Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 41 films notés

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  • PAIR-IMPAIR (1983)
    Note : 15/20
    Apparemment rien que du très banal dans la vision d'un enfant partagé entre son père et sa mère, sans heurt quelconque ni dramaturgie excessive. Et c'est la pirouette finale du film, qui assure pourtant tout le charme de ce film court réellement bienvenu.
  • CENT MILLE DOLLARS AU SOLEIL (1963)
    Note : 11/20
    Un film grand public qui ne brille absolument pas par sa profondeur de réflexion ou l'originalité de son scénario. Ces deux critères d'appréciation en sont totalement absents, effacés. Restent un peu d'action et le jeu des acteurs pour ne pas dételer rapidement. Une nostalgie pour le trio Lino Ventura / Gert Froebe / Bernard Blier, des perfectionnistes du 7eme Art, aujourd'hui disparus.
  • NAPLES AU BAISER DE FEU (1937)
    Note : 12/20
    Surtout pour le fameux trio Tino Rossi / Viviane Romance / Mireille Balin.
  • LE REFRACTAIRE (1941)
    Note : 15/20
    David Miller s'intéresse plus à la psychologie de son héros qu'à ses exploits meurtriers et c'est ainsi que son film y gagne en intensité. Remarquable en tous points !
  • PAIN AMOUR ET FANTAISIE (1953)
    Note : 12/20
    Un sympathique divertissement portant souvent a sourire et qui, malgré un humour certain et un constant ton de justesse et de finesse, sent quelque peu la naphtaline.
  • IL FAUT MARIER PAPA (1962)
    Note : 13/20
    Une oeuvre moyenne dans la vaste filmographie du réalisateur, qui est tout de même plaisante et permet de passer un agréable moment.
  • MOSCOU NE CROIT PAS AUX LARMES (1980)
    Note : 15/20
    C'est gai, harmonieux et frais, malgré l'incontournable pensum d'une lourde morale socialiste finale, penchant vers une normalisation bon enfant et mystificatrice.
  • CARGAISON DANGEREUSE (1959)
    Note : 11/20
    Avant-dernier film de Gary Cooper qui n'affectera pas les mémoires.
  • LA MORT DE BELLE (1960)
    Cinquième film de Molinaro qui arrive à retraduire la densité du roman de Georges Simenon, malgré certaines lenteurs dans le déroulement du scénario. Un bon moment, pourvu que l'on ne soit pas trop exigeant et en prime, un excellent Jean Desailly.
  • CARREFOUR (1938)
    Note : 15/20
    L'exceptionnel plaisir de revoir le génie cumulé de Charles Vanel et Jules Berry.
  • PASTORALE (1976)
    Note : 16/20
    Admirable film régionaliste russe qui dépeint avec émotion et humour la vie quotidienne campagnarde avec ses personnages chaleureux et d'une constante densité humaine. Bucolique, tendre et documentée, une oeuvre solide entre poésie et réalisme.
  • LA CHARGE DE LA HUITIÈME BRIGADE (1964)
    Note : 17/20
    Un classique du western qu'on ne se lasse pas de revoir.
  • OUTLAND (1981)
    Note : 14/20
    Une sorte de western sidéral, quelquefois sidérant, parfaitement maîtrisé, qui malgré l'anticipation du scénario est, sous bien des aspects, parfaitement assimilable, transposable à notre réalité quotidienne du 21eme siècle.
  • CHASSE A L'HOMME (1941)
    Note : 16/20
    Un intéressant film d'aventures doublé d'une efficace propagande anti-nazie, une oeuvre vraiment prenante et un excellent moment de cinéma.
  • OSCAR (1967)
    Note : 10/20
    Quiproquos en chaîne et feu d'artifice de Louis de Funès crevant l'écran par sa présence nerveuse et volubile. On se marre bien, sans finesse ni détour, mais tout ce remue-ménage cacophonique reste bien stérile devant certaines comédies américaines haut en panache et en humour. Pas d'Oscar pour "Oscar".
  • QUAND LA PANTHÈRE ROSE S'EMMÊLE (1976)
    Note : 13/20
    Parfois hilarant.
