Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 50 films notés

Page 55 sur 332 (16566 critiques au total)

  • J'ATTENDS QUELQU'UN (2006)
    Note : 15/20
    Des im(probables) méandres de l'amour et de la tendresse, à la quadrature in(certaine) des rencontres im(possibles) entre sinuosités des manques et douloureuse incomplétude, il reste un sourire, des larmes et des trains en partance. Trois petits tours et puis s'en vont, pour certainement ne jamais plus revenir.
  • DEMONLOVER (2002)
    Note : 14/20
    On connait la passion d'Olivier Assayas pour le Japon, déjà perceptible dans son premier court métrage datant de 1982 et ses récurrentes difficultés à faire dans la simplicité et l'émotionnel. A nouveau, avec une certaine réussite, il se lance dans la représentation (et non la description ou la dénonciation) d'un monde glacé, aux décors aseptisés, froideurs et rigueurs d'un monde moderne figé dans sa géométrie spartiate (aéroport, salle de réunion, palace), traversé par d'impitoyables entités humaines hantées par l'argent, le sexe et la violence. D'une intrigue complexe et quelquefois nébuleuse, parsemée de bien des longueurs et de quelques facilités, il nous reste une certaine fascination dans la perfide chorégraphie des principaux personnages, sans cesse animés dans un mortel ballet pour un illusoire et fugace pouvoir.
  • L'AIMANT (1950)
    Note : 12/20
    C'est gentillet, un peu ennuyeux et quelquefois charmant.
  • LES TÉMOINS (2006)
    Note : 16/20
    On retrouve avec émotion et ravissement l'incontournable cinéma d'André Techine, souvent épique et bouleversant, entre désir de bonheur et bonheur du désir, qui de film en film se renouvelle et s'affine avec insistance et bienveillance. Et, petit plaisir coquin pour voyeurs impénitents, Emmanuelle Béart, à pile et à fesses, les plus belles rondeurs callipyges et mammaires de l'actuelle galaxie cinéma.
  • MES AMIS ET MOI (2005)
    Note : 13/20
    Chaleureuse et bienvenue production scandinave pour les enfants et les adolescents, avec une géniale et superbe idée scénaristique. un immense bœuf. buffle asiatique qui sert de monture à la sympathique petite héroïne du film.
  • BECK - LE PRIX DE LA VENGEANCE (2001)
    Note : 14/20
    Personnages bien campés, rythme et suspense présent, pour une oeuvre tout à fait honorable dans l'intéressante production de films avec le commissaire Beck.
  • CONTRE-ENQUÊTE (2006)
    Note : 11/20
    C'est cousu d'épais fil blanc, plein de poncifs et de pesanteur et ce n'est pas la facile pirouette finale, genre "un justicier à la campagne" pour émules de Charles Bronson et autres confrères en quête de radicalité vengeresse, qui changera grand chose à la platitude du propos et à la relative insignifiance du film.
  • EXIT (2006)
    Note : 15/20
    Un polar nordique tordu à souhait, dont il n'est pas toujours évident de suivre les obscures et subtiles imbrications, mais dont on savoure, rétrospectivement tout le machiavélisme du personnage principal et les complexes méandres d'un superbe et perverse machination comme on peut les adorer.
  • BECK - VISION NOCTURNE (1997)
    Note : 14/20
    Une nouvelle enquête criminelle, particulièrement complexe et tordue du célèbre flic suédois qui se regarde avec plaisir et sans vision nocturne.
  • YONGARI (1967)
    Note : 5/20
    C'est encore pire que les nombreux "Godzilla" d'Inoshiro Honda et autres collègues nippons. Il est vrai que le ridicule et la bêtise sont des denrées internationales.
  • LA ZONA (2007)
    Note : 15/20
    Même si cette fort pertinente production mexico-espagnole n'évite pas toujours les accommodants écueils d'une certaine gênante complaisance manichéenne (la meute acharnée des méchants riches face au pauvre laissé-pour-compte odieusement traqué comme un vulgaire animal) elle demeure néanmoins un cinglant et nécessaire constat de la banalisation des dérives sécuritaires, accentuée par l'impavide présence d'une insidieuse et permanente corruption de l'Etat et de ses agents, symptôme d'un lent glissement de notre société vers un cyclopéen chaos annoncé, programmé.
