Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 21 sur 332 (16566 critiques au total)

  • FUNÉRAILLES À BONGO. LE VIEIL ANAÏ. 1848-1971 (1972)
    Note : 15/20
    Comme bien des films de Jean Rouch, ce documentaire reste d'une précieuse richesse ethnographique, gardant trace d'un passé en finitude.
  • DON JUAN SUPERMAN (1916)
    Note : 15/20
    Ayant subi durant des semaines, une vingtaine de courts métrages médiocres et creux du cinéaste mettant en scène son duo fétiche (Pat et Patachon) on ne peut qu'être positivement surpris de la qualité et de l'humour de cette réalisation bienvenue.
  • LA PETITE FÉE DE SOLBAKKEN (1919)
    Note : 14/20
    Malgré un scénario bienvenu et captivant, des acteurs enfants et adultes parfaitement convaincants, le traitement général de l'histoire reste plutôt besogneux, sans originalité profonde ni puissance visuelle adéquate qu'auraient insufflées de toute évidence un Viktor Sjöström ou un Mauritz Stiller.
  • PÈRE ET FILLE (2000)
    Note : 17/20
    Fort émouvant, d'une grande finesse psychologique, doté d'un graphisme inoubliable.
  • THE VIOLINIST (1959)
    Note : 14/20
    Animation et psychologie comportementale !
  • CLOWN (1926)
    Note : 18/20
    Séduisant remake réussi et densifié d'une première version réalisée une bonne décennie auparavant par le même réalisateur d'origine danoise qui nous entraîne avec bonheur et détermination, dans un sournois mélodrame inéluctable et machiavélique, soutenu par des acteurs de toute évidence habités par leurs rôles respectifs.
  • QUAND L'AMOUR COMMANDE (1919)
    Note : 12/20
    Pas vraiment de quoi s'enthousiasmer de cette restauration, certes nécessaire et judicieuse pour la préservation du patrimoine, dont le scénario manque sérieusement d'allant et de rythme et qui malgré ses bienvenues incursions ethnographiques dans le quotidien des gens du cru, n'invite guère à de dithyrambiques considérations.
  • LE MOINE ET LE POISSON (1994)
    Note : 13/20
    Une certaine drôlerie !
  • FLEBUS (1957)
    Note : 12/20
    Un réalisateur (en animation) toujours sympathique.
  • BLUE RUIN (2013)
    Note : 15/20
    Second long métrage d'un metteur en scène fortement prometteur qui bouscule allègrement les genres et les spectateurs avec une certaine efficacité, augurant pour l'avenir de solides et sanguinolentes réalisations pourvu que la reconnaissance critique actuelle ne lui monte pas trop à la tête ni au garrot.
  • TOM SWEEP (1992)
    Note : 14/20
    Une réalité hélas quotidienne !
  • THE INTERVIEW (1960)
    Note : 12/20
    Foncièrement drôle !
  • SAFEGUARDING MILITARY INFORMATION (1941)
    Note : 14/20
    Court, efficace, une oeuvre préventive comme en furent tournées moult à l'époque.
  • LA TORTUE ROUGE (2016)
    Note : 15/20
    Une étonnante et fascinante beauté de certains plans hiératiques et mémorables ne suffit pas pour effacer de fréquentes vaguelettes d'ennui et de morosité, accentuées par un scénario minimaliste, confiné entre un (justifié) récit sans paroles et une intrigue dépouillée jusqu'à l'ascétisme, flirtant avec un flagrant manque d'inspiration ou bien une planante immersion dans les vapeurs lénifiantes du tétrahydrocannabinol.
  • JARDIN DES DEUX RIVES (2013)
    Note : 17/20
    Une œuvre magnifique, étonnante de force et de concision, qui sans atermoiement ni grandiloquence, se distille au plus profond de l'émotion, durablement.
