Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 40 films notés

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  • LA CITÉ DES DANGERS (1975)
    Note : 9/20
    Film ambigu, à l'intrigue plutôt complexe, où se mêlent à la fois meurtre déguisé en suicide, évasion d'un tueur et compromission d'un avocat. Une oeuvre du grand Robert Aldrich qui ne restera pas dans nos souvenirs cinématographiques comme un film intéressant et que l'on oubliera donc fort rapidement, sans hésitation.
  • COMMENT CLAQUER UN MILLION DE DOLLARS PAR JOUR (1985)
    Une comédie américaine fort espiègle qui dénonce, par le biais de l'humour et de la dérision, l'arrivisme et la médiocrité d'un certain milieu "haut de gamme".
  • LA CHEVAUCHEE SAUVAGE (1975)
    Un formidable western mis en scène par l'un des plus talentueux et des plus personnels réalisateurs de la mégalopole hollywoodienne.
  • CONSEIL DE FAMILLE (1986)
    Note : 12/20
    Un film sympathique mais déséquilibré, qui nous vaut une excellente première partie et une deuxième moitié bien plus bancale dans sa réalisation.
  • LE CHAT ET LA SOURIS (1975)
    Produit typique de la médiocrité "lelouchienne" qui piétine obstinement dans sa viduité insondable, persuadé de faire du cinéma d'auteur.
  • CONTRE TOUTE ATTENTE (1984)
    Note : 9/20
    Sympathique dans sa démarche, mais quelquefois ennuyeux !
  • CHOBIZENESSE (1975)
    Du cinéma de bas-étage, vulgaire où s'agite le narcissique Jean Yanne.
  • CORPS ET BIENS (1986)
    Note : 10/20
    On peut retenir l'excellente prestation de l'incontournable Danielle Darrieux.
  • LE BON ET LES MECHANTS (1975)
    Note : 7/20
    Entre les très bons et les très mauvais films qui passent sur les écrans, il y a aussi, malheureusement, les insignifiantes productions de Claude Lelouch.
  • COUP DE FOUDRE (1983)
    Note : 13/20
    Une oeuvre émouvante et profonde sur l'amitié entre deux femmes qui ont pris le parti d'assumer leur existence par-delà les difficultés du quotidien et la stérilité des rapports sociaux. Diane Kurys quant à elle, reste fidèle à sa thématique libératrice.
  • LA COLLINE DES HOMMES PERDUS (1965)
    Note : 18/20
    Un splendide chef-d'oeuvre d'une exceptionnelle intensité.
  • CRIMES DU COEUR (1986)
    Note : 13/20
    On pense bien sûr à l'ambiance des oeuvres de Tennessee Williams (en moins bon) mais il ne reste à retenir que la bonne interprétation des trois principales actrices.
  • LA VILLE ABANDONNÉE (1948)
    Note : 17/20
    Un petit chef-d'oeuvre dans son genre, méconnu bien sûr.
  • CROCODILE DUNDEE (1986)
    Note : 13/20
    Film australien plein d'humour et de décontraction qui reste fort plaisant.
  • MY FAIR LADY (1964)
    Un des derniers grands chefs-d'oeuvre de la comédie musicale américaine, adapté d'une succulente pièce de théâtre, déjà maintes fois abordée au cinéma. Un délice autant pour l'oeil que pour l'oreille sous la férule de George Cukor.
  • DANCE WITH A STRANGER (1985)
    Note : 12/20
    D'après une histoire vraie, qui défraya la chronique judiciaire de l'époque et restera dans les annales pour être la dernière condamnation à mort en Grande-Bretagne.
  • LA NUIT DE L'IGUANE (1964)
    Note : 16/20
    Atmosphère torride, sublime Richard Burton, "malsain" climat de Tennessee Williams et bien sûr l'éminent John Huston à la réalisation pour un excellent film !
  • DANGEREUSEMENT VÔTRE (1985)
    Note : 10/20
    Un Bond poussif, sans charme pour une production somme toute décevante !
  • L'OBSEDE (1965)
    Note : 18/20
    Vénéneux chef-d'oeuvre d'amour obsessionnel et de folie tenace d'où émerge sombrement la forte prestation de Terence Stamp, inoubliable.