  • MANIAC TRASHER (2001)
    Note : 5/20
    Hormis la massive présence de Larry Drake, vraiment impressionnante, rien ne justifie un visionnement de cette triste pochade, même quelques minutes seulement.
  • AFTER THE WEDDING (2005)
    Note : 18/20
    De film en film, avec une bienheureuse obstination et une rare opiniâtreté, embrasée d'un étonnant style cinématographique (une lumineuse proximité de gros plans évidents et l'antienne bienvenue d'une caméra- ballet tourbillonnante) Susanne Bier nous délivre une oeuvre hautement personnelle, toujours étonnante, désormais essentielle. Et c'est bien par ce constant filmage rapproché du regard, des yeux, portes et miroirs de l'âme et du questionnement, qu'elle parvient à insuffler à cette réalisation une force émotionnelle indéniable et ravageuse. En prime, des acteurs irréprochables : Le toujours percutant Rolf Lassgard, comme à son habitude, impérial et souverain, Mads Mikkelsen, à nouveau transcendant et les deux principales interprétations féminines, d'une justesse et d'une finesse vraiment confondantes.
  • LES LARMES DE MADAME WANG (2002)
    Note : 13/20
    Hormis l'originalité du commerce lacrymal exercé par le personnage féminin du film et une intéressante plongée sociologique dans un environnement chinois citadin, pas vraiment de quoi applaudir de contentement, avec ou sans larmes de crocodile.
  • DRACULA RISING (1993)
    Note : 1/20
    D'une insondable stupidité, abusant lourdement d'effets de solarisation ou de séquences en négatif, une oeuvre "mortelle" à renier définitivement le cinéma.
  • LES MARINS DE CRONSTADT (1936)
    Note : 13/20
    Seule réalisation marquante d'un metteur en scène soviétique sans réelle envergure, qui tient beaucoup de la (petite) notoriété de cette oeuvre, pour sa prise de vue et son filmage caractéristiques du cinéma muet, emphase et lyrisme en moins.
  • THE EYE (2008)
    Note : 14/20
    Remake plutôt bienvenu d'un film d'origine hongkongaise des frères Oxide et Danny Pang qui en sont déjà à l'opus numéro trois, cette réalisation bicéphale de deux jeunes metteurs en scène français, bien plus réussie que leur première incursion dans le domaine du fantastique ("Ils") a bien des côtés plutôt séduisants dont le moindre n'est pas la sculpturale Jessica Alba en mélomane habitée par les terreurs de l'au-delà.
  • UN HOMME ORDINAIRE (2005)
    Note : 7/20
    Diplômé de l'Institut des Arts de Diffusion, le réalisateur ferait mieux de quitter le métier tellement son film transpire la lourdeur et la stupidité scénaristiques, sous couvert d'un humour qui se voudrait noir et qui n'est que triste, morne et pénible.
  • ENTRE ADULTES (2006)
    Note : 15/20
    Avec des contraintes de temps (dix jours de tournage) des impératifs techniques (deux caméras vidéo, un micro) et des aléas humains (uniquement des acteurs de théâtre) Stéphane Brizé a pu nous offrir une étonnante palette du couple, dans notre société actuelle par le biais d'une narration en chaîne qui rappelle avec bienvenue, Ophüls, Vadim, Weidenmann et bien sûr, en littérature, l'incontournable Schnitzler.
  • CONTRE L'OUBLI (1991)
    Note : 13/20
    Oeuvre nécessaire et incontournable, dont on ne retiendra, cinématographiquement, que les segments réalisés par Jacques Doillon (6) et Patrice Leconte (19) pour la force du premier et l'originalité du second !
  • ALLEGRO (2005)
    Note : 10/20
    Une oeuvre fort prétentieuse, d’un intellectualisme mondain, échafaudée à une cinéphilie mal digérée (Vinterberg, Delvaux, Tarkovski) avec un zeste d’animation et l’incontournable caméra numérique, pour un résultat piètre, énervant, factice.
  • LA GUERRE DES MONDES (2005)
    Note : 13/20
    Quelques bons moments, comme la scène dans le sous-sol de la maisonnée, et des trucages fort réussis, mais l’ensemble transpire jusqu’à la nausée "le tom-cruising" à outrance, dans tous les plans et l’hymne galvaudé à l’Amérique Eternelle.
