINT MICHEL AVAIT UN COQ (1971)
    Note : 14/20
    Sobre, austère, intelligent !
  • LE PLUS DIGNEMENT (1944)
    Note : 13/20
    Malgré un évident arrière-fond idéologique marqué, le film ne s'égare pourtant jamais dans les classiques arcanes de l'œuvre de propagande dithyrambique lourdement orientée, permettant au réalisateur de peaufiner, et son style et sa façon quelque peu empathique de filmer des individualités en action ou en questionnement.
  • DESPERATE HOURS (1990)
    Note : 14/20
    Après l'échec manifeste du "Sicilien", Michael Cimino signe un polar solide qu'il court-circuite à son avantage, servi par des comédiens ingénieusement distribués.
  • LES CLOCHES DE SILÉSIE (1972)
    Note : 8/20
    Une prétentieuse parabole caricaturale qui se cristallise sur la mauvaise conscience de l'Allemagne renaissante, aux propos souvent incohérents et confus, provoquant une saine irritation et un refus conséquent.
  • JE NE REGRETTE PAS MA JEUNESSE (1946)
    Note : 15/20
    Un splendide portrait de femme, incarnée par une remarquable actrice nippone, connue pour ses rôles et ses compositions principalement dans les dernières œuvres du grand metteur en scène Yasujiro Ozu. Pour cette réalisation quelque peu oubliée ou méconnue dans la filmographie d'Akira Kurosawa, on est en présence d'un film éminemment politique qui mérite une rapide et nécessaire réhabilitation.
  • L'IRLANDAIS (1986)
    Beaucoup de clichés, un scénario fort linéaire et prévisible où seule, la prestation de Mickey Rourke mérite quelques attentions.
  • KILL ME AGAIN (1989)
    Note : 15/20
    Un excellent polar, tordu à souhait !
  • UN MERVEILLEUX DIMANCHE (1947)
    Note : 14/20
    Septième long métrage d'Akira Kurosawa qui, malgré une séquence finale dans l'amphithéâtre désert, sous les rafales d'un vent tenace, d'une excessive et inutile longueur, lestée de quelques scènes lourdement répétitives et surnuméraires, déroule une agréable histoire d'une infinie tendresse, qui par bien des côtés rappelle, avec bonheur et luminosité, certains personnages inoubliables des films de Frank Capra.
  • DANSE AVEC LES LOUPS (1990)
    Note : 17/20
    Un évident et superbe chef-d'oeuvre du genre.
  • EFFRACTION AVEC PRÉMÉDITATION (1983)
    Note : 8/20
    Rien à retenir de ce médiocre film tourné sans aucune inspiration.
  • LE DUEL SILENCIEUX (1949)
    Note : 15/20
    Considéré jusque dans les années 60 comme un dramatique fléau social, la syphilis n'est ici qu'un épiphénomène du questionnement cinématographique du réalisateur qui pose en fait les incontournables et cruciales interrogations sur le désir et la morale, l'égoïsme et la compassion, le souhait de fonder une famille et l'intégrité physique de l'autre. D'une pertinente intelligence réflexive, ouverte à bien d'autres situations conflictuelles, cette oeuvre rarement distribuée souffre néanmoins de sa constante claustrophobie et de son confinement, conséquents à une adaptation trop rigoureuse de la pièce de théâtre originelle signée de Kazuo Kikuta.
  • L'EVEIL (1990)
    Note : 14/20
    Superbe interpretation du duo Robert de Niro / Robin Williams.
  • LA FOLLE HISTOIRE DE L'ESPACE (1987)
    Des gags par dizaines qui s'enchaînent sans discontinuité.
  • L'ANGE IVRE (1948)
    Note : 15/20
    Une excellente oeuvre humaniste !
  • ROCKY 3 : L'OEIL DU TIGRE (1982)
    Une apologie de la boxe, de l'effort, du dépassement, des States.
  • LE JEU DU TUEUR (1987)
    C'est nul du debut a la fin.
  • SCANDALE (1950)
    Note : 15/20
    Ferme et cinglante dénonciation d'une certaine presse sans scrupule, sur fond d'humanisme et de rédemption chers au célèbre metteur en scène.
  • CALMOS (1975)
    Note : 2/20
    Une oeuvre vomitive entre humour graveleux et misogynie exacerbée.
  • BLACK RAINBOW (1989)
    Note : 9/20
    Malgré l'agréable présence de Rosanna Arquette, le film n'arrive jamais à intéresser vraiment, oscillant sans cesse entre thriller social et fantastique post-mortem.
  • LA FORTERESSE CACHEE (1958)
    Note : 14/20
    Surtout pour la prestation du grand Toshiro Mifune.
  • GÉNIAL MES PARENTS DIVORCENT (1990)
    Sans intérêt quelconque, une oeuvre qu'on oublie très vite.
  • LA JOIE SILENCIEUSE (1985)
    Note : 15/20
    Une oeuvre étonnante de sensibilité et de maîtrise qui montre le long cheminement d'une femme "sous influence" vers une autonomie et une indépendance existentielle, sereine et libératrice et qui confirme à nouveau la richesse du cinéaste.