  • UNE MAUVAISE ANECDOTE (1967)
    Note : 15/20
    Un film assez étonnant entre allégorie et théâtralité, réalisé en noir et blanc qui comporte quelques inhabituels arrêts sur image. A découvrir.
  • PAS DE PRINTEMPS POUR MARNIE (1964)
    Note : 11/20
    Une des rares oeuvres du grand Alfred Hitchcock plutôt ratée, frisant quelquefois le ridicule de bas étage et la pacotille psychanalytique bon marché.
  • DARK CRYSTAL (1982)
    La plupart des personnages de ce merveilleux film sont des marionnettes.
    On ne s'en plaint pas. Une réussite des années 1980, peut-être dépassée aujourd'hui.
  • LES PIANOS MECANIQUES (1964)
    Note : 11/20
    On a connu Bardem plus incisif et plus solide dans ses réalisations que dans cette pochade mal maîtrisée et confuse qui se veut libertaire et n'est que lourdingue.
  • DESCENTE AUX ENFERS (1986)
    Autant relire le roman de Goodis que de voir cette pâle et triste adaptation.
  • POUR L'EXEMPLE (1964)
    Note : 18/20
    Très beau film antimilitariste, à rapprocher des "Sentiers de la gloire" de Stanley Kubrick et de la pertinente réalisation de Francesco Rosi, "Les hommes contre".
  • DESORDRE (1986)
    Note : 12/20
    Oeuvre fort crédible, jeu des principaux acteurs excellent et vision du milieu musical rock sans concession font de ce premier long métrage, une correcte réussite.
  • REPULSION (1964)
    Note : 17/20
    Superbe et inquiétant au possible, la meilleure prestation de Catherine Deneuve, habituellement bien plus fade et moins expressive. Roman Polanski confirme avec maestria son évidente maîtrise et son attirance pour le fantastique.
  • DUST (1984)
    Note : 13/20
    Film étrange, d'une lenteur agaçante mais qui dégage un charme particulier entre étouffement et déchirement, proposé par une réalisatrice souvent controversée.
  • LE PLUS GRAND CIRQUE DU MONDE (1964)
    Note : 11/20
    Une oeuvre plutôt modeste du solide Hathaway, qui nous avait habitué à un peu plus d'allant, sur un scénario a priori plutôt intéressant qui avait séduit un certain temps Nicholas Ray, puis le grand Frank Capra, à laquelle on peut surtout reprocher une constante niaiserie sentimentale et une structure de l'ensemble lourdement bancale et banale, malgré une honnête prestation des principaux acteurs...
  • BARFLY (1987)
    Note : 11/20
    Dommage que Rourke cabotine tellement alors que Faye Dunaway est constamment émouvante dans sa majestueuse déchéance.
  • SANDRA (1965)
    Note : 16/20
    Une oeuvre difficile du grand Visconti qui fait appel à l'intelligence du spectateur, à la finesse de sa sensibilité et à un degré élevé d'attention.
  • CHAMP D'HONNEUR (1986)
    Troisième long métrage du metteur en scène Jean-Pierre Denis, après "L'histoire d'Adrien" et "La palombière", qui dénonce l'absurdité de la guerre où l'honneur évoqué dans le titre rejoint l'horreur des champs de bataille.
  • SIMON DU DESERT (1965)
    Note : 15/20
    Allégorie contre le pouvoir et une religion castratrice, menée de mains de maître.
  • LES BALEINES DU MOIS D'AOUT (1986)
    Note : 15/20
    Adapté d'une pièce de David Berry, cette oeuvre vaut surtout par l'incroyable prestation de la nonagénaire Lillian Gish et de l'octogénaire Bette Davis. Sans oublier la présence de Vincent Price, autre légendaire "momie" qui nous enchante toujours.
  • LA SOLITUDE DU COUREUR DE FOND (1962)
    Note : 17/20
    Digne représentant de la fameuse école britannique du "free cinéma" cette oeuvre essentielle confirme l'exceptionnelle acuité sociale et politique du jeune Tony Richardson, idéalement structuré par la contribution romanesque et concernée d'un écrivain rare et puissant, le remarquable Alan Sillitoe et servi avec talent et maestria par un acteur épatant et débutant, le magnétique Tom Courtenay.