  • LA PLANÈTE DES SINGES : L'AFFRONTEMENT (2013)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi s'enthousiasmer dans son fauteuil de spectateur alangui et ronchonneur. Tout est comme souvent formaté, conditionné, paramétré dans les codes et les schémas du genre, avec ses traditionnels quotas d'émotion, d'action, de romance et de suspense, fortement prévisibles et bien joliment emballés.
  • THE STRANGERS (2016)
    Note : 14/20
    Malgré de nombreuses scènes parfaitement réussies dans leur démarche intrigante et oppressante, l'ensemble des 156 minutes donne souvent l'impression gênante d'une pesante accumulation de séquences à connotation fantastique, superposées jusqu'à l'épuisement, s'éparpillant ensuite dans des approximations brumeuses, comme pour épater la galerie, subjuguer le spectateur consommateur qui n'en demandait pas autant.
  • REVENGE (2017)
    Note : 15/20
    Premier long métrage d'une cinéaste qui nous avait déjà subjugué avec ses débuts au cinéma pour la réalisation d'un savoureux court, cette énergique production franco-belge parvient à séduire amplement son public, pourvu que le spectateur passe outre aux hypertrophies scénaristiques, avec ses effusions d'hémoglobine digne des plus sanguinolents films de vampire ou de psychopathe en permanente festivité.
  • KATKA, POMME REINETTE (1926)
    Note : 16/20
    Souvent d'une grande et fine acuité psychologique, avec quelques acteurs fort imprégnés de leurs personnages et un constant humour en filigrane, une oeuvre largement bienvenue, qui rappelle les films du malicieux Boris Barnet, malgré son lourd message politique final, lorsque nos deux sympathiques protagonistes décident de rentrer à l'usine pour mener une existence plus stable et plus bénéfique. C'est sous la judicieuse thématique sur "L'âge d'or du cinéma muet soviétique" que le 42e Festival International du Film de La Rochelle nous a invité a découvrir cette œuvre rare dont la projection attendue bénéficia de la traditionnelle création musicale de l'incontournable Jacques Cambra depuis des années une élégante et mélodieuse figure de proue de la toujours remarquable manifestation cinématographique.
  • LIFE'S HARMONY (1916)
    Note : 15/20
    Une œuvre rare, enfin restaurée et projetée à la 30e édition du "Cinéma Ritrovato" de Bologne (2016) dont la qualité technique, l'excellence de l'interprétation et l'intrigue scénaristique deviennent fort étonnants au vu de l'année de réalisation du film.
  • PYROMANIAC (2016)
    Note : 11/20
    Tirée d'un fait divers nordique et mise en scène par un réalisateur qui nous avait jusqu'à présent toujours séduit, cette évocation criminelle tempère notre appréciation qui se révèle cette fois-ci bien plus mitigée, un peu en retrait de l'habituel contentement. En effet, pour notre part, l'approche psychologique et les ferments de cette déferlante pyromanie ne sont que partiellement abordées, voire suggérées par un vague déficit de reconnaissance et un besoin d'affirmation vacillant, le scénario préférant s'appesantir sur les faits et les gestes plutôt que sur les causes profondes et les motivations inconscientes d'un tel déferlement de feux et de flammes.
  • LE VIOLONISTE DE FLORENCE (1926)
    Note : 16/20
    Une étonnante actrice gracieusement androgyne, d'une présence et d'une pétulance extraordinaires dont c'est la troisième apparition sur un écran, qui sut nous charmer et nous séduire, comme d'ailleurs le réalisateur Paul Czinner dont la pertinente homosexualité ne fut guère un frein, pour en faire son épouse adorée.
  • LA SECRETAIRE PARTICULIERE (1916)
    Note : 12/20
    Souvent d'une gênante lourdeur dans le déroulement de l'intrigue et une histoire quelque peu insipide qui dévoile pourtant la problématique du harcèlement dans la sphère professionnelle et nous permet de croiser Erich von Stroheim en retors journaliste, à l'affût du moindre événement amoral à ébruiter dans la presse à scandale. Une archaïque curiosité découverte au 30e Festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne dans sa rétrospective consacrée aux productions de l'année 1916.
