Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 39 films notés

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  • DOUBLE CHANCE (1940)
    Moyen, très moyen, un scénario original peu intéressant, malgré son origine de qualité, pour une réalisation lourde et ennuyeuse qui déçoit venant d'un tel cinéaste.
  • LE MIROIR SE BRISA (1979)
    Note : 11/20
    Malgré l'efficace support du roman d'Agatha Christie, l'oeuvre reste quelconque.
  • LA DIABLESSE EN COLLANT ROSE (1959)
    Note : 16/20
    Inoubliable festival Sophia Loren-Anthony Quinn et une autre réussite du cinéaste.
  • NASHVILLE LADY (1980)
    Superbe Sissy Spacey, primée par un Oscar d'interprétation en 1980.
  • L'ANNEE DU SOLEIL CALME (1984)
    Note : 15/20
    Sans sombrer dans le mélodrame fastidieux et pesant ou le documentaire revendicatif, une oeuvre sensible et pertinente, qui respire l'émotion humaine et la vérité. La plupart des interprètes, et en particulier Scott Wilson et Maja Komorowska, en tête de distribution, sont formidables d'authenticité.
  • NEIGE (1981)
    Note : 14/20
    Beaucoup de chaleur et de complicité pour les personnages, une approche humaine, proche du documentaire, pour une oeuvre sympathique et attachante.
  • L'INVASION DES PROFANATEURS (1978)
    Note : 15/20
    Excellent film de science-fiction, sur l'éternel thème de l'invasion de notre planète par des puissances extra-terrestres, qui allie avec pertinence et dynamisme le suspense, l'originalité et l'angoisse. Un film qui ne démérite en rien face à son illustre prédécesseur, modèle et référence du genre.
  • NEW YORK 1997 (1980)
    Note : 14/20
    Une œuvre d'anticipation plutôt prenante, des acteurs confirmés, un scénario d'une originalité évidente, de quoi réjouir les amateurs du genre.
  • JE SUIS TIMIDE... MAIS JE ME SOIGNE (1978)
    Un agréable film comique en forme de sketches plus ou moins réussis, qui propose un divertissement sympathique plus qu'honorable, avec quelques gags de bon aloi.
  • NIMITZ RETOUR VERS L'ENFER (1980)
    Note : 13/20
    L'entreprise manque de souffle, malgré un intéressant scénario.
  • JOUR DE FETE (1948)
    Note : 16/20
    Premier long métrage de Jacques Tati plus que prometteur puisque encore aujourd'hui, ce film reste une des plus belles réussites du cinéma français comique. L'histoire débute d'une manière extrêmement douce, puis les gags sont de plus en plus nombreux et la clownerie s'enchaîne et s'en donne à coeur joie jusqu'à la fameuse "tournée à l'américaine" point culminant du film.
  • JOURNAL INTIME D'UNE NYMPHOMANE (1972)
    Du cinéma honteusement racoleur !
  • L'AUBE ROUGE (1984)
    Note : 10/20
    L'anticommunisme primaire, doublé d'un scénario truffé d'invraisemblances énormes, un jeu d'acteurs mièvre et constipé dans un film raté sur un sujet fort original, mais hélas bien mal exploité par un réalisateur jamais transcendant.
  • L'AS DES AS (1982)
    Note : 8/20
    Aventures et poursuites dans le plus parfait style de la comédie médiocre et molle, où le Teuton est bête, laid et vulgaire, le Français, un monument de charme, d'intelligence et de débrouillardise. Oeuvre sans humour, sans histoire où seul le petit Simon reste spontané et d'une fraîcheur indéniable.
  • LES ANGES MARQUÉS (1948)
    Note : 17/20
    Le meilleur film du cinéaste, qui nous propose une oeuvre hautement bouleversante, d'une véracité insoutenable et d'un puissant humanisme rédempteur.
  • BEN-HUR (1925)
    Note : 18/20
    Une œuvre monumentale par bien des aspects divers et variés, le démentiel nombre de figurants, le colossal investissement financier de la production, l'ampleur phénoménale de quelques séquences (l'affrontement naval, la course de chars) qui font de cet inamovible classique du muet, un époustouflant moment de cinéma que l'on prit plaisir à retrouver au 34e Internationale Stummfilmtage de Bonn (2018).
  • CLÉRAMBARD (1969)
    Honnête petit film, sans grande ambition qui vaut le détour pour son sympathique esprit anticlérical, dans l'humour débonnaire et joyeux d'Yves Robert.