  • SOUS LE SOLEIL DE SATAN (1986)
    Note : 9/20
    Décriée par les uns, encensée par les autres, cette oeuvre ne mérite pas tant d'attention. A quand la reprise du chef-d'oeuvre de Bresson : "Mouchette" (1967) pour qu'en pâlisse généreusement le soleil de Maurice Pialat.
  • TROIS CHAMBRES À MANHATTAN (1965)
    Note : 15/20
    C'est assez remarquable, avec une Girardot qui savait encore choisir un rôle.
  • TENSION (1949)
    Note : 18/20
    Un chef-d'oeuvre du film noir américain commis par un metteur en scène "détruit" par le maccarthysme et qui dû s'exiler en France pendant l'incroyable chasse aux sorcières organisée dans le monde du spectacle des années 1950. Un étonnant joyau cinématographique réalisé durant l'une des périodes les plus sombres de l'histoire des Etats-Unis, avec une Audrey Totter au firmament des garces du 7e Art.
  • LA VIERGE DE NUREMBERG (1963)
    Note : 12/20
    Antonio Margheriti n'est hélas pas Mario Bava, même si quelques rares scènes provoquent quelques piquantes démangeaisons.
  • SAN FRANCISCO (1936)
    Note : 14/20
    Distrayant et sympathique !
  • AU-DELÀ DE LA GLOIRE (1979)
    Note : 15/20
    Oeuvre bienvenue d'un cinéaste efficace, puisant dans son propre vécu guerrier.
  • LES CONTES DE CANTERBURY (1971)
    Note : 14/20
    L'auteur, présent, (interprété avec malice par Pasolini en personne) prend note pour la postérité de ces huit savoureux morceaux d'anthologie bouffonne. Plaisirs de la chair, de la ripaille, délires scatologiques, charge anticléricale se côtoient pour le plus grand plaisir des yeux et des oreilles. D'une énergie profondément rabelaisienne, une sympathique oeuvre baignée d'érotisme paillard et grivois.
  • BEL AMI (1946)
    Note : 15/20
    Séduisante interprétation du trio Sanders / Dvorak / Lansbury !
  • LA TENDRE ENNEMIE (1936)
    Note : 13/20
    Un film quelque peu oublié de Max Ophüls, qui traîne sa langueur sympathique entre le mélodrame léger et la comédie tendre. Pour cinéphiles en quête de filmographie éparse. Il est vrai que le coté légèrement désuet, risque un peu de lasser certains.
  • LA TEMPÊTE QUI TUE (1940)
    Note : 15/20
    Un des premiers films anti-nazis, correctement réalisé et d'un intérêt constant.
  • LES SEINS DE GLACE (1974)
    La tentative d'illustrer l'amour fou, la passion ravageuse et la névrose obsessionnelle échoue totalement. Le film se limite à une banale histoire policière, vaguement fantastique, qui n'atteint jamais les plages du sublime ou de l'Innommable. Dommage !
  • LE BONHEUR EST DANS LE PRÉ (1995)
    Note : 12/20
    Hormis les prestations maîtrisées et bien professionnelles de Michel Serrault et de Sabine Azema, on ne trouve pas grand chose à se mettre sous la dent.
  • COSA NOSTRA (1972)
    Note : 8/20
    Adapté d'un best-seller américain, ("The Valachi Papers" de Peter Maas) lui-même tiré d'un fait divers authentique, le film manque délibérément d'intérêt et de souffle. Construit sur le mode d'un constant flashback avec la voix de Charles Bronson en "off", narrant les trente ans de mafiosi de Joe Valachi, cette oeuvre fort quelconque, fut un important succès commercial et populaire. Immérité et démagogique.
  • LE GANG DES FRÈRES JAMES (1979)
    Le film dégage une franche sympathie par son rythme allègre et la scrupuleuse véracité dans la description d'une épique époque de l'histoire de l'Ouest américain.
  • LA SEPTIÈME CROIX (1944)
    Note : 15/20
    D'une constante sobriété dans la mise en scène, un film d'une grande intensité dramatique et d'une profonde émotion. Spencer Tracy fait une prestation remarquée et remarquable sous la bienveillante férule d'un efficace Fred Zinnemann.