  • LES SALAUDS DORMENT EN PAIX (1960)
    Note : 15/20
    Une oeuvre tourmentée, fort longue (181 minutes), d'une constante noirceur qui fait penser au dramatique fatum des personnages shakespeariens.
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (2) (1960)
    Note : 11/20
    Le bon cinéma de papa qui fleurissait début des années 1960, bien gentillet et tout propret, où Henri Decoin est loin d'affirmer son réel talent de cinéaste.
  • LE PAYS BLEU (1976)
    Tacchella réussit une oeuvre bienvenue, pas toujours maîtrisée qui reste plaisante.
  • SANJURO (1962)
    Note : 14/20
    Humour, sabres et camélias !
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (1) (1960)
    Note : 12/20
    Le cinéma français traditionnel !
  • LE KID DE LA PLAGE (1984)
    Note : 8/20
    Comédie très morale, très gentillette, très quelconque.
  • ENTRE LE CIEL ET L'ENFER (1963)
    Note : 17/20
    Etonnant film noir nippon qui mêle finement thriller poignant et pensée humaniste.
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (5) (1960)
    Note : 12/20
    Gentillet, sans plus !
  • L'ARAIGNEE BLANCHE DEFIE SCOTLAND YARD (1963)
    Note : 6/20
    Une oeuvre fort quelconque !
  • RADIO CORBEAU (1988)
    Note : 6/20
    On est a mille lieu(x)es du chef d'oeuvre de Clouzot. Plus grave, on est aussi fort éloigné de la rigueur et de la pertinence de certains scénarii passés du réalisateur. A vouloir être trop démonstratif, Boisset s'enlise et fatigue. Tout juste bon à tourner quelques téléfilms de temps en temps. Et encore, la médiocrité colle à la peau.
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (6) (1960)
    Note : 11/20
    Un pâle René Clair !
  • L'ENJOLEUSE (1952)
    Note : 15/20
    Entre pittoresque tableau social d'un quartier indigent de la grande mégalopole mexicaine et sympathique description quasi clinique de l'éternel confusion des sentiments, à travers l'exposition d'un amour naissant qui humanise et rend doux (Pedro et Meche) et d'un amour possessif et jaloux qui rend fou (Palomita et Pedro) cette oeuvre rare et bienvenue, qui fut réalisée en seulement dix-huit jours, nous fait apparaître un Luis Bunuel modéré, ayant mis à l'écart pour un temps, ses récurrents phantasmes et phobies anarcho-libertaires, pour un magistral mélodrame social d'excellente facture, d'où émerge l'étonnante et solide interprétation de l'incontournable Pedro Armendariz en impressionnante brute épaisse.
  • TOM DOLLAR (1967)
    Film de série où l'action prédomine mais non l'intelligence.
  • LA FRANÇAISE ET L'AMOUR (4) (1960)
    Note : 14/20
    D'une cordiale acidité !
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
ENTRE LE CIEL ET L'ENFER (1963) 17
DANSE AVEC LES LOUPS (1990) 17
L'ÉTAT DES CHOSES (1982) 16
NOGENT ELDORADO DU DIMANCHE (1929) 16
LA VIE EST À NOUS (1936) 16
J'ACCUSE (1918) 15
KILL ME AGAIN (1989) 15
LA JOIE SILENCIEUSE (1985) 15
L'ENJOLEUSE (1952) 15
JE NE REGRETTE PAS MA JEUNESSE (1946) 15
LE DUEL SILENCIEUX (1949) 15
L'ANGE IVRE (1948) 15
SCANDALE (1950) 15
LES SALAUDS DORMENT EN PAIX (1960) 15
LA TOUR (1928) 15
LES HONNEURS DE LA GUERRE (1960) 15
SAINT MICHEL AVAIT UN COQ (1971) 14
LES MOISSONS DE LA COLERE (1984) 14
UN MERVEILLEUX DIMANCHE (1947) 14
LA FORTERESSE CACHEE (1958) 14
SANJURO (1962) 14
DESPERATE HOURS (1990) 14
L'EVEIL (1990) 14
LA FRANÇAISE ET L'AMOUR (4) (1960) 14
L'ANGOISSE DU GARDIEN DE BUT AU MOMENT DU PENALTY (1972) 13
LE PLUS DIGNEMENT (1944) 13
LA FRANCAISE ET L'AMOUR (1) (1960) 12
LA FRANCAISE ET L'AMOUR (5) (1960) 12
TOKYO-GA (1985) 11
LES HOMMES QUI MARCHENT SUR LA QUEUE DU TIGRE (1945) 11
LA FRANCAISE ET L'AMOUR (2) (1960) 11
LA FRANCAISE ET L'AMOUR (6) (1960) 11
ATTACHE-MOI ! (1989) 10
BLACK RAINBOW (1989) 9
LES CLOCHES DE SILÉSIE (1972) 8
EFFRACTION AVEC PRÉMÉDITATION (1983) 8
LE KID DE LA PLAGE (1984) 8
L'ARAIGNEE BLANCHE DEFIE SCOTLAND YARD (1963) 6
RADIO CORBEAU (1988) 6
CALMOS (1975) 2