inconnu(e)
Un constat post-soixante-huitard sans illusion sur le processus de mécanisation et de "morcellisation" de l'individu au profit d'une machine économique toujours plus envahissante et impérieuse. Quelques dizaines d'années plus tard, avec un marché du travail qui ne permet plus de respirer un peu en changeant d'exploiteur à sa guise, j'imagine Rosemonde suivant les pas d'une Florence Rey. "Y a trop de gens à qui la liberté d'être un peu dans leur peau est systématiquement refusée" dixit Paul, (1h45'26). En plus c'est souvent drôle, avec des acteurs convaincants et sympathiques.