Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 35 films notés

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  • LES MISERABLES (1957)
    Note : 14/20
    Respectant l'esprit et la lettre du grand écrivain français, Jean-Paul Le Chanois cristallise son attention sur la description et la peinture de "son" personnage : Jean Valjean que Gabin n'arrive pas toujours à cerner dans toute sa complexité et sa richesse. Une excellente mention pour Bourvil dans le rôle de Thenardier.
  • YIDDISCH CONNECTION (1986)
    Une réalisation mi-figue, mi-raisin, qui malgré certaines scènes fort cocasses, n'enthousiasme guère et ceci malgré la présence d'acteurs confirmés.
  • THE LOVE GOD ? (1969)
    Note : 9/20
    Une parodie entièrement construite sur le comique des grimaces, qui prend comme cible l'importance accordée à la sexualité dans certaines médias. Dernier film du cinéaste qui avait créé, dans de meilleurs temps, le personnage du Sergent Bilko.
  • BRUCE CONTRE-ATTAQUE (1982)
    Patchwork de genres, une oeuvre (française) sans intérêt.
  • Y'EN A PLEIN LES BOTTES (1975)
    Note : 4/20
    Une oeuvre teutonne fort stupide qui présente tous les ingrédients de ce qui fait souvent rire les habituels consommateurs de films du genre et les habitués de bistrots miteux : le bordel militaire, le fanatisme, la lâcheté. En fait, rien de différent avec certaines notoires productions hexagonales.
  • ROSELYNE ET LES LIONS (1988)
    Note : 7/20
    Une somptueuse déception fort irritante où seuls les fauves sont crédibles !
  • UP THE CHASTITY BELT (1971)
    Une pantomime inédite qui n'a pas toujours le courage de sa propre vulgarité.
  • LA TOUBIB AUX GRANDES MANOEUVRES (1977)
    Une stupide production érotique transalpine construite sur le refoulement sexuel, la bêtise machiste et la vulgarité totale. A fuir comme tous galonnés, de tous pays.
  • LAURA OU LES OMBRES DE L'ETE (1979)
    La prétendue poésie hamiltonienne, naïve et pesante, malgré une excellente interprétation de la jeune Dawn Dunlap qui ne fera pas carrière au cinéma.
  • CHER FRANGIN (1988)
    Note : 11/20
    Courageux, mais inabouti !
  • L'ÉNIGME DE KASPAR HAUSER (1974)
    D'après un fait divers authentique, une oeuvre essentielle et solide.
  • RAYON LASER (1978)
    Une oeuvre mineure et inintéressante qui n'enthousiasme jamais.
  • DANTON (1982)
    Note : 13/20
    Une oeuvre solide, d'une rigueur et d'une force indéniables.
  • VZLOMSCHIK (1987)
    Note : 8/20
    Une oeuvre qui ne laisse aucun souvenir impérissable, s'égarant dans le milieu pseudo rock/pop/punk d'une certaine jeunesse soviétique.
  • ALLO BRIGADE SPÉCIALE (1962)
    Note : 16/20
    Petit chef-d'oeuvre du film noir américain qui culmine dans la scène finale lorsque le tueur se retrouve coincé à Candlestick Park, au beau milieu d'un match de baseball.
  • NATALIA (1987)
    Note : 7/20
    Un critique de la revue "Positif" qui se prend pour un réalisateur !
  • EVIL BABY (1975)
    Note : 8/20
    Bien en-decà des deux films de Larry Cohen sur le même sujet.
  • THE NOTORIOUS SOPHIE LANG (1934)
    Note : 8/20
    Pas de quoi laisser un souvenir impérissable de cette oeuvre fort quelconque, réalisée par un vague tâcheron du 7e Art.
  • CRI DE TERREUR (1958)
    Note : 16/20
    Excellent film noir, réalisé avec talent, qui ne laisse aucun répit aux spectateurs.
  • NOMADS (1984)
    Note : 15/20
    Souvent excellent et quelquefois inquiétant !
  • MONDWEST (1973)
    Note : 15/20
    Excellent et quelquefois remarquable !
  • L'ENIGMATIQUE MONSIEUR D. (1956)
    Note : 11/20
    Excellent scénario, hélas mal(traité).
  • LES GRANDES VACANCES (1967)
    Note : 11/20
    Un festival Louis de Funès dans un scénario des plus insignifiants.
  • CONVERSATIONS NOCTURNES (1988)
    Note : 15/20
    Fascinant et pessimiste à l'extrême !
  • LE CRIME D'ANTOINE (1989)
    Note : 9/20
    Une oeuvre qui mérite un tout petit détour et une courte découverte.
  • MARQUÉ PAR LA HAINE (1956)
    Note : 15/20
    Robert Wise et Paul Newman, vraiment un fameux duo !
  • LA ROSE TATOUÉE (1955)
    Note : 15/20
    Excellente adaptation d'une pièce de Tennessee Williams, lui-même scénariste, pour ce qui reste comme un des meilleurs films du réalisateur.
