Critique de
inconnu(e)
Version canine de LA PLANETE DES SINGES dans laquelle le réalisateur réussit à nous faire entrer en empathie avec Hagen (faire d'un si gentil chien un tueur, c'est poignant et répugnant). Au début de la dernière demi-heure, le film semble s'engager dans un délire réjouissant et puis non... Du coup le tout s'alourdit et devient au final trop long. La dénonciation de la situation politique actuelle de la Hongrie est évidente : les bâtards ne sont pas les bienvenus, place aux "races pures". Et c'est bien connu, la musique adoucit les moeurs.