Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 40 films notés

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  • LA PALOMA (1973)
    Note : 14/20
    Un mélodrame volontairement bourré d'artifices les plus divers pour désorienter le spectateur et compliquer l'accès à l'univers du metteur en scène. A voir.
  • L'ATTENTAT (1972)
    Note : 5/20
    D'après la célèbre affaire Ben Barka qui défraya la chronique de l'époque, une oeuvre exécrable, prétentieuse, inefficace, comme malheureusement une grande partie de la filmographie d'un réalisateur à la carrière fortement surestimée.
  • BLACK MOON (1975)
    Note : 8/20
    Abscons, insipide et profondément ennuyeux !
  • EVERY LITTLE CROOK AND NANNY (1972)
    Note : 6/20
    Une oeuvre fort ennuyeuse, même si l'on est un fan de Victor Mature.
  • LONESOME COWBOYS (1968)
    Note : 14/20
    Peut-être le plus populaire des fims de Warhol, grande réussite du cinéma homosexuel, malheureusement mal distribué et rarement visible.
  • THE SETTLEMENT (1982)
    Note : 13/20
    Sur le theme du triolisme amical.
  • LE CHAGRIN ET LA PITIÉ (1969)
    Documentaire brûlant qui fit beaucoup parler de lui à sa sortie restant aujourd'hui, un classique du genre. Une oeuvre importante qu'il faut voir de toute urgence.
  • LE PORTEUR DE SERVIETTE (1990)
    Note : 15/20
    Drôle, décapant, démystificateur !
  • PADRE PADRONE (1977)
    Note : 16/20
    Admirable film des frères Paolo et Vittorio Taviani, transi de souffrance intestine et d'une poésie rêche. L'oeuvre fascine et laisse un tenace souvenir.
  • LA DOUBLE VIE DE VERONIQUE (1990)
    Note : 16/20
    Beauté et complexité d'une oeuvre impalpable et pourtant évidente d'où émerge une émotion permanente et durable doublée d'une réflexion évidente.
  • PERCEVAL LE GALLOIS (1978)
    Note : 14/20
    Une oeuvre ambitieuse, entièrement réalisée en décors de studio, qu'Eric Rohmer réussit parfaitement à maîtriser et rendant le texte original, accessible à tous publics.
  • LA LISTE NOIRE (1990)
    Note : 14/20
    Un honnête petit film d'où émerge surtout les scènes au tribunal.
  • TRASH (1970)
    Note : 11/20
    Très intéressant à un niveau sociologique, le film piétine de par une narration trop lâche. Reste un portrait cru et juste d'une certaine Amérique et... Joe Dallesandro.
  • HORS LA VIE (1991)
    Note : 14/20
    Sur le thème de la réclusion arbitraire, une oeuvre réussie.
  • LA SALAMANDRE (1971)
    Note : 15/20
    Deuxième oeuvre d'Alain Tanner, un film qui fit date dans l'évolution du cinéma suisse. Bulle Ogier et Jean-Luc Bideau sont, en outre, plutôt remarquables.
  • JACQUOT DE NANTES (1990)
    Note : 10/20
    Pas vraiment de quoi s'extasier !
  • SHADOWS (1960)
    Note : 15/20
    Premier film réalisé par John Cassavetes, totalement improvisé pour son scénario. "Shadows" est une admirable réussite aboutie qui contient déjà les thèmes essentiels de son auteur. Une oeuvre importante à redécouvrir de toute urgence.
  • FORTUNE EXPRESS (1990)
    Un premier film parfaitement maîtrisé qui augure d'un réalisateur à suivre.
  • PRINCE VAILLANT (1954)
    Cavalcades, duels et tournois, menés à un rythme fort soutenu, pour un film des plus divertissants réalisé par un metteur en scène haut de gamme.
  • TRIPLEX (1990)
    Lautner n'est plus hélas que l'ombre de lui-même !
  • CHA CHA CHA (1989)
    Note : 15/20
    Un scénario dans la lignée de Capra pour un film fin et ironique.
  • DARKSIDE (1990)
    Note : 7/20
    Un Grand Prix largement immérité !
  • TAPAGE NOCTURNE (1979)
    Note : 8/20
    Cette seconde réalisation de Catherine Breillat accumule tous les défauts et les errements du film d'époque, présomptueux et narcissique, qui se veut libéré et libertaire, où les situations et les rencontres forcent le trait jusqu'au ridicule et la caricature, traversé par des acteurs inutilement bavards qui de plus jouent faux et constipés, avec comme résultante un piteux étalage d'imposture et de prétention.
  • RHAPSODIE EN AOÛT (1990)
    Note : 11/20
    On ne peut dénier au film une étonnante fraîcheur visuelle, mais la thématique obsessionnelle actuelle du réalisateur (le danger du nucléaire) est bien trop romantisée pour vraiment en stigmatiser pleinement la folie et les risques.