  • BEN-HUR (1959)
    Note : 17/20
    Une oeuvre magnifique qui berça l'enfance de bien des têtes blondes et qui reste, au-delà de son message biblique, un classique inamovible du péplum.
  • LES AVENTURES DE HADJI (1954)
    Amours et péripéties à la pelle pour le couple en cavale, version "Contes des Mille et Une Nuits" dans un film somme toute fort moyen et ayant bénéficié d'une courte distribution dans l'Hexagone. Une réelle curiosité cinématographique.
  • IVANHOE (1952)
    Note : 14/20
    Une des meilleures et des plus séduisantes interprétations de Robert Taylor.
  • BENJAMIN OU LES MÉMOIRES D'UN PUCEAU (1967)
    Note : 15/20
    Entre légèreté et divertissement, une comédie brillante et facile, respirant la liberté du sentiment, le batifolage des coeurs et une certaine douceur de vivre, amorale et sainement hédoniste qui fut honorée par le prix Louis Delluc.
  • LA BOUM 2 (1982)
    Note : 9/20
    Une production Marcel Dassault, C'est tout dire. On ne peut que constater avec colère et consternation, l'irrémediable "perdition" de Claude Pinoteau, en papa gâteux.
  • LES BONS VIVANTS (1965)
    Note : 12/20
    Finalement, on ne retiendra vraiment que la prestation du toujours bienvenu Bernard Blier, dans un ensemble bien terne, surfait et même pas drôle !
  • LA ZIZANIE (1977)
    Note : 6/20
    La société libérale avancée, version Claude Zidi, dans un film solidement nul et horriblement interprété, avec comme suprême calvaire, Annie Girardot.
  • COUSIN COUSINE (1975)
    Note : 13/20
    Sympathique petite comédie française, respirant la fraîcheur et la liberté, qui, par son ton mi-humoristique, mi-grinçant, propose un agréable divertissement familial.
  • DERNIER DOMICILE CONNU (1969)
    Note : 13/20
    Agréable polar réalisé avec maîtrise et pertinence par un José Giovanni au meilleur de sa forme et soutenu entièrement par la formidable stature du puissant Ventura.
  • LA CAGE AUX FOLLES (1978)
    Note : 13/20
    C'est fort drôle, grâce à un étonnant jeu d'acteur de Michel Serrault et à la qualité humoristique des scènes adaptées de la célèbre pièce de Poiret. Il faut dire que l'homosexualité "tantousarde" et caricaturale reste une mine inépuisable du comique français, souvent traitée d'une manière éhontée voire graveleuse.
  • LE FAUVE EST LACHÉ (1958)
    Note : 14/20
    Sympathique production de la fin des années 1950 qui se révèle être un excellent film d'action avec comme pivot central, le superbe Lino Ventura dans un rôle à sa mesure, pour une solide prestation et une remarquable interprétation.
  • LA CHEVAUCHEE DES SEPT MERCENAIRES (1972)
    Cela peut se regarder.
  • LE GRAND ALIBI (1950)
    Note : 17/20
    Superbe film de suspense qui tient magnifiquement le spectateur en haleine (n'est pas l'assassin qui l'on croit) avec un scénario original et parfaitement maîtrisé.
  • LA CINQUIÈME OFFENSIVE (1973)
    Note : 15/20
    Film historique, traitant d'un événement majeur de la Seconde Guerre Mondiale, en Yougoslavie, qui mérite largement le détour et qui nous permet de retrouver la trop rare Irène Pappas en compagnie d'un Richard Burton à nouveau excellent. On peut se demander à juste titre, quel est le rôle exact qu'ont tenu les deux fameux co-scénaristes du film, Orson Welles et Serge Bondarchouk.
  • GARÇON ! (1983)
    Note : 11/20
    Yves Montand cabotine à qui mieux mieux, jusqu'à l'exaspération et la délicate sauce "Claude Sautet" commence à ne plus faire recette. Quelques rares moments d'émotion véritable. Une louche suffira désormais.
  • LE CANARD EN FER BLANC (1966)
    Malgré de très beaux décors, des couleurs soignées, une interprétation de qualité, cette oeuvre reste un produit de série qui ne laissera pas de souvenirs impérissables.
  • FLEUR D'OSEILLE (1967)
    Du cinéma commercial de bonne texture, en forme de pastiche des grands classiques de la série noire qui, sans enthousiasmer le spectateur un peu exigeant, ne provoque jamais l'ennui ou le désappointement rédhibitoire.
