En dehors des modes et des nouvelles esthétiques, Jean-Loup Hubert poursuit imperturbablement son (grand) chemin, toujours en liaison directe avec le cinéma français le plus classique, celui "d'après à la guerre". Evidemment, l'oeuvre semble alors quelque peu anachronique, et même dépassée, tellement elle reste figée dans son classicisme. Dans ces conditions, Jean Carmet (qui en aurait douté) et Richard Bohringer s'en sortent haut la main. En revanche, Catherine Deneuve semble mal à l'aise : qui n'avance pas recule ?