Septième long métrage de Jean-Luc Godard tourné sur le mode ludique et farfelu, en hommage prononcé au poète Raymond Queneau, qui procure un réel plaisir et permet d'appréhender avec plus de clarté et de compréhension la suite de l'œuvre du metteur en scène bien plus saumâtre, pour virer ensuite à l'ineptie prétentieuse.