  • LES IMPURES (1973)
    Note : 11/20
    Finalement, on est fort éloigné de l'érotisme flamboyant d'un certain cinéma suédois du début des années 70 avec cette banale pochade voyeuriste, vomitivement moraliste (Marie-Madeleine est finalement pardonnée) et d'une construction scénaristique quelconque, édifiée sur un lourd canevas d'accumulation et de juxtaposition de scènes plus ou moins érotiques. Restent la troublante et fascinante prestation de Cristina Lindberg qui nous avait déjà interpellés par son étonnante interprétation dans le film de Bo Arne Vibenius : "Crime à froid" et la sympathique présence de Stellan Skargsgard, mignon comme un sou neuf, à peine reconnaissable dans son discret rôle d'affable adolescent psycho-musicologue.
  • L'ANGE NOIR DU MISSISSIPPI (1964)
    Note : 11/20
    C'est gentillet, un peu bébête, mais les chansons restent superbes.
  • LE MONDE DE NARNIA : LE LION, LA SORCIÈRE BLANCHE ET L'ARMOIRE MAGIQUE (2005)
    Note : 14/20
    D'excellents et superbes trucages pour une fastueuse histoire somme toute fort bienvenue, qui restera longtemps un régal pour les enfants et ceux qui le sont restés.
  • LA PETITE VENDEUSE (1927)
    Note : 17/20
    Pour cette ultime présence de Mary Pickford dans un film muet, avant de négocier un difficile virage vers le parlant, on pense quelquefois aux meilleurs moments d'un Capra inspiré, avec ce scénario bienheureux qui lorgne avec maestria du côté du merveilleux "Vous ne l'emporterez pas avec vous" pour une sympathique histoire fleur bleue dont on retiendra aussi l'époustouflant numéro final de Mary Pickford, tentant par tous les moyens de faire croire à tout le monde sa (fausse) duplicité.
  • QUATRE BALLES POUR JOE (1964)
    Note : 8/20
    Hormis la musique, rien à retenir de cette médiocre pochade italo-espagnole.
  • ÇA REND HEUREUX (2006)
    Note : 15/20
    Si le scénario est loin d'atteindre des pics d'originalité, l’interprétation magistrale de l’ensemble des acteurs (et plus spécifiquement celles de Kris Cupens et Catherine Salée) transfigure littéralement l’oeuvre dans un feu d’artifices de joutes orales, de confrontations verbales, d'affrontements oratoires, d’une pétulance et d’une finesse d’observation confondantes et bienvenues.
  • LES DIX D'HOLLYWOOD (1950)
    Note : 14/20
    Lucide et documentée dénonciation d'une page noire de l'histoire des States, salutaire mais plutôt lourdement académique dans sa réalisation.
  • FROM HELL IT CAME (1957)
    Note : 9/20
    De l'exotisme de pacotille, pour une interprétation quelconque.
  • UN TRAVAIL D'HOMME (2006)
    Note : 12/20
    Si le sujet est certes peu banal et jamais graveleux, (un gigolo parmi les esseulées) flirtant avec l’incongru (prise de bain avec une handicapée mentale pour éveiller et satisfaire ses éventuels désirs) on reste tout de même dubitatif et sérieusement désappointé devant le manque de densité des principaux personnages secondaires (l’épouse, l’ami, le fils) et une constellation de nombreuses scènes surnuméraires, lourdement inutiles (vol d’une scie, copain en pleine ébullition alcoolique) qui n’apportent rien à l’histoire, la desservant même de temps à autre, indubitablement.
  • LA BELLE DAME (1912)
    Note : 14/20
    Un parmi les soixante-dix courts métrages réalisés par l'incontournable et prolifique David Ward Griffith rien que durant l'année 1912 !
  • FROZEN LAND (2005)
    Note : 16/20
    Une oeuvre inspirée et dense, méritant une distribution dans l’hexagone, fort justement sélectionnée au festival du cinéma nordique 2006 de Rouen.
  • CAMARADE PEDERSEN (2006)
    Note : 12/20
    Sur le mode de l’humour et de l’ironie, une oeuvre anecdotique, un peu drôle, un peu mordante, un peu redondante, qui ne laissera comme impression, en filigrane, que la sympathique composition de l’acteur principal Kristoffer Joner et quelques vaines tentatives d’un grinçant qui se veut politique, mais tombe souvent à plat comme une norvégienne limande avariée. Une affaire de goût et d'appréciation.