  • NUDE CABOOSE (2006)
    Note : 3/20
    Peu importe les motivations ou les origines de cette pantalonnade, c'est bêtement ridicule et d'un intérêt cinématographique introuvable.
  • WHITE GOD (2014)
    Note : 15/20
    Appréhender ce conte cruel et radical au premier degré, ne fera que stigmatiser une certaine touche de démesure et de niaiserie qui traverse l'oeuvre en hyperbole et en aboiements, occultant ainsi le puissant message de tolérance et d'ouverture envers les minorités, dans le respect de la différence et de l'altérité.
  • ORAGES (1931)
    Note : 16/20
    Flamboyant et maritime mélodrame d'où émergent le charisme et le magnétisme du personnage interprété par Walter Huston, époustouflant de présence et de puissance, dans ce qui s'énonce comme une œuvre majeure du grand réalisateur mulhousien, retrouvée avec bonheur au 30e festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne (2016).
  • A DECENT WOMAN (2016)
    Note : 10/20
    Malgré une respectable interprétation des principaux acteurs, l'ensemble finit par provoquer une léthargie voire une lassitude de par un scénario insipide et languissant qu'un stupide dénouement forcené qui ne fait que confirmer, sans appel et sans rémission, l'inutilité et la banalité d'une réalisation informelle rarement maîtrisée.
  • MISTER BABADOOK (2013)
    Note : 15/20
    Une sympathique variante sur la thématique du boogeyman et autre croquemitaine de notre enfance, fortement teinté de culpabilité, de névroses et de dépression dont nous retiendrons surtout l'excellente, voire exceptionnelle prestation de l'actrice principale, véritablement habitée par un rôle complexe et difficile.
  • MIRINDAS ASESINAS (1990)
    Note : 10/20
    Cela se veut de l'humour noire, c'est avant tout de l'humour bête.
  • LA FORME DE L'EAU (2017)
    Note : 17/20
    D'une constante poésie diffuse, avec un joyeux et pétillant mélange des genres, une bienheureuse histoire transgenre avec un excellent Michael Shannon dans son interprétation magistrale d'un personnage étonnant, dévoré par une incroyable méchanceté maladive et dévastatrice, d'une pitoyable monstruosité.
  • STRANGER (1993)
    Note : 15/20
    Projeté avec un certain succès à l'incontournable festival du film de Karlovy Vary en septembre 1999, cette œuvre d'origine kazakh fort particulière, non dénuée d'un certain humour, peut fasciner durablement ou laisser parfaitement indifférent, une seconde hypothèse nous paraissant somme toute bien regrettable...
    © C.
  • DÉESSES INDIENNES EN COLÈRE (2015)
    Note : 14/20
    Même si bien des séquences souffrent d'un excès de balourdise et d'un pesant parti pris élitiste de la part des protagonistes féminins, on adhère sans hésitation au rythme entraînant et à l'endiablée agitation générale qui, dès le pré-générique s'affirme et s'installe durablement, jusqu'à l'émouvante scène finale.
  • 31/75 : ASYL (1975)
    Le temps passe, l'ennui reste.
  • LAWYER MAN (1932)
    Note : 13/20
    Septième film américain de Wilhelm (William) Dieterle après son départ d'Allemagne, invité aux States par la société de production Warner, qui malgré un scénario intéressant et des acteurs investis dans leur rôle, manque d'un certain dynamisme dans la réalisation, trop souvent traversé par une nonchalance bon enfant, sans réel développement dramaturgique alors que le sujet s'y prêtait admirablement.
  • LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : MISÉRICORDE (2013)
    Note : 13/20
    Petit polar scandinave un peu trop pépère malgré un scénario plutôt retors mais dont l'intrigue une fois dévoilée, bien trop tôt selon maints spectateurs, ainsi que des scènes répétitives, n'offre plus beaucoup d'aspérités et de surprises.
