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IL FAUT MARIER PAPA-1962-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The courtship of Eddie's father
Durée : 1h58
Date de sortie en France : 27/11/1963
Genre : COMÉDIE
Theme
Relations entre père et fils
- cinéma américain -
Réalisation : Vincente MINNELLI
Scénario : John GAY
Inspiration : D'après le roman éponyme de Mark TOBY
Prise de vues : Milton KRASNER
Musique : George STOLL
Chanson : Victor YOUNG et Stella UNGER
Produit par Joe PASTERNAK
Costumes : Helen ROSE
Distributeur : MGM
Visa d'exp. : 27682
Résumé
Après la mort de sa mère, le jeune Eddie Corbett désire de tout coeur, que son tendre paternel cherche et trouve une femme pour un équilibrant remariage. Les occasions et les prétendantes ne manquent pas, mais ne sont pas toujours au goût et à la sympathie de l'un ou de l'autre, ce qui donne lieu à bien des quiproquos.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Une oeuvre moyenne dans la vaste filmographie du réalisateur, qui est tout de même plaisante et permet de passer un agréable moment.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Nota : dans le film de Minnelli : "Il faut marier papa" (1963) Glenn Ford regarde à la télévision, une scène de "Mogambo" de John Ford (1953)..... Le petit garçon de ce film est le futur héros de la série télévisée "Happy days" où il apparaît dans le rôle de Ritchie. Il est également le réalisateur du film "Cocoon" (09-04-89)
Très agréable comédie avec le jeune Ron Howard qui cabotine en diable et la merveilleuse Stella Stevens, débordante d'humour et de beauté.
Note : 18/20
Du haut de ses trois pommes, vouloir marier son père veuf... Voici une production de 1963, toujours piquante en 2010 pour qui surmonte l'habituel sirop musical de ces années-là en arrière-plan des scènes intimes. Couleurs harmonieuses, grande mobilité de caméra dans l'appartement où la radio du matin tranche avec ce qu'on voit. Vincente Minnelli ménage d'autres surprises derrière l'espièglerie centrale : qui n'a souhaité choisir le ou la partenaire de son parent resté seul, cet empoté, hein ?... Certes, l'issue se devine mais sa pertinence à l'image beaucoup moins. Qu'il est long à faire ce deuil de la gardienne du foyer morte à l'hôpital... Les portraits féminins défilent pourtant non stop, chacun dans leur spécialité (ce numéro de batterie !). Presque tout se passe dans les intérieurs douillets, priorité au ludique, on est bien dans les sixties... Père et fils, chacun dans leur brouillard mental, s'évitent. Mais dialoguent soudain d'homme à homme, attention, c'est Junior l'expert !