  • Ô CES BELLES MÈRES (1924)
    Note : 18/20
    Inimitable et savoureux !
  • QUE FAISIEZ-VOUS QUAND LES LUMIERES SE SONT ETEINTES ? (1968)
    Hormis la composition de Terry-Thomas en avocat pressé à faire divorcer sa cliente, le reste du film et les différents personnages sont bien poussifs.
  • L'ADDITION (1983)
    Note : 12/20
    Oeuvrette honnête qui ne dépasse jamais la simple anecdote et n'arrive pas à la véritable dimension des rapports maître / esclave, victime / bourreau, fascination / répulsion qui formatent et démâtent toute relation humaine.
  • ELISE OU LA VRAIE VIE (1969)
    Note : 15/20
    Une oeuvre courageuse, toujours d'actualité.
  • ADEMAI AVIATEUR (1934)
    C'est gai et sans aucune prétention. Pour les nostalgiques de Fernandel.
  • DIANE DE POITIERS (1955)
    Note : 12/20
    L'histoire de France revisitée par Hollywood.
  • ADIEU PHILIPPINE (1960)
    Note : 15/20
    Une petite histoire racontée avec un grand souci d'authenticité, de spontanéité et de vivacité. Premier long métrage de Jacques Rozier où le charme et la gaité se partagent allègrement l'écran en toute jeunesse et sympathie.
  • DEUX SOUS D'ESPOIR (1952)
    Note : 16/20
    Troisième partie de la trilogie néo-réaliste, traitant avec tendresse, humour et poésie, des problèmes sociaux, une oeuvre sincère et fort savoureuse.
  • A LA RECHERCHE DE MR. GOODBAR (1977)
    Note : 16/20
    Un film superbe, désespérant et mortellement pessimiste.
  • LE PÈRE DE LA MARIÉE (1950)
    Note : 17/20
    Excellente comédie américaine, pleine de gaieté et de dynamisme qui raconte avec force humour les perturbations et autres aléas provoqués dans une paisible famille yankee par les noces de leur fille. Bonne humeur et distraction garanties. Décidément, Spencer Tracy reste un des plus grands acteurs américains de l'époque.
  • ALICE AU PAYS DES MERVEILLES (1951)
    Note : 18/20
    Inoubliable festival de trouvailles visuelles et sonores sur fond d'enfance et de rêverie. A revoir entre deux cafards et trois soupirs, de génération en génération.
  • LES NAUFRAGES DU 747 (1977)
    Note : 10/20
    Film catastrophe bien ficelé, avec les éternels personnages "symboles", archétypaux jusqu'au bout de la carlingue et des ongles, qui peut ne pas se regarder, tellement le genre est imité, imitable, resucé et forcément sans grande surprise. Autant donc changer de destination ou de chaîne de télévision.
  • ALVAREZ KELLY (1966)
    C'est une oeuvre de démystification peignant l'atmosphère de la Guerre de Secession et ses atrocités. Si la fin du film rachète le personnage peu sympathique interprété par William Holden, l'ensemble reste bien triste.
  • ANNIE HALL (1977)
    Note : 16/20
    En grande partie autobiographique, avec cet humour acide, yiddish et distancié qui fait le propre et le propos de Woody Allen, un film incontestablement original et superbe. Une oeuvre dont on ressort, ravi, enchanté, plus intelligent.
  • AME NOIRE (1962)
    Note : 15/20
    Une intéressante rareté.
  • LA BLONDE DEFIE LE FBI (1966)
    Note : 11/20
    Quelques gags bienvenus, mais l'ensemble est fort poussif et un peu languissant.
  • ATOUT COEUR A TOKYO POUR O.S.S. 117 (1966)
    L'invraisemblance et l'indigence de la mise en scène nous empêchent d'adhérer, même imparfaitement au récit et en font une oeuvre somme toute passable. Rien de nouveau dans la schématisation habituelle des films du genre avec les éternels archétypes (organisation secrète, base militaire américaine en danger, héros beau, jeune, invincible et séducteur, exotisme de pacotille.