  • 8/64 : ANA - AKTION BRUS (1964)
    Note : 15/20
    Quelque chose d'indéfinissablement séduisant.
  • MAN WANTED (1932)
    Note : 11/20
    Une oeuvre fort poussive qui accumule les entrechats et les entrelacs sentimentaux jusqu'à l'usure et la saturation, abusant de la patience du spectateur et de l'ambivalente situation, fatigant comme un insomniaque palestinien qui refuse obstinément de s'endormir dans un hôtel hébraïque (ou inversement).
  • LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : PROFANATION (2014)
    Note : 14/20
    Une intrigue tordue à souhait, traversée par d'exécrables individus, interprétés par quelques acteurs convaincants, correctement investis dans leurs rôles respectifs, en fait, tous les ingrédients nécessaires pour faire un excellent film noir scandinave. Hélas, il manque tout de même ce brin de folie et de noirceur dans la réalisation, bien trop sage et trop studieuse, pour accéder à notre assentiment enthousiaste.
  • 120 BATTEMENTS PAR MINUTE (2017)
    Note : 17/20
    Malgré quelques longueurs non préjudiciables à l'équilibre et l'efficacité de l'ensemble, ce troisième long métrage du réalisateur Robin Campillo reste un des films majeurs de l'année cinématographique 2017 et peut-être la meilleure œuvre actuelle sur cette ravageuse et mortelle thématique médicale que reste l'infection au virus du sida.
  • WINTER SLEEP (2014)
    Note : 17/20
    Dans les magnifiques décors isolés de la Cappadoce, durant une neigeuse période hivernale propice à la déréliction, se mettent en place de capitonnés et permanents rapports de force mais aussi de doutes, dans d'étincelantes et navrantes joutes verbales dont personne se sort indemne. Magnifique et terrible.
  • JASON BOURNE (2016)
    Note : 12/20
    Jamais le terme de "film d'action" n'aura été employé avec autant d'efficacité et de continuité scénaristiques, dans une fougue et un déferlement d'échauffourées, de courses-poursuites, de bagarres et de fusillades, en crescendo. Mais rarement aussi une intrigue aura été si pauvre et si désuète, aussi bien dans la forme que dans le fond, tout juste au niveau primaire de quelques stupides jeux-vidéos de cinquième série.
  • DES LUNETTES NATURELLES (2001)
    Note : 15/20
    Renversant !
  • CHILDREN OF NO IMPORTANCE (1926)
    Note : 15/20
    Sur une dramatique et dénonciatrice thématique fort récurrente dans les années 1920/1930, l'exploitation éhontée des enfants par leurs parents, adoptifs ou véritables, une incontournable oeuvre de qualité d'un des plus grands réalisateurs de l'époque, souvent occulté ou négligé par la critique ou bien remisé en seconde zone du gotha cinématographique allemand de la période muette.
  • LA CHANSON DE L'ÉLÉPHANT (2014)
    Note : 15/20
    Malgré quelques séquences qui tournent quelquefois à vide et un huis clos parfois surnuméraire dans la progression dramatique de l'histoire, l'époustouflante interprétation du phénomène Xavier Dolan mérite à elle seule le déplacement, même alourdie de temps à autre par un sur-jeu ostentatoire et des minauderies inutiles.
  • GERMAINE ET SES COPAINS (1996)
    Note : 12/20
    Une curiosité.
  • LE GRAND HOMME (2013)
    Note : 15/20
    Judicieusement inspiré du lointain mythe mésopotamien de Gilgamesh, cette oeuvre féconde et lumineuse, pertinemment implantée dans l'actualité sociale actuelle, sans pathos inutile ni débordement mélodramatique surnuméraire, distille avec grâce et conviction, un vigoureux et sensé point de vue sur les notions étriquées, galvaudées, juridiques de paternité et de filiation, sans cesse en filigrane.
