Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 38 films notés

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  • ENTRE ONZE HEURES ET MINUIT (1948)
    Note : 14/20
    Scénario un peu tarabiscoté, qui n'empêche point une présence sympathique de Louis Jouvet dans son second film avec le cinéaste, la même année. De toute façon, bien des oeuvres d'Henri Decoin méritent le détour, apportant son lot de contentement.
  • UN ESPION DE TROP (1977)
    Note : 11/20
    Malgré un excellent scénario original, le film pêche par manque de rythme, lassante répétition et une accumulation d'énormes invraisemblances.
  • CHRONIQUE DES ANNÉES DE BRAISE (1974)
    Note : 17/20
    Oeuvre-témoignage de ce que fut une partie de l'histoire de l'Algérie.
  • UN IDIOT À PARIS (1966)
    Note : 15/20
    Une superbe interprétation de Jean Lefebvre (peut-être son meilleur rôle) par un metteur en scène débutant (ce fut son second long métrage) qui à l'époque avait encore de quoi dire. D'une douce poésie, d'une grande et réelle tendresse, un film totalement bienvenu et sympathique. Ne boudons pas notre plaisir !
  • LA BASTON (1985)
    Note : 7/20
    Divertissement moyen, un peu bâclé, largement en-dessous des possibilités réelles du metteur en scène duquel on attend une prochaine et rapide réhabilitation.
  • UN MOMENT D'ÉGAREMENT (1977)
    Note : 13/20
    Mi-comique, mi-dramatique sur les rapports de force entre hommes et femmes, l'inévitable conflit de générations et la troublante attirance pour un lolitisme bienvenu.
  • L'ATLANTIDE (1948)
    Le roman de Pierre Benoit a maintes fois inspiré le cinéma. Cette nouvelle version, d'un romantisme de pacotille, n'est hélas guère convaincante. Malgré la relative performance des acteurs et la beauté des images, l'action est pesamment invraisemblable et le héros malheureusement fort inconsistant dans son action.
  • UN SOUPCON DE VISON (1962)
    Note : 17/20
    Superbe comédie américaine où les gags visuels et verbaux s'