  • GARDE À VUE (1980)
    Note : 15/20
    Excellent film psychologique où le suspense scénaristique se marie parfaitement avec l'interrogatoire policier en donnant à l'histoire un réel intérêt, rehaussé par un formidable jeu d'acteurs (Lino Ventura / Michel Serrault) sur lesquels repose entièrement la réussite de l'oeuvre. Une réalisation correcte, bien charpentée, qui laisse un bon souvenir cinématographique comme bien des œuvres du metteur en scène.
  • L'AFFAIRE D'UNE NUIT (1960)
    Note : 13/20
    Honnête et sympathique réalisation !
  • LA PROIE DU MORT (1941)
    Note : 13/20
    Intrigant, mais sans véritable tonus !
  • L'AFFAIRE KOLBERG (1945)
    Note : 15/20
    Un film rarement projeté, qui provoque curiosité expectative, réflexions historiques et quelquefois polémiques, ainsi qu'un intérêt cinématographique évident.
  • LA PERLE NOIRE (1953)
    Excellent petit film d'aventures qui délasse parfaitement.
  • L'AMOUR D'UNE FEMME (1953)
    Note : 16/20
    Dernier long métrage de l'immense cinéaste, accumulant échecs commerciaux sur incompréhensions et rejets de la critique de l'époque, qui nous vaut un excellent film psychologique dans le cadre enchanteur de l'espace breton.
  • L'EXTRAVAGANT MONSIEUR DEEDS (1936)
    Note : 18/20
    Merveilleuse fable humaniste à ranger au rayon des chefs-d'oeuvre de la comédie.
  • L'APPÂT DE L'OR NOIR (1966)
    Western à l'européenne, plein de bons sentiments, prônant l'amitié entre Blancs et Indiens. Oeuvre mineure à laquelle on ne peut guère accorder de crédit qui nous offre de magnifiques paysages et des morceaux de bravoure habituels à ce genre de films.
  • LE GENDARME DE SAINT-TROPEZ (1964)
    Note : 13/20
    Premier film de la longue série, finalement plutôt acceptable et sympathique par rapport à certains médiocres succédanés, mais facile et purement ponctuel.
  • L'ANNÉE DES MÉDUSES (1984)
    Note : 7/20
    L'écrivain et metteur en scène Christopher Frank reste bien plus convaincu et convaincant dans la texture de son oeuvre littéraire, que par sa médiocre et quelconque adaptation cinématographique. Les coelentérés peuvent nager tranquille.
  • AU REVOIR MON AMOUR (1952)
    Note : 6/20
    Du mélo au quintal trempé dans des clichés touristiques de l'Italie.
  • L'ARC-EN-CIEL (1943)
    Note : 14/20
    Une oeuvre plutôt intéressante et bienvenue, malgré la lourdeur d'un manichéisme simpliste et des poncifs insupportables dans le déroulement de l'histoire. Entre lyrisme poétique et puissant film de propagande anti-nazi.
  • BLOW-UP (1967)
    Note : 16/20
    Rêve ou réalité, le mystère s'épaissit jusqu'au trouble et au doute final. Pour aboutir à cette oeuvre allégorique et fascinante, au troublant questionnement existentiel.
  • CE SACRE GRAND-PERE (1967)
    Malgré la présence d'un toujours bienvenu Michel Simon, le film ne présente que peu d'intérêt et risque fort d'ennuyer à la longue.
  • LE BON LA BRUTE ET LE TRUAND (1966)
    Note : 16/20
    Western à la sauce spaghettis, qui n'a rien perdu de son humour discret et de son épicée saveur. Une solide réussite dans le genre et dont la lancinante musique traîne encore dans toutes les oreilles. Une oeuvre qui se revoit donc avec un réel plaisir.
  • LA BATAILLE DU RAIL (1945)
    Note : 17/20
    Un incontestable chef-d'oeuvre émouvant de véracité et de force.
  • LE BON ROI DAGOBERT (1984)
    Certainement un des plus mauvais films de Dino Risi qui se vautre dans la vulgarité facile et la stupide pétomanie d'un Coluche, décidément fort décevant.