  • FIN (2012)
    Note : 11/20
    Pour notre part, la sympathique interprétation des principaux personnages, une évidente qualité qu'en à la progression de l'intrigue et quelques prises de vue plutôt originales n'effacent pas le stupide parti pris scénaristique de laisser sans explication, tangible ou fantastique le déroulement de l'histoire, négligeant stupidement toute causalité cartésienne ou irrationnelle des fondements même de l'histoire.
  • PORTRAIT DE GERMAINE CHEZ ELLE (1994)
    Note : 15/20
    Fascinante évocation d'une existence vouée à la recherche ethnographique, par une femme remarquable, d'une intelligence et d'une fascination exceptionnelles.
  • JUWELEN (1930)
    Note : 17/20
    Première et avant-dernière réalisation d'un metteur en scène a priori parfaitement inconnu dans le gotha de la filmographie autrichienne, ayant émigré quelques années plus tard en Colombie, qui étonne et fascine durablement par son incroyable atmosphère de rêve éveillé, pour une sombre et catatonique histoire policière nimbée de séquences feutrées, à la frontière du fantastique et de la folie. Une oeuvre puissante et maladive qui laisse une empreinte durable et prégnante et qui aurait pu subjuguer sans aucun doute les surréalistes de l'époque.
  • ABOVE AND BELOW (2015)
    Note : 15/20
    Malgré certaines longueurs et quelques séquences surnuméraires, on ressent une véritable personnalité artistique dans cette approche en biais, jamais frontale d'une forme de misère existentielle, pleine de pudeur et de discrétion.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
CLOWN (1926) 18
WINTER SLEEP (2014) 17
JUWELEN (1930) 17
PÈRE ET FILLE (2000) 17
JARDIN DES DEUX RIVES (2013) 17
LA FORME DE L'EAU (2017) 17
120 BATTEMENTS PAR MINUTE (2017) 17
KATKA, POMME REINETTE (1926) 16
LE VIOLONISTE DE FLORENCE (1926) 16
ORAGES (1931) 16
BLUE RUIN (2013) 15
WHITE GOD (2014) 15
MISTER BABADOOK (2013) 15
STRANGER (1993) 15
CHILDREN OF NO IMPORTANCE (1926) 15
LE GRAND HOMME (2013) 15
LA TORTUE ROUGE (2016) 15
LIFE'S HARMONY (1916) 15
LA CHANSON DE L'ÉLÉPHANT (2014) 15
ABOVE AND BELOW (2015) 15
FUNÉRAILLES À BONGO. LE VIEIL ANAÏ. 1848-1971 (1972) 15
REVENGE (2017) 15
8/64 : ANA - AKTION BRUS (1964) 15
DES LUNETTES NATURELLES (2001) 15
PORTRAIT DE GERMAINE CHEZ ELLE (1994) 15
DON JUAN SUPERMAN (1916) 15
LA PETITE FÉE DE SOLBAKKEN (1919) 14
SAFEGUARDING MILITARY INFORMATION (1941) 14
TOM SWEEP (1992) 14
THE STRANGERS (2016) 14
DÉESSES INDIENNES EN COLÈRE (2015) 14
LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : PROFANATION (2014) 14
THE VIOLINIST (1959) 14
LAWYER MAN (1932) 13
LE MOINE ET LE POISSON (1994) 13
LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : MISÉRICORDE (2013) 13
QUAND L'AMOUR COMMANDE (1919) 12
LA SECRETAIRE PARTICULIERE (1916) 12
JASON BOURNE (2016) 12
FLEBUS (1957) 12
THE INTERVIEW (1960) 12
GERMAINE ET SES COPAINS (1996) 12
LA PLANÈTE DES SINGES : L'AFFRONTEMENT (2013) 11
MAN WANTED (1932) 11
FIN (2012) 11
PYROMANIAC (2016) 11
MIRINDAS ASESINAS (1990) 10
A DECENT WOMAN (2016) 10
NUDE CABOOSE (2006) 3