  • DU SANG POUR DRACULA (1974)
    Pas toujours très fin, mais tout de même drôle !
  • LES MAITRES DE L'UNIVERS (1987)
    Un manichéisme fort simpliste, heureusement compensé par d'excellents trucages souvent fort bienvenus et des effets spéciaux de bonne qualité.
  • MERRY-GO-ROUND (1977)
    Note : 9/20
    Sur une trame finalement assez mince, Jacques Rivette tente de broder un inquiétant canevas ludique, avec une réussite fort mitigée.
  • LA REINE BLANCHE (1990)
    Note : 8/20
    On est fort éloigné de la candeur et de la fraîcheur du "Grand chemin", le film est une réelle déception, malgré la présence d'acteurs confirmés.
  • LA CHAIR (1991)
    Note : 9/20
    Radotage ennuyeux d'un réalisateur qui piétine et s'amenuise.
  • APPELEZ-MOI MATHILDE (1969)
    Première incursion du comédien Pierre Mondy dans la réalisation, qui ne laisse aucun souvenir impérissable dans la mémoire cinématographique.
  • ATTAQUE NOCTURNE (1931)
    Note : 8/20
    Pas grand chose à retenir de ce court métrage théâtral, sans envergure.
  • VENIN (1981)
    Note : 13/20
    Sympathique série B au suspense fort bien distillé.
  • MADO POSTE RESTANTE (1989)
    Note : 14/20
    Sympa, sympa, sympa.
  • LES FANTASMES DE MISS JONES (1986)
    Erotisme soft sans intérêt.
  • POUR QUE LES AUTRES VIVENT (1957)
    Note : 16/20
    Oeuvre britannique plutôt excellente, d'une puissante dramaturgie qui ne faiblit jamais, ni en intensité émotionnelle, ni en suspense scénaristique, bien que réalisée par un vague tâcheron de la cinématographie anglaise.
  • UN COEUR QUI BAT (1990)
    Note : 14/20
    Bien au-delà de l'habituel et fastidieux triangle relationnel perturbé et perturbant, un regard aigu et lucide sur le sentiment amoureux.
  • LE PORNOGRAPHE (1966)
    Note : 15/20
    Comme pour son film "la femme insecte" réalisé trois années auparavant, notre réalisateur nippon stigmatise une société profondément déstabilisée par les perturbations morales, relationnelles et sociales causées avec l'essor du miracle économique opposé frontalement aux ancestrales valeurs établies du passé.
  • YOUNG GUNS 2 (1990)
    Note : 9/20
    On est fort loin de l'excellente première mouture de Christopher Cain.
  • LE PORTRAIT DE JENNIE (1949)
    Note : 15/20
    Malgré un échec financier considérable, cette œuvre lente et nostalgique, avec ses connotations de prédestination et d'intemporalité, qui flirte avec délicatesse et lancinance du côté d'un fantastique plutôt britannique, emprunt d'une saveur et d'une senteur éthérée, mérite une juste réhabilitation et une gracieuse (re)découverte.
  • GANDAHAR (1987)
    Note : 9/20
    Une amère déception.
  • CE CHER INTRUS (1990)
    Note : 13/20
    Emouvant et sympathique petit film sans prétention.
  • THE FIELD (1990)
    Note : 15/20
    Excellente interprétation de Richard Harris dans une oeuvre fort intéressante.
  • FRENCH LOVERS (1985)
    Note : 13/20
    Bienvenu et sympathique. On aura tous reconnu dans ce court-métrage, une scène reprise ultérieurement dans "Un monde sans pitié".
  • JUNGLE FEVER (1991)
    Note : 14/20
    Film nerveux, décevant de par sa musique et certaines scènes trop caricaturales.
  • LA VIE DES MORTS (1990)
    Note : 16/20
    Un chassé-croisé de personnages, saisis dans l'éphémère de l'instant, par une caméra-ballet fort époustouflante, d'une étonnante maîtrise.
  • MACAO L'ENFER DU JEU (1939)
    Note : 15/20
    Une excellente interprétation d'Erich von Stroheim dont le rôle fut remplacé durant la guerre par Pierre Renoir et la version initiale rétablie à la Libération.
  • LE MARIAGE EST POUR DEMAIN (1955)
    Ronald Reagan et Allan Dwan, un cocktail fort réussi.
  • THELMA ET LOUISE (1990)
    Note : 16/20
    Un superbe road-movie qui rachète Ridley Scott de ses oeuvres précédentes.
  • SANS PITIE (1948)
    Note : 15/20
    Une oeuvre excellente, digne représentant du néo-réalisme italien.
  • LES PRINCES (1982)
    Une oeuvre fort intéressante, proche du documentaire, qui décrit avec talent et sensibilité, un milieu méconnu et souvent rejeté.