Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • JE SUIS UN ÉVADÉ (1932)
    Note : 18/20
    A voir et à revoir comme un classique du genre.
  • OUTRAGE (1950)
    Note : 14/20
    Un excellent film en noir et blanc, pour une oeuvre somme toute courageuse, mais aussi quelquefois insidieusement réactionnaire dans son propos et sa dramaturgie.
  • L'HOMME AU MASQUE DE CIRE (1953)
    Note : 17/20
    Un incontournable classique du genre !
  • LES GRANGES BRULÉES (1973)
    Note : 10/20
    La confrontation des deux monstres sacrés Alain Delon et Simone Signoret est d'un lamentable ennui par la faute d'un réalisateur quelconque, voire médiocre qui se cantonnera après cette rature, dans la production télévisuelle.
  • LA PARADE DU RIRE (1934)
    Note : 15/20
    Imparable W.C. Fields !
  • AMERICA, AMERICA (1963)
    Note : 18/20
    Classique et chef-d'oeuvre, un film qui restera dans toutes les mémoires !
  • LES GRANDS ESPACES (1957)
    Note : 16/20
    Le mythique Ouest américain dans toute son étendue, sa puissance et ses affrontements, dans un excellent western non dénué d'humour et de grands sentiments.
  • AMBRE (1947)
    Note : 13/20
    Drame sentimental sur la vie mouvementée d'une jeune femme qui devient la favorite du roi Charles II auquel Preminger a su insuffler tout son talent et sa personnalité. Tout de même un peu ennuyeux !
  • JULES ET JIM (1961)
    Note : 13/20
    Histoire d'amour et d'amitié qui reste pour certains un excellent moment de cinéma et une oeuvre primordiale de François Truffaut, point de vue certes discutable.
  • LES AMANTS DE LA NUIT (1948)
    Note : 17/20
    Premier film réalisé par Nicholas Ray qui signe ainsi par un chef-d'oeuvre son entrée dans le gotha des metteurs en scène. Un film noir inoubliable et cruel.
  • LA RÉVOLUTION FRANÇAISE (1989)
    Pas de quoi retrouver son Histoire, dans cette incroyable accumulation de clichés.
  • LES AMANTS DU CAPRICORNE (1949)
    Note : 15/20
    Ce film fut un incroyable échec commercial à sa sortie aux States. Il reste pourtant un parfait petit chef-d'oeuvre dans la thématique hitchcockienne et dans la subtilité "tendue" du scénario. Une réalisation méconnue, mal-aimée, qui mérite enfin une rapide et totale réhabilitation. Il est à noter que l'insuccès fut tel qu'il mit fin à la compagnie indépendante (Transatlantic Pictures) que le metteur en scène avait créée.
  • JOUER SA VIE (1982)
    Note : 13/20
    Tourné avec humour et sérieux. Instructif et plaisant.
  • ALAMO (1960)
    Note : 15/20
    Oscar de la meilleure bande son 1960, l'oeuvre se veut une épopée lyrique à la gloire du courage, du dévouement et de l'esprit civique américains.
  • LA FORCE DES SENTIMENTS (1983)
    Note : 16/20
    Puissant, séduisant, intelligent !
  • L'AIGLE VOLE AU SOLEIL (1957)
    Note : 10/20
    Un film mineur dans la monumentale oeuvre de John Ford !
  • TONI (1935)
    Note : 17/20
    Un incontournable chef-d'oeuvre du cinéma français sur l'impossible amour entre deux personnes qui s'aiment, que tout sépare, et qui jamais ne se trouveront.
  • AIMEZ-VOUS BRAHMS ? (1960)
    Note : 12/20
    Pour retrouver la beauté et la présence d'Ingrid Bergman !
  • L'AILE OU LA CUISSE (1976)
    Note : 11/20
    Pas de quoi se pourlécher les babines. Louis De Funès rapplique toujours avec ses tics, son toc et ses grimaces usées et Coluche bedonnant tente, toujours vainement, de prouver qu'il est encore, tant soit peu, un acteur.
  • AIR FORCE (1943)
    Note : 15/20
    Une excellente oeuvre du grand Howard Hawks qui magnifie jusqu'au sublime les combats aériens et l'héroïsme légendaire des soldats yankees dans une mise en scène éclatante proche de la prouesse technique et de la perfection. Un spectacle fascinant.
  • DESTINATION GOBI (1953)
    Note : 12/20
    Correct et distrayant !
  • VERDICT (1974)
    Note : 9/20
    Un film qui mérite peut-être des circonstances atténuantes pour la bonne et lourde volonté de sa démonstration et la réalité de certaines de ses approches judiciaires, mais que l'on peut fort bien condamner à l'oubli cinématographique définitive.
  • LES JEUNES LOUPS (1960)
    Note : 9/20
    Sans grand intérêt, lourdement mélodramatique, une oeuvre somme toute ratée, bancale et pesante qui patauge dans les clichés.
  • L'AFFAIRE CICÉRON (1952)
    Note : 17/20
    Classique du cinéma d'espionnage d'un des plus grands réalisateurs américains.
  • LE JUGEMENT DERNIER (1961)
    Note : 14/20
    Approche décapante de la médiocrité humaine et du comportement social de l'individu qui vivait jusqu'à présent dans une existence limitée, hormis un couple de jeunes amoureux. Une parabole bienvenue d'un grand de la réalisation transalpine.
  • LES ANNEAUX D'OR (1947)
    Note : 14/20
    Fort convaincante interprétation de Marlène Dietrich en débordante et amoureuse tzigane, dans un ensemble plutôt plaisant, concocté par un spécialiste des romances cinématographiques, malgré une certaine propension au folklore et au démonstratif.
  • LE REBELLE (1949)
    Note : 17/20
    Une oeuvre solide comme un building (yankee) d'un excellent King Vidor.
  • L'ARBRE DE VIE (1957)
    Note : 11/20
    Comme souvent pour les films du cinéaste, moyen et sans réelle personnalité.
  • BONS POUR LE SERVICE (1935)
    Note : 17/20
    L'humour tonitruant et génial des rois du burlesque américain. Sans commentaire.
  • ARRET D'AUTOBUS (1956)
    Note : 14/20
    Un des meilleurs rôles de Marilyn Monroe qui ne tournera plus que cinq films.
  • JEUX DANGEREUX (1942)
    Note : 19/20
    Constellé de répliques ciselées dans un humour délicieusement ravageur qui s'égrène et scintille en cascades, dans une succession de séquences d'une pertinence et d'une finesse époustouflantes, ce permanent bonheur cinématographique confirme à nouveau la féconde originalité d'un réalisateur d'une irrésistible présence.
  • ARTISTES ET MODÈLES (1955)
    Note : 14/20
    Oeuvre bienvenue, parmi les dernières collaborations avec Dean Martin (enfin) qui dénote déjà le génie créatif de Jerry Lewis, qui explosera après son autonomie complète face à la tutelle d'autres scénaristes ou metteurs en scène.
  • LES CORDES DE LA POTENCE (1973)
    Seul John Wayne donne l'impression de tirer en partie son épingle du jeu de cette morne réalisation, impotente et fort réactionnaire. Un manichéisme outrancier, des acteurs au bord du ridicule et de la banalité font de ce film une superbe rature. Sujet à caution aussi, le rôle de J.D. Cahill, interprété par John Wayne dans un personnage lourdement sûr de lui, invincible et toujours victorieux.
  • L'ANGE DES MAUDITS (1951)
    Note : 16/20
    Un classique du cinéma langien, second film en couleurs et troisième western, avec une toujours remarquable Marlène Dietrich nous interprétant au passage quelques décisives et subtiles complaintes du genre et dont le tumultueux passé de l'héroïne qu'elle incarne se dévoile grâce à quelques judicieux flash-back éloquents sur cet "ange des maudits" auquel Vern le vengeur va lui aussi succomber.
  • LEON MORIN PRÊTRE (1961)
    Note : 15/20
    Une oeuvre fort justement distinguée par le Grand Prix de la ville de Venise, avec un Belmondo parfaitement crédible, encore fort éloigné du cinéma commercial.
  • ATLANTIS TERRE ENGLOUTIE (1961)
    Note : 16/20
    Un classique du genre, au scénario et aux trucages hautement délirants.
  • SALOMON ET LA REINE DE SABA (1959)
    Une superproduction en technicolor, fastueuse et grandiose avec une multitude de figurants anonymes, des décors gigantesques et somptueux pour clôturer avec pompe et regret la filmographie du réalisateur King Vidor et celle de l'acteur Tyrone Power, deux solides et géniaux piliers de la cinématographie américaine.
  • ATTAQUE (1956)
    Note : 17/20
    Démystification sévère et intelligente de la félonie et de l'abjection de la Grande Muette durant un épisode sanglant de La Seconde Guerre Mondiale. Un film tonique d'une sympathie rageuse que seul le cinéma américain peut se permettre de produire. En France, notre frilosité manque encore de ce courage.
  • HERCULE À LA CONQUÊTE DE L'ATLANTIDE (1961)
    Note : 14/20
    Revoir à nouveau les inoubliables péplums de notre enfance.
  • AU-DELA DU MISSOURI (1951)
    Note : 17/20
    Une remarquable interprétation de Clark Gable dans le rôle de Flint Mitchell, chasseur de castors et partenaire convaincu et convaincant des amours pluri-raciales. En prime, une excellente étude sur les moeurs de certaines tribus indiennes avec leur code d'honneur et leur sauvage existence, dans l'immensité de leur territoire.
  • GORGO (1961)
    Note : 17/20
    Merveilleux petit film d'atmosphère aux trucages parfaitement réussis et au suspense garanti. Une rareté au cinéma.
  • LA RUÉE VERS L'OUEST (1960)
    Une époustouflante première partie pour un film renié par son réalisateur.
  • LE GRAND RISQUE (1961)
    Pas de quoi perdre le nord !
  • SERENADE À TROIS (1933)
    Note : 18/20
    Quel merveilleux petit bijou d'humour et de complicité !
  • ROSSIGNOLS EN DECEMBRE (2011)
    Note : 19/20
    Un étonnant et fascinant court métrage halluciné, introduit par un texte radical et définitif qui rappelle avec bonheur les œuvres et les croquis du dessinateur Cardon : "In my beginning is my end. Now the light falls".
    Pour visionner le court métrage
  • LA FEMME SQUELETTE (2009)
    Note : 18/20
    Une œuvre magnifique, s'étirant dans une lancinante nébuleuse poétique, soutenue par un texte d'une mélancolique douceur, qu'une permanente inventivité visuelle anime et bouleverse.
    Pour voir le court métrage.
  • LA BANDE À BAADER (2008)
    Note : 10/20
    RAF contre RFA : dans un match de longue haleine, truqué de longue date, perdant connu d'avance, il en résulte une médiocre œuvre cinématographique qui a comme seul et unique mérite, de respecter l'historicité des faits. Ce qui ne signifie en rien, respecter les personnes. En effet, comme la plupart des médias de l'époque et d'aujourd'hui, le film présente les principaux terroristes comme des illuminés, ne crachant pas sur les bienfaits de ce qu'ils dénonçaient, obsédés de la galipette et de la violence, en faisant une solide impasse sur le contexte historique de leur action et sur l'itinéraire politique qui les y a conduite. Des quelques rares tentatives qui existent à ce jour, "L'Allemagne en automne" d'un collectif de onze réalisateurs, l'excellent et maintes fois primé film de Margarethe von Trotta "Les années de plomb"," le plutôt quelconque "Baader" de l'insignifiant Christopher Roth, l'estimable "Stammheim" de Reinhard Hauff, l'intéressante production de Volker Schloendorff "Les trois vies de Rita Vogt", on ne voudra retenir finalement que l'apaisé documentaire de Timon Koulmasis, réalisateur allemand d'origine grecque "Ulrike Marie Meinhof" loin du tumulte putassier et financier d'un Uli Edel à la réputation amplement surfaite au vu de sa pénible filmographie.
  • NUAGES EPARS (1967)
    Note : 18/20
    Dernière œuvre (en couleur) du prolifique metteur en scène nippon (92 films) ce splendide mélodrame japonais qui rappelle par bien des aspects Une autre fulgurance du Septième Art, véritable chant du cygne d'un cinéaste qui a toujours été relégué (à tort) derrière l'indécrochable triumvirat formé par Ozu, Mizoguchi et Kurosawa et que le 25e Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul (2019) a remis en lumière.
  • NONO NÉNESSE (1975)
    Note : 15/20
    En hommage à un certain cinéma muet qui lorgne vers les fameux compères Laurel et Hardy ("Les bons petits diables"), un court métrage savoureux et délirant.
  • AU-DELÀ DE NOS RÊVES (1998)
    Note : 9/20
    Beaucoup de mièvrerie sirupeuse et un peu de gâtisme précoce. Autant revoir "Always" ou bien "Truly, madly, deeply".