Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • LE TALION (1928)
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    Note : 14/20
    Exotisme asiatique sur fond de mélodrame, pour une oeuvre que maîtrise de bout en bout Lon Chaney, décidément génial, mais dont l'intérêt narratif reste relatif.
  • TOP SECRET (1984)
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    Note : 12/20
    Réjouissant pastiche des films du genre où l'on ne s'ennuie guère !
  • LE CLUB DES TROIS (1925)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Lon Chaney, l'homme aux mille déguisements, excelle à nouveau.
  • PAIEMENT CASH (1986)
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    Note : 14/20
    Enfin à nouveau un bon "Frankenheimer" !
  • DREAM LOVER (1985)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Un film intéressant de Pakula qui se veut concocté sur des bases scientifiques.
  • DREAM DEMON (1988)
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    Note : 11/20
    De superbes trouvailles, gâchées par une volonté de faire étrange à tout prix.
  • MOONRAKER (1978)
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    Note : 13/20
    Beaucoup de gadgets en pagaille et n'en déplaise aux exégètes, une oeuvre assez intéressante par son coté spectaculaire et même quelquefois drôle.
  • CRAINQUEBILLE (1922)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Une superbe prestation du grand Maurice de Feraudy !
  • SATURN 3 (1979)
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    Note : 9/20
    Une sombre rature d'un metteur en scène en panne d'imagination !
  • L'AVARE (1979)
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    Note : 9/20
    Pour l'acteur Louis de Funès, selon ses dires, le rôle de sa vie. Pour le spectateur, une réelle trahison de l'oeuvre et du personnage du grand Molière.
  • LE MAITRE DE MUSIQUE (1987)
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    Sympathique approche de l'univers de la musique, dans un film qui, malheureusement n'est pas toujours maitrise.
  • ARRETEZ LES TAMBOURS (1960)
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    Note : 15/20
    Une oeuvre estimable, de qualité.
  • LES RESCAPES DU FUTUR (1976)
    Critique CF
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    Note : 11/20
    Spectacle délassant, qui n'a pourtant pas la richesse de la version "originale".
  • TANTE JULIA ET LE SCRIBOUILLARD (1990)
    Critique CF
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    Note : 17/20
    Une superbe comédie délirante, à déconseiller aux Albanais, pour une géniale interprétation de Peter Falk, au meilleur de sa forme.
  • LA REGLE DU JEU (1939)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Une fort décapante description d'un milieu bourgeois décadent.
  • LE BOIS DES AMANTS (1960)
    Critique CF
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    Note : 9/20
    Ensemble médiocre que la présence de Françoise Rosay ne parvient pas à sauver.
  • MONSIEUR RIPOIS (1954)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Une oeuvre excellente, cynique et cruelle qui obtint un mérité Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes 1954. Gérard Philipe reste inoubliable dans sa composition !
  • PUMP UP THE VOLUME (1990)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Etonnant et caustique à souhait !
  • LE PETIT SOLDAT (1960)
    Critique CF
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    Note : 7/20
    Une oeuvre confuse, au lourd dogmatisme politique que d'aucuns encenseront.
  • THE SKIN GAME (1931)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Curiosité qui vaut par la rareté de sa diffusion et la solidité de son scénario.
  • LA CHINOISE (1967)
    Critique CF
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    Note : 7/20
    Du cinéma dit "nouveau", souvent brouillon et pénible.
  • CAMILLE OU LA COMEDIE CATASTROPHIQUE (1971)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Un court métrage assez déroutant au départ mais qui se termine de façon intéressante.
  • WEEK-END (1967)
    Critique CF
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    Note : 13/20
    Une oeuvre brillante et décapante qui bouscule et dérange tous azimuts. Dommage qu'une lourde phraséologie amoindrit la virulence des images.
  • DANCING MACHINE (1990)
    Critique CF
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    Rien à retenir de cette histoire tirée par les cheveux et platement filmée.
  • À BOUT DE SOUFFLE (1959)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Premier long métrage de Jean-Luc Godard qui symbolise encore aujourd'hui la naissance de cette fameuse "nouvelle vague" du cinéma français, qui révèle un metteur en scène essentiel et qui reçut en 1960 le Prix Jean Vigo pour la richesse et la nouveauté de son style cinématographique.
  • SCANDALEUSE GILDA (1985)
    Critique CF
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    Du soft à peine visible !
  • LE CHEIK BLANC (1952)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    D'une mordante ironie, une oeuvre transalpine excellente qui pointe avec succulence, un certain lectorat populaire friand de cet univers factice.
