Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 37 films notés

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  • JOUR DE COLERE (1943)
    Note : 19/20
    Deuxième film parlant du réalisateur qui reste un inoubliable chef-d'oeuvre sur l'intolérance, le sectarisme et la mortelle cruauté de l'Inquisition.
  • COMMANDO-SUICIDE (1968)
    Film de série où la médiocrité des soldats allemands est inversement proportionnielle à l'héroïsme des héros alliés. Navrant au possible.
  • LES MARIS, LES FEMMES, LES AMANTS (1988)
    Note : 15/20
    Une oeuvre plutôt remarquable où Pascal Thomas s'est vraiment surpassé dans la description pleine de tendresse de nos travers, avec ses drôleries, ses frimes et ses drames. Une multitude de personnages secondaires croqués avec délices, jamais mal(traités) surpris, survolés, par une caméra alerte, complice, affectueuse.
    Au final, une divine surprise du cinéma français !
  • LE CAUCHEMAR DE FREDDY (1988)
    Note : 12/20
    A noter surtout les excellents trucages et autres effets spéciaux qui redonnent du piment à cette déjà longue série qui finira par s'étioler de plus en plus.
  • LES INNOCENTS (1987)
    Note : 13/20
    Décidément le pertinent metteur en scène André Téchiné nous étonnera toujours de part ses réalisations quelles soient géniales, ou décevantes d'ailleurs. Aujourd'hui c'est plutôt du coté négatif que penche la balance, légèrement.
  • CA N'ARRIVE QU'AUX AUTRES (1971)
    Note : 14/20
    Pudeur et sincérité caractérisent cette oeuvre pleine de sensibilité et d'émotion.
  • CASANOVA (1954)
    Note : 14/20
    Les femmes sont élégantes et racées, les situations hautement humoristiques, les aventures, pittoresques et picaresques, pour une oeuvre gaie, légère et quelquefois savoureusement distrayante, par un metteur en scène de seconde zone.
  • LE COUTEAU DANS L'EAU (1962)
    Note : 16/20
    Une oeuvre vraiment superbe, d'une intelligence de ton et d'observation remarquable, voire parfaite, entre cynisme narquois et rapports de force permanent.
  • LES PLUS BELLES ESCROQUERIES DU MONDE (2) (1963)
    Note : 10/20
    On a connu Polanski bien plus inspiré !
  • LE BÉBÉ DE ROSEMARY (1968)
    Note : 16/20
    Oeuvre fort prenante, menée de mains de maître qui reste un excellent moment de fantastique réussi et maîtrisé, générant par la suite moult succédanés fort médiocres.
  • MACBETH (1972)
    Note : 15/20
    Seizième adaptation, cette oeuvre de Roman Polanski doit beaucoup au travail de Kenneth Tynan, célèbre critique dramatique anglais et directeur du National Theater qui a étroitement collaboré au scénario. Ce fut un mémorable échec commercial !
  • DEUX HOMMES ET UNE ARMOIRE (1958)
    Note : 15/20
    Une succulente allégorie, pleine de poésie et d'amertume, qui révèle le talent de Roman Polanski, désormais plus souvent derrière la caméra (que devant).
  • LE GROS ET LE MAIGRE (1960)
    Note : 13/20
    Un sympathique exercice de style qui se regarde sans déplaisir.
  • PAULINE A LA PLAGE (1982)
    Note : 14/20
    Une œuvre de la série des "comédie et proverbes" en forme de chassé-croisé sentimental et amoureux sur l'inusable thème de la jalousie et de la possession qui manque tout de même de chaleur et de densité "émotives".
  • LES CHIENS DE PAILLE (1971)
    Note : 17/20
    Un crescendo de violence et de haine avivé par de nombreux ralentis et flash-back qui dynamitent véritablement le film, dans une apocalypse macabre et vengeresse.
  • MON CURÉ CHEZ LES NUDISTES (1982)
    C'est insipide et sans intérêt, comme quasiment tous les films du réalisateur, dans un stupide amalgame de clichés éculés qui utilisent les ingrédients habituels du caricatural simpliste. A perdre la foi (cinématographique).
  • WITNESS (1984)
    Note : 13/20
    Oeuvre solide et pleine d'émotion, avec un étonnant Harrison Ford !
  • CHAUSSETTE SURPRISE (1978)
    Producteur et réalisateur de films pornographiques, le metteur en scène Jean-François Davy sait donc aussi, de temps à autre, nous faire rire... de lui.
  • JEUX EROTIQUES DE NUIT (1978)
    Note : 6/20
    Le vrai visage du cinéma de Roger Vadim : creux, vide, insipide.
  • ROME COMME CHICAGO (1968)
    Sans intérêt. La présence de John Cassavetes ne peut s'expliquer vraiment.
  • UNE JOURNÉE PARTICULIÈRE (1977)
    Note : 16/20
    Oeuvre d'une extrême richesse qui à travers deux anodins citoyens, décrypte les sombres méandres du fascisme et reste parmi les meilleures oeuvres du réalisateur.
  • REPETITION D'ORCHESTRE (1978)
    Note : 16/20
    Un film de Federico Fellini généralement considéré, à tort, comme mineur, mais dans lequel se retrouvent tous ses thèmes de prédilection.
  • LA PARTIE DE CHASSE (1984)
    On pense bien sur a "la fete et les invites", a "la regle du jeu" et a "l'invitation" pour cette oeuvre demystifiant la rigidite sociale.
  • RUE DE LA SARDINE (1982)
    Note : 9/20
    Hormis une bonne photo, le sujet manque de dynamisme et d'originalité.
  • LE GEANT DE METROPOLIS (1961)
    Note : 13/20
    Peplum, quand tu nous tiens !