  • LE CHAMPION (1931)
    Note : 17/20
    Classique des classiques entre larmes et rires, l'émotion est garantie et le plaisir omniprésent qui confirme à nouveau l'excellence de King Vidor.
  • FEMME OU MAITRESSE (1947)
    Note : 15/20
    Film fort rare voire invisible qui ne pouvait que réserver que d'agréables surprises.
  • LE CHIEN DES BASKERVILLE (1958)
    Note : 15/20
    Intrigue, suspense et nostalgie sur la lande de Dartmoor, par un solide metteur en scène britannique, spécialisé dans le film fantastique, qui nous propose ici une oeuvre sympathique et d'excellente facture. L'époque inoubliable et féconde de la célèbre maison de production Hammer, avec son réalisateur-phare.
  • LE CANARDEUR (1974)
    Note : 14/20
    Un thriller bienvenu, valsant admirablement entre l'humour de qualité et l'action policière la plus échevelée, avec un Clint Eastwood magnifique de décontraction, entouré de quelques joyeux lurons acolytes fort complices. Premier long métrage du réalisateur Michael Cimino, sympathique au possible, qui connaitra la notoriété internationale quatre ans plus tard avec "Voyage au bout de l'Enfer".
  • LE CONCIERGE (1973)
    Un spectacle mi-figue, mi-raisin, quelquefois fort agréable, souvent d'une platitude langoureuse, qui peut se regarder nonchalamment à défaut de meilleur.
  • BRIGADE ANTI-GANGS (1966)
    Le type même du film médiocre : scénario invraisemblable et mal réalisé, jeux d'acteurs composés et sonnant faux, ensemble confus et fort insipide dans son déroulement. Il est vrai que Borderie n'a jamais brillé par son génie cinématographique.
  • FRANCOIS 1ER (1936)
    Note : 13/20
    Hilarant et superbe Fernandel !
  • BON POUR LE SERVICE (1963)
    Note : 15/20
    Antimilitariste et désabusé, un court métrage courageux et volontairement écarté de la distribution lors de sa sortie. La Grande Muette a encore ouvert sa gueule.
  • FREUD PASSIONS SECRETES (1962)
    Note : 15/20
    A travers un cas typique d'hystérie occasionnant cécité et paralysie, un condensé de la démarche freudienne où sont évoqués les différents cheminements (rêves, transfert, actes manques, etc...) qui expliquent et jalonnent son oeuvre et sa théorie.
  • BERLIN EXPRESS (1948)
    Note : 16/20
    Oeuvre parfaite d'une extrême densité émotionnelle et d'un suspense indéniable.
  • LA FEMME INFIDÈLE (1968)
    Note : 14/20
    Vision au scalpel d'un certain milieu aisé pour un rôle étonnant de Michel Bouquet.
  • BANDE À PART (1964)
    Note : 16/20
    Septième long métrage de Jean-Luc Godard tourné sur le mode ludique et farfelu, en hommage prononcé au poète Raymond Queneau, qui procure un réel plaisir et permet d'appréhender avec plus de clarté et de compréhension la suite de l'œuvre du metteur en scène bien plus saumâtre, pour virer ensuite à l'ineptie prétentieuse.
  • LE FILS DU DÉSERT (1948)
    Note : 18/20
    Quel merveilleux petit western, en forme de parabole biblique, qui recèle une puissante densité émotionnelle et un formidable jeu d'acteurs au meilleur de leur forme. A ne rater sous aucun prétexte, et à voir de préférence en version originale.
  • A 23 PAS DU MYSTERE (1956)
    Note : 16/20
    Un policier plein de suspense et d'angoisse, solidement charpenté et d'un constant intérêt dans la progression de son intrigue. Une oeuvre inoubliable qui mérite de figurer parmi les chefs-d'oeuvre du film noir américain.
  • LE FLIC RICANANT (1973)
    Note : 15/20
    Petit polar bienvenu, dans son ensemble captivant qui, sans atteindre la qualité et l'efficacité des modèles du genre, mérite tout de même considération, voire réhabilitation tant la critique de l'époque fut négative et tranchante. Quoiqu'il en soit, Walter Matthau n'a plus rien à prouver en sa qualité d'acteur complet.
  • LA DOUCEUR DE VIVRE (1959)
    Note : 15/20
    Le film fit scandale dans les sphères latines de l'aristocratie et de l'Eglise dès sa sortie pour sa tranchante dénonciation de la veulerie d'une certaine caste de riches, de parvenus, d'ecclésiastiques. Aujourd'hui, cette oeuvre semble avoir perdu de sa virulence originelle et de sa causticité faussement choquante.