Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 32 films notés

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  • ROUGE (1988)
    Note : 16/20
    Un émouvant et flamboyant mélodrame !
  • LE TEMPS DES AMANTS (1968)
    Mélodrame d'une constante lourdeur qui frise l'insupportable.
  • QUAND HARRY RENCONTRE SALLY... (1989)
    Note : 16/20
    Une oeuvre des plus intéressantes : par son humour tendre, désenchanté et pourtant toujours optimiste, par son lucide constat sans amertume des difficultés relationnelles entre hommes et femmes, par une brillante interprétation des deux acteurs principaux entre émotion, tendresse, déchirement et quête.
  • STAN THE FLASHER (1990)
    Note : 12/20
    Il faut d'abord reconnaître une excellente prestation de Claude Berri, dans un rôle "à bout de souffle", blessé, blessant, odieux, pathétique qui supporte à lui seul l'entreprise dans son inévitable et douloureuse progression suicidaire. Il faut laisser encore au crédit du film certains moments forts et troublants dans leur déchirante vérité / vacuité. Mais l'oeuvre est malheureusement trop courte ou trop longue et la frime (passagère) de Gainsbourg, toujours aussi insupportable.
  • BEAU TEMPS MAIS ORAGEUX EN FIN DE JOURNÉE (1985)
    Note : 14/20
    Premier film fort intéressant, souvent même attachant d'un réalisateur disparu trop tôt, qui conforte un certain cinéma français "vériste".
  • PORTRAIT D'UNE ENFANT DECHUE (1970)
    Note : 16/20
    Premier long métrage d'un metteur en scène peu prolifique qui reste pourtant incontournable, surtout pour ses réalisations durant la décennie des années 1970 et qui pour ce film souvent méconnu, magnifie l'actrice Faye Dunaway déjà au firmament de sa carrière, après son passage remarquable chez Elia Kazan et Arthur Penn.
  • LA GRANDE JAVA (1970)
    Le début de la fort catastrophique apparition cinématographique des Charlots.
  • LES TROIS MOUSQUETAIRES (1973)
    Une excellente interprétation de Michael York, dans un film souvent humoristique, mais qui manque tout de même de souffle épique.
  • TONNERRE (1983)
    Une oeuvre fort moyenne, souvent bancale, mais jamais détestable.
  • BARRY LYNDON (1975)
    Note : 16/20
    Dixième oeuvre de Stanley Kubrick qui reste un grand moment de cinéma.
  • LA VIE DEVANT SOI (1977)
    Note : 13/20
    Pour Simone Signoret, uniquement.
  • ON L'APPELAIT MILADY (1974)
    Une mise en scène dynamique pour une oeuvre de distraction.
  • HORS-LA-LOI (1984)
    Le cinéma dit "branché" dans toute sa fatuité, insignifiant et prétentieux dans ses propos, lourd et ennuyeux dans sa réalisation.
  • ARROWSMITH (1931)
    La réalisation préférée de l'acteur Ronald Colman, qui fut nominée aux Oscars du meilleur film. Une oeuvre rare d'une constante poésie qui mérite la contagion.
  • SERENADE AU TEXAS (1958)
    Une oeuvre sans intérêt !
  • UNE FEMME SEULE (1982)
    Note : 15/20
    Une oeuvre souvent admirable, d'une désespérance totale dans laquelle aucun des principaux personnages, englués dans une médiocrité quotidienne constante, que les conditions matérielles, politiques (cinglante critique du régime polonais) et l'environnement social ne font qu'accentuer, ne tirent du spectateur une sympathie excusable ou faussement compréhensive, voire de la compassion, donnant par cette distanciation même, sa puissance et sa rigueur au film.
  • ENTR'ACTE (1924)
    Note : 18/20
    Un classique du cinéma mondial, surréaliste, délirant, joyeux et ravageur !
  • LES DEMONS DE LA LIBERTE (1947)
    Note : 17/20
    Chef-d'oeuvre du film noir américain qui révéla Burt Lancaster !
  • VAQUERO (1953)
    Note : 14/20
    Une oeuvre fort intéressante et plus qu'honorable !
  • LA PERLE (1945)
    Note : 15/20
    Une superbe photo en noir et blanc !
  • SAUVE-TOI LOLA (1986)
    Un sujet bien trop grave pour la superficialité d'un Michel Drach.
  • LE FANTOME DE CANTERVILLE (1944)
    Note : 12/20
    C'est bon enfant, et surtout Charles Laughton est (toujours) excellent.
  • LA HUITIÈME FEMME DE BARBE-BLEUE (1938)
    Note : 18/20
    Succulent, d'une superbe finesse et d'une charmante drôlerie. On oubliera pas de si tôt l'utilité soporifique du nom propre "Tchécoslovaquie".
  • LES BAS-FONDS DE MEXICO (1948)
    Note : 13/20
    Mélodrame mexicain qui évite le larmoyant et qui soigne la prise de vue.
  • MALONE UN TUEUR EN ENFER (1986)
    Bof. Sans genie. Passable.