  • CAYENNE PALACE (1987)
    Critique CF
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    Peu convaincant et bancal !
  • LES VITELLONI (1953)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Un film de qualité qui a fait découvrir Federico Fellini en dehors des frontières transalpines et qui reste une oeuvre significative du grand metteur en scène italien.
  • LA GRENOUILLE ET LA BALEINE (1987)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Décidement, le cinéma canadien pour "grands et petits enfants" de cette période est un vrai régal de grâce et de tendresse, avec quelques films fort bienvenus.
  • L'AMOUR À LA VILLE (1) (1953)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Une oeuvre douce-amère et fort grinçante qui décline une certaine misère psychologiques et sociale, pointant ses illusoires échappatoires dans une quête souvent truquée, laborieuse et lourdement monnayée.
  • LA CIBLE HURLANTE (1972)
    Critique CF
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    Note : 12/20
    Oliver Reed est plutôt convaincant et le cinéaste Douglas Hickox égal à lui-même.
  • CASANOVA (1976)
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    Note : 14/20
    Film que nous considérons plutôt comme moyen dans la riche carrière du Maître, malgré une extraordinaire composition de Donald Sutherland.
  • LA MACHINE A TUER LES MECHANTS (1948)
    Critique CF
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    Note : 6/20
    Parabole ridicule et mortelle.
  • LA STRADA (1954)
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    Note : 16/20
    Une magistrale interprétation de Giulietta Masina dans le personnage de Gelsomina, qui reste certainement son meilleur rôle, ou du moins le plus connu.
  • FUEGOS (1986)
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    Une oeuvre intéressante qui décrit avec lucidité les sourdes imbrications de la religion et de la mythologie.
  • SATYRICON (1969)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Une réalisation qui reste une fresque talentueuse et monumentale où l'imagination du cinéaste s'allie merveilleusement à la "folie" de cette époque de l'Antiquité.
  • L'HEURE DU PARDON (1947)
    Critique CF
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    Une rareté d'un metteur en scène à la production méconnue, souvent à tort.
  • DIX PETITS INDIENS (1945)
    Critique CF
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    Note : 11/20
    Une oeuvre sans surprise, sans déception et sans génie, comme la plupart des créations de René Clair, n'en déplaise aux pontifiantes exégèses.
  • TENDRES PASSIONS (1983)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Surtout pour la prestation des acteurs.
  • ESPOIR (1939)
    Critique CF
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    Note : 16/20
    Un classique du documentaire incontournable.
  • LA BAIE DES ANGES (1963)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Une oeuvre à redécouvrir, entre sourde nostalgie et quinte flush royale !
  • CE CHER VICTOR (1974)
    Critique CF
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    Note : 14/20
    Superbes jeux d'acteurs !
  • LOLA (1960)
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    Note : 17/20
    Une oeuvre d'un intérêt constant !
  • CET OBSCUR OBJET DU DÉSIR (1977)
    Critique CF
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    Une sorte de glossaire de tous les thèmes et les obsessions du grand Bunuel, dans une oeuvre qui n'a plus la force ni la spontanéité de ses anciens chefs-d'oeuvre.
  • SALE DESTIN (1986)
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    Premier long métrage bienvenu qui manque certes de maturité, mais qui éveille la curiosité et un certain intérêt par le jeu des principaux acteurs.
  • CHARLES MORT OU VIF (1968)
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    Note : 17/20
    Une œuvre politique rare et magistrale sur la lumineuse prise de conscience d'un individu, de la profonde viduité et de l'aliénation sournoise de son existence, qui incite, tôt ou tard, à une révolution silencieuse ou armée, individuelle ou collective.
  • LES MAUVAIS COUPS (1960)
    Critique CF
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    Note : 15/20
    Voilà une oeuvre en tous points superbe ; de part l'excellent rendu cinématographique de la force d'écriture de Roger Vailland, de part la finesse et la sobriété d'interprétation des trois principaux protagonistes et de part l'acerbe et plutôt saisissante radiographie d'un couple en finitude.
  • LA BOMBE (1966)
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    Note : 19/20
    Un chef-d'oeuvre insoutenable !
  • LES DOORS (1990)
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    Note : 15/20
    Focalisant en grande partie son film sur la tumultueuse personnalité de ce dernier, à travers ses excès créatifs et son irrépressible attirance vers l'anéantissement, le metteur en scène Oliver Stone nous propose une oeuvre solide, étonnante que soutient un Val Kilmer excellent dans un rôle escarpé et forcément épuisant.