  • À CHACUN SA VIE (1918)
    Note : 14/20
    On peut effectivement sourire, maugréer ou même tempêter contre la morale du film qui affirme fièrement la maintenance des différences de classe et leur naturelle imperméabilité relationnelle. Reste pourtant, par-delà cette balourdise d'époque, l'extrême et savoureuse présence de Mary Pickford.
  • TOUS LES MEMES (2002)
    Note : 12/20
    C'est gentillet tout plein, avec un certain humour de circonstances, des acteurs mignons et cela se regarde sans aucun déplaisir ..... .
  • NORWAY OF LIFE (2006)
    Note : 15/20
    Univers dantesque pour fautifs et fauteurs condamnés à un éternel recommencement ? Enfer, purgatoire et manipulation où la mort, comme ultime repos, est une impossibilité physiologique ? Mondes parallèles qui s’emboîtent et s’ignorent ? Ou tout simplement, sombre panorama en négatif et en douleur d’un vécu actuel, nimbé du vague souvenir d'un paradis perdu dont nous percevons, quelquefois, en échos diffus, comme le son lointain d’un violoncelle, la probable existence et dont nous sommes désormais à tout jamais exclu ? Dans tous les cas, une pétrifiante horreur absolue, pensez donc, un monde où l'alcool ne saoulerait pas !
  • REC (2007)
    Note : 14/20
    Sur la virevoltante thématique scénaristique du cinéma "in live", caméra au poing et percutantes techniques du reportage, Balaguero et Plaza nous proposent une "montée" en enfer plutôt réussie, même si le concept filmique finit forcément par buter à ses propres limites et générer une forme d'accoutumance et de banalisation visuelles. C'est aussi cette raison que les deux réalisateurs ont limité leur film à une durée plutôt courte (à peine quatre vingt minutes). On reste par contre beaucoup plus dubitatif, voire sceptique sur le télescopage incongru entre une histoire d'horreur à connotation anthropophage et une explication fantastique teintée de satanisme et de possession, plutôt hasardeuse et saugrenue. On attend les suites avec inquiétude.
  • THE EMBEZZLER (1954)
    Note : 12/20
    On préfère le Gilling des films fantastiques ou d'horreur, même si cette réalisation n'est en rien déméritante.
  • EQUIPE DE NUIT (2006)
    Note : 12/20
    C'est sympathique dans l'ensemble, un peu académique, méritant une large diffusion de part son message humaniste.
  • LE CHANT DE LA FLEUR ÉCARLATE (1938)
    Note : 14/20
    Un classique de la littérature finlandaise, adapté pas moins de quatre fois au cinéma, dont la version présente ne manque ni d'intérêt ni de pertinence dans la fine description d'un milieu spécifique, entre rare documentaire d'époque sur un métier disparu et classique comédie dramatique et sentimental.
  • LE PETIT FAUCON (1978)
    Note : 16/20
    D'une poésie infinie !
  • NOUVELLE DONNE (2006)
    Note : 11/20
    Voilà le type même de premier film immature et insupportable, tant par la prétention de son propos et de ses personnages, que par son traitement cinématographique lourdement influencé par le déferlement des récentes productions "clipées", nous imposant une agitation et une construction de l’image guindées dans laquelle une certaine préciosité infatuée se niche et se complaît lourdement.
  • LA CRIMINELLE (1952)
    Note : 8/20
    Tous les ingrédients spécifiques au mélodrame sentimental s'affichent avec insistance, et non sans quelques affligeantes lourdeurs, dans cette oeuvre finlandaise typique du style et de l'habituelle sirupeuse trajectoire scénaristique du metteur en scène. On peur surtout regretter l'interprétation catastrophique de Regina Linnanheimo, une sorte de catastrophique Barbara Steele scandinave, mâtinée d'une touche de Bette Davis et d'un zeste de Marie Dubois, qui nous accable et nous navre avec ses fastidieuses mimiques de femme au bord de la crise ultime, entre roulements des yeux, hébétude catatonique et pitoyables débordements lacrymaux.
  • ESTHER WATERS (1948)
    Note : 13/20
    Premier grand rôle de Dirk Bogarde et présence efficace d'une Kathleen Ryan, excellente actrice du cinéma britannique, hélas méconnue.
  • NORTHERN LIGHT (2006)
    Note : 11/20
    Enième variation sur le thème archirabattu du "pauvre adolescent incompris, brimé par un parent obtus, qui reconnaîtra finalement ses torts" avec l'inévitable réconciliation des générations, quelques minutes avant la fin du film, correctement réalisée (c’est le minimum syndical) et studieusement interprétée (c’est la moindre des choses) pour ne pas finir prestement dans le ghetto des oeuvres médiocres.
  • LE RÊVE DANS LA HUTTE BERGÈRE (1940)
    Note : 15/20
    Spécialiste avéré de solides mélodrames dans la cinématographie finlandaise, Teuvo Tulio nous propose une oeuvre bienvenue, correctement ancrée dans la ruralité finnoise et son époque (début des années 40) avec des acteurs exemplaires qui, pour une fois, ne chargent pas leurs personnages par une exaspérante interprétation surjouée émotionnellement, déformation fort tentante et plutôt fréquente dans ce genre de films et sous la direction de ce metteur en scène.
  • HOTEL (2004)
    Note : 13/20
    Une excellente rature autrichienne qui s'enlise dans un minimalisme répétitif, forçant trop dans l'allusif lointain et l'imaginaire non cadré pour installer qualitativement un insidieux mais véritable climat d'angoisse.
  • PROFOND (2006)
    Note : 11/20
    On est loin de prendre un immense plaisir à la vision de ce film qui raconte une histoire cent fois vue, lue, entendue, flottant au niveau d’un quelconque téléfilm de début de soirée, avec son éternel lot de scènes convenues et ses hollandaises images d’Epinal sur la jeunesse en crise et en disgrâce, se cherchant et s'égarant.
  • LE GANG DES PETITS VOYOUS (2003)
    Note : 11/20
    La première demi-heure est plutôt excellente et d'une constante fraîcheur dans son scénario classique, mais jamais ennuyeux. C'est après que cela se gâte, avec la désagréable impression d'une histoire à la véracité discutable et qui tourne à vide.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
AFTER THE WEDDING (2005) 18
LA PETITE VENDEUSE (1927) 17
FROZEN LAND (2005) 16
LE PETIT FAUCON (1978) 16
LES TÉMOINS (2006) 16
J'ATTENDS QUELQU'UN (2006) 15
ENTRE ADULTES (2006) 15
ÇA REND HEUREUX (2006) 15
NORWAY OF LIFE (2006) 15
EXIT (2006) 15
LA ZONA (2007) 15
LE RÊVE DANS LA HUTTE BERGÈRE (1940) 15
BECK - LE PRIX DE LA VENGEANCE (2001) 14
BECK - VISION NOCTURNE (1997) 14
LE MONDE DE NARNIA : LE LION, LA SORCIÈRE BLANCHE ET L'ARMOIRE MAGIQUE (2005) 14
DEMONLOVER (2002) 14
THE EYE (2008) 14
LES DIX D'HOLLYWOOD (1950) 14
LA BELLE DAME (1912) 14
À CHACUN SA VIE (1918) 14
REC (2007) 14
LE CHANT DE LA FLEUR ÉCARLATE (1938) 14
ESTHER WATERS (1948) 13
HOTEL (2004) 13
LES MARINS DE CRONSTADT (1936) 13
LA GUERRE DES MONDES (2005) 13
MES AMIS ET MOI (2005) 13
LES LARMES DE MADAME WANG (2002) 13
CONTRE L'OUBLI (1991) 13
L'AIMANT (1950) 12
TOUS LES MEMES (2002) 12
THE EMBEZZLER (1954) 12
UN TRAVAIL D'HOMME (2006) 12
CAMARADE PEDERSEN (2006) 12
EQUIPE DE NUIT (2006) 12
L'ANGE NOIR DU MISSISSIPPI (1964) 11
CONTRE-ENQUÊTE (2006) 11
NOUVELLE DONNE (2006) 11
NORTHERN LIGHT (2006) 11
PROFOND (2006) 11
LES IMPURES (1973) 11
LE GANG DES PETITS VOYOUS (2003) 11
ALLEGRO (2005) 10
FROM HELL IT CAME (1957) 9
QUATRE BALLES POUR JOE (1964) 8
LA CRIMINELLE (1952) 8
UN HOMME ORDINAIRE (2005) 7
MANIAC TRASHER (2001) 5
YONGARI (1967) 5
DRACULA RISING (1993) 1