  • FEMMES (1982)
    Le film se veut une pertinente étude sur la relation amoureuse, loin de ses fréquentes et pesantes contingences de possessivité et de jalousie. Noble cause, jamais atteinte dans cette oeuvre fort prétentieuse, pseudo-poétique, d'un intellectualisme discutable et narcissique.
  • LES DERNIERS JOURS DE POMPEI (1959)
    Note : 12/20
    Grand spectacle toujours prenant où la patte de Sergio Leone se fait sentir.
  • ERASERHEAD (1977)
    Note : 16/20
    Film-culte aux Etats-Unis qui a eu un certain retentissement parmi les cinéphiles français (avec raison) et pour une frange de spectateurs, un profond rejet.
  • LA BLONDE DE PEKIN (1966)
    Film réalisé sur le succès grandissant de Mireille Darc, parfaitement à l'aise.
  • 1789 (1973)
    Sans jamais être simplement du théâtre filmé, cette oeuvre magistrale est en outre une solide étude sur le théâtre, ses coulisses et ses implications. Un film d'équipe qui présente d'évidents intérêts historiques et culturels.
  • RAMI ET JULIET (1987)
    Note : 14/20
    Une oeuvre bienvenue, à la solide et constante personnalité.
  • TUCKER (1988)
    Note : 14/20
    Sympathique au possible, un bon film qui aurait pu être un grand film.
  • LA ROUE (1920)
    Note : 20/20
    A l'origine, 16 mois de tournage, 10900 mètres de pellicule, 150 heures de rushes et 117 morceaux de musique pour parvenir, selon les époques, les restaurations, les montages, remontages et autres mutilations à des moutures de plus en plus élaborées, de plus en plus proches de l'originel imaginé par son réalisateur Abel Gance. Entre la version visionnée en 1990 au Maillon de Strasbourg (305 minutes), celle de 2008 au festival du film muet de Pordenone (260 minutes) et la projection sur la chaîne de télévision d'Arte en octobre 2019 (417 minutes) les ajustements, variables et complémentarités insérés dans le déroulement scénaristique ne font que confirmer, à chaque fois, avec un peu plus de brillance et d'hébétude, que nous sommes effectivement en présence d'un chef-d'oeuvre unique que bien des critiques et de nombreux cinéphiles considèrent comme le plus beau film de l'histoire du cinéma.
  • LE PASSEUR (1986)
    Note : 16/20
    Un merveilleux conte lapon en forme de fuite initiatique, émouvant et troublant.
  • COEUR FIDELE (1923)
    Note : 17/20
    On se souviendra longtemps de la fameuse scène de la fête foraine avec son étonnant montage virevoltant. Romantisme et mélodrame exacerbés.
  • FLAGRANT DÉSIR (1986)
    Note : 13/20
    Fort gouleyant. Mais on peut préférer "l'acidité" des précédents films de Faraldo.
  • TU NE TUERAS POINT (1988)
    Note : 17/20
    Une oeuvre étonnante, d'une désespérante fulgurance entre amer constat social, déchirante réflexion sur la peine de mort et cinglante démonstration cinématographique. Un grand moment de cinéma.
  • LA FUREUR DE VAINCRE (1972)
    L'action prime, bien sûr, dans ce genre de réalisation des plus physiques, où le jeu d'acteur de Bruce Lee éclate et transperce l'écran.
  • L'ANGE DE LA VENGEANCE (1980)
    Note : 13/20
    Une série B qui a du punch !
  • LA CITADELLE (1938)
    Note : 14/20
    Un film bienvenu et prenant qui aurait pu donner (peut-être) un inoubliable chef-d'oeuvre sous la griffe d'un Frank Capra ou d'un Leo Mac Carey.
  • LA NUIT BENGALI (1988)
    Note : 8/20
    Beaucoup trop superficielle pour apporter l'adhésion d'un public exigeant.
  • LA FEMME-ENFANT (1979)
    Note : 12/20
    Film sur l'enfance face aux adultes qui est une première oeuvre pleine de charme et d'attrait malgré certains défauts fort ennuyeux.
  • MON AMI LE TRAITRE (1988)
    Entre plaidoyer contre la peine de mort et fascination pour son personnage, un film fort bien ficelé qui nous réconcilie avec le metteur en scène.
  • LA FEMME DE MES AMOURS (1988)
    Sujet difficile, en partie raté, par un Mingozzi au creux de sa forme.
  • CROCODILE DUNDEE 2 (1988)
    Note : 9/20
    Autant la première mouture était fraîche et originale, autant cette suite se révèle poussive et limitée.
  • LA VOUIVRE (1988)
    Note : 13/20
    Quelques personnages pittoresques, au fin fond d'un Jura rural, lourdement stéréotypé dans une schématisation naturaliste (Belette, la servante débile; Requiem, le fossoyeur alcoolo; Urbain, le vieux serviteur; etc...) ne sauvent pas le film d'un cuisant échec où les personnages et l'histoire restent piteusement bancals.
  • MARATHON D'AUTOMNE (1979)
    Note : 12/20
    Les bienfaits de la "Glasnot" qui nous permet de voir des oeuvres fort estimables.
  • LES PLANQUÉS DU REGIMENT (1983)
    Comique troupier où se mèlent stupidement CIA, KGB, grosse farce et grossière rigolade pour une oeuvre d'une indigence et d'une misère totales.
  • PAPILLONS (1987)
    Note : 17/20
    Un film remarquable, d'une totale froideur apparente, clinique, qui sans se perdre dans une psychologie sommaire, dévoile bien plus qu'il ne montre, intensément.
  • DAR L'INVINCIBLE (1982)
    Dans le genre, relativement moyen !