  • LE CHAT DANS LE SAC (1964)
    Note : 15/20
    Premier long métrage d'un réalisateur canadien rare et pertinent qui s'était déjà illustré auparavant par quelques courts documentaires qui avaient capté avec bonheur et finesse des bribes et des témoignages de la quotidienneté québécoise. Prenant comme linéaire prétexte scénaristique, la crise relationnelle d'un jeune couple, le metteur en scène stigmatise en filigrane la profonde inquiétude des habitants du Québec face à l'hégémonie britannique qui mènera avec succès et brio, quelques années plus tard à la naissance du premier gouvernement québécois souverainiste.
  • MAURICE (1987)
    Note : 17/20
    Un véritable chef-d'oeuvre de finesse, de sensibilité entre peinture d'une époque et reflet d'une âme, comme seul James Ivory peut nous les offrir.
  • GOLIATH A LA CONQUETE DE BAGDAD (1964)
    Note : 8/20
    Un péplum fort insipide malgré quelques rares scènes efficaces.
  • PERIL SUR LA LUNE (1988)
    Note : 5/20
    Une oeuvre fort médiocre, aux dialogues insignifiants et navrants qui ne mérite aucune attention tellement le scénario est inepte et plutôt débile.
  • COLONEL REDL (1985)
    Note : 15/20
    Un festival Klaus-Maria Brandauer !
  • FRANCISCA (1981)
    Note : 14/20
    L'univers traditionnellement tourmenté des personnages de Manoel de Oliveira.
  • AFFAIRE CLASSEE (1930)
    Note : 14/20
    Une rarete, tres peu distribuee qui merite une decouverte.
  • ACTE DU PRINTEMPS (1962)
    Note : 10/20
    Cette transposition de la Passion du Christ, version Oliveira, perdant la naïveté et "l'authenticité" de la version théâtrale, n'évite pas toujours les écueils de la lourdeur pathétique, entre exaspération et ridicule.
  • CHASSEUR DE PRIMES (1965)
    Western moyen qui s'essaye à la psychologie et qui réussit parfaitement à poser l'ambivalente dualité entre une morale "non-agressive" et des circonstances inhabituelles qui amènent quelquefois à se renier.
  • L'HOMME QUI RIT (1928)
    Note : 16/20
    Une composition étonnante de Conrad Veidt pour une oeuvre des plus solides.
  • MAD MAX 2 (1981)
    Note : 11/20
    On est déjà fort éloigné de la qualité de la première mouture, même si l'action est privilégiée et bien menée, que le cinéaste reste inchangé et que Mel Gibson assure.
  • KHARTOUM (1966)
    Héroïsme grandiloquent et aventures de pacotille pour une oeuvre fort décevante d'un réalisateur britannique, dans le passé plutôt intéressant.
  • LES ETRANGLEURS DE BOMBAY (1959)
    Note : 9/20
    Une série de scènes pseudo-atroces, plutôt de mauvais goût : prisonniers égorgés en série, cadavres enterrés puis déterrés, main coupée de l'ordonnance du capitaine, mutilations et marquages au fer rouge. Souvent grotesque et ridicule, une étonnante déception venant de Terence Fisher, en phase descendante.
  • LA SOURCE DE FEU (1935)
    Note : 15/20
    Un classique du cinéma fantastique, kitsch, rétro et emphatique.
  • ADIOS CALIFORNIA (1977)
    Western-spaghetti sans ampleur ni raison d'être.
  • DIX MILLE CHAMBRES À COUCHER (1956)
    Premier film de Dean Martin sans son alter ego, l'incommensurable Jerry Lewis, une comédie romanesque qui se regarde avec désinvolture et décontraction.
  • ALEXANDRE LE GRAND (1980)
    Note : 17/20
    Un pur joyau cinématographique !
  • ON S'EN FOUT NOUS ON S'AIME (1982)
    Note : 9/20
    Oeuvre fort passable, mais qui fera un effet miraculeux dans la médiocre filmographie du réalisateur, souvent d'une consternante fadeur.
  • LE DÉCLIC (1984)
    Une évidente et plutôt amère déception. Autant relire la fameuse bande dessinée en question dont la puissance évocatrice et l'érotisme n'avaient pas qu'une réelle virtualité.
  • DEUX FLICS A CHICAGO (1986)
    Entre parodie et comédie, un excellent et bienheureux divertissement.
  • DIS BONJOUR À LA DAME (1976)
    Consternant au possible ! C'est du "Michel Gérard", pas étonnant.
  • LES KEUFS (1987)
    Une oeuvre fort quelconque !
  • ROGER ET MOI (1989)
    Note : 15/20
    Un documentaire politique superbe !
  • PROVIDENCE (1977)
    Note : 17/20
    Une pure merveille cinématographique, d'une rigoureuse construction associative entre gravité et cohérence, imaginaire et réalisme qui enchante l'âme et la pensée.
  • COMME LES DOIGTS DE LA MAIN (1984)
    Note : 11/20
    Drôle, mais on se lasse vite de la "minceur" du sujet.