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LE REBELLE-1949-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The fountainhead
Durée : 1h52
Date de sortie en France : 08/03/1950
Themes
Journalisme et presse
- cinéma américain -
Mariage
- cinéma américain -
Milieu judiciaire et juridique
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Architectes
- cinéma américain -
Réalisation : King VIDOR
Scénario : Ayn RAND
Inspiration : D'après le roman éponyme de Ayn RAND
Prise de vues : Robert BURKS
Musique : Max STEINER
Production Henry BLANKE
Décors : Edward CARRERE
Distributeur : Warner Bros
Visa d'exp. : 9103
Résumé
Howard Roark est un jeune architecte aux idées tellement inédites et novatrices qu'il se retrouve dans de graves difficultés financières, bientôt obligé de travailler comme simple ouvrier dans une carrière. C'est là, qu'il fait la connaissance de Dominique Francon, fille blasée d'un riche entrepreneurde la région. Le "couple" se revoit quelques mois plus tard, lors d'un fête organisée pour l'inauguration d'un bâtiment construit par Roak. Mais cette dernière épouse Gail Wynand, directeur du puissant journal "The Banner" farouche opposant aux théories de notre architecte "dissident".
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 17/20
Une oeuvre solide comme un building (yankee) d'un excellent King Vidor.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Malgré un a priori totalement négatif sur Ayn Rand (papesse de l'hyperindividualisme égoïste), après avoir vu ce film, véritable précis de sa pensée semble t-il (dénonciation d'une démocratie moutonnière indexée sur le dénominateur commun le plus bas, une démocratie des tabloïdes pour mieux réduire les individus à l'état de masse facilement manipulable, au détriment de l'épanouissement et de l'excellence individuels), je m'interroge... serais-je convaincu ? "Je revendique le droit de l'homme d'exister pour soi-même" déclare Howard ROARK lors de son procès. Que penser de cela ? Est-ce compatible avec la vie en société ? Est-ce possible sans la société ?Un tel système, pour convaincre, ne suppose t-il pas une résignation de la majorité, toute dévouée à l'épanouissement d'une minorité, ou bien l'espoir illusoire en chacun d'être un génie ? Je me demande où ça peut bien conduire... au LOUP DE WALL STREET ?
inconnu(e)
Le roman original s'appelle "La source vive" et réfère à la source individuelle, réelle que chacun doit cultiver en soi-même .
Bibliographie