  • INDISCRET (1958)
    Note : 13/20
    Cette comédie, tirée d'une pièce à succès de Broadway, met en présence deux formidables comédiens : Ingrid Bergman, faisant une brillante création de femme amoureuse, et Cary Grant qui n'a rien perdu de sa séduction. Ils sont synonymes de réussite pour ce film divertissant, dont la mise en scène est fort soignée.
  • BUNKER PALACE HOTEL (1989)
    Note : 6/20
    Une oeuvre fort particulière, influencée par la morphologie de la bande-dessinée dont elle est issue qui tente de changer (sans succès) les règles du genre.
  • SPLASH (1984)
    Note : 11/20
    Comédie sans prétention, de temps à autre, légèrement divertissante.
  • BILLE EN TÊTE (1989)
    Note : 9/20
    Tout aussi banal que le roman d'Alexandre Jardin.
  • LA DESCENTE INFERNALE (1969)
    Une première oeuvre fort prometteuse, pas toujours suivie d'effets.
  • UN ETE D'ORAGES (1988)
    Note : 8/20
    Premier long métrage de la réalisatrice qui flirte dangereusement avec les clichés éculés, malgré certaines séquences quelquefois estimables.
  • LE BEL AGE (1959)
    Note : 15/20
    Une comédie spirituelle et fort bien enlevée.
  • PERIGORD NOIR (1989)
    Une comédie rurale sur fond d'anti-racisme "primaire", lourde et ennuyeuse qui ne décolle jamais, malgré la présence de comédiens confirmés.
  • REBEL (1973)
    Une abondance de clichés se voulant une critique d'une certaine jeunesse américaine des années 70.
  • POLICE ACADEMY 6 : S.O.S. VILLE EN ETAT DE CHOC (1988)
    Un humour qui pèse des tonnes où toute finesse est absente.
  • ON L'APPELLE CATASTROPHE (1983)
    Lamentable !
  • LES GUERRIERS DU BRONX 2 (1984)
    D'une affligeante médiocrité dans la trame de l'histoire. Autant revoir le film de Carpenter : "New York 1997" qui a du inspirer la trame du scénario.
  • LA NUIT PORTE-JARRETELLES (1984)
    Note : 9/20
    Oeuvre qui manque peut-être de maturité et d'une certaine forme de distanciation, mais qui laisse tout de même présager d'une future réalisatrice intéressante.
  • SONATE D'AUTOMNE (1978)
    Note : 18/20
    Attention chef-d'oeuvre !
  • LE VAINQUEUR (1979)
    Mélodrame qui peut plaire, malgré une évidente insistance sur le coté larmoyant et sirupeux de la situation vécue par notre malheureux "héros".
  • MUTANT (1982)
    Un sous-produit d'"Alien" où la nudité et l'horreur tiennent un rôle essentiel.
  • AU FEU LES POMPIERS (1967)
    Note : 16/20
    Oeuvre drôle et grinçante, réalisée peu de temps avant l'invasion soviétique.
  • QUERELLE (1982)
    Note : 17/20
    Oeuvre étrange et fascinante d'une sensualité déconcertante qui reste un superbe moment de cinéma, le chant du cygne du réalisateur.
  • GOLDEN CHILD L'ENFANT SACRE DU TIBET (1986)
    Note : 9/20
    L'acteur Eddie Murphy semble avoir pris un coup de vieux, une sorte d'arrêt dans son inspiration débridée et ne nous fait plus vraiment rire.
  • LE SECRET DE VERONIKA VOSS (1981)
    Note : 16/20
    Oeuvre étonnante, envoûtante, d'une sincérité et d'une beauté remarquables.
  • MIRACLE AU VILLAGE (1944)
    Note : 16/20
    Même si nos préférences vont à certaines autres comédies de Preston Sturges, peut-être un peu plus fines et plus suaves, cette réalisation, débordante d'exubérance et de folie, est parsemée de quelques scènes hilarantes inoubliables, dans un véritable délire de situations hautement ubuesques. Une précieuse découverte initiée par le toujours incontournable Festival International du Film de La Rochelle (2014) lors d'une rétrospective consacrée aux importantes rééditions de l'année.
  • LA TRAGÉDIE DE LA MINE (1931)
    Note : 17/20
    Un des meilleurs films de l'entre-deux guerres, mais aussi un classique du Septième Art, répertorié fort justement (en 1994 par la cinémathèque berlinoise) parmi les cent meilleurs films allemands, qui exalte l'amitié entre les peuples et les travailleurs, que le metteur en scène dédia aux mineurs du monde entier.
  • LARMES DE CLOWN (1924)
    Note : 17/20
    Viktor Sjöström aux Etats-Unis, pour une oeuvre mélodramatique au possible, emprunte d'une réelle poésie, qui n'a rien perdu de sa magie.