Aucun résultat pour cette recherche
CONAN LE DESTRUCTEUR-1983-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Conan the destroyer
Durée : 1h41
Date de sortie en France : 29/08/1984
Réalisation : Richard FLEISCHER
Inspiration : D'après le personnage de Conan de Robert E. HOWARD
Prise de vues : Jack CARDIFF
Musique : Basil POLEDOURIS
Distributeur : CIC
Visa d'exp. : 59214
Résumé
Conan, le guerrier à la force prodigieuse, est chargé par la reine Taramis d'escorter la princesse Jehnna à travers un pays ennemi pour s'emparer de la corne magique de Dagoth. Il est aidé par le géant Bombaata, qui, le but atteint, essaie de le tuer avant de s'enfuir avec Jehnna. Pour profiter de la puissance de la corne, Taramis organise une cérémonie rituelle au cours de laquelle la belle doit être immolée. Conan sauve la jeune femme et le palais de la reine sera détruit.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Une sequel de plus d'où seuls surnagent quelques effets spéciaux.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
« Conan le barbare » (le film) était sombre, sanglant et absolument ridicule de par sa fixation obsessionnelle sur les bas instincts et l'apologie de la guerre. Mais il était encore préférable à cette séquelle qu'on devrait classer non pas "héroïc-fantasy" mais "merry melody". En effet, dans le genre comique, on fait difficilement mieux... Conan a changé par rapport au 1er film, il est plus ouvert et loquace, ce qui met en relief sa cervelle d'oiseau, car étant moins bestial, il a moins d'excuses... la contrepèterie éculée est ici parfaitement justifiée : on est en présence d'un connard bien barbant. Un bref coup d'oeil sur ses compagnons de route : un lâche qui plante ses lames par derrière, un magicien chinois qui se crispe comme un constipé lorsqu'il jette un sort, et G. Jones en amazone dont les cris de truie n'ont rien à envier a ceux de J.Capriati... la belle héroïne, soumise au début, change d'avis à la dernière seconde, et décide qu'elle ne veut pas mourir, plus pour elle-même que pour son peuple menacé. Une bonne note au passage pour les effets spéciaux (monstre et château de verre) de qualité, ce qui embellit heureusement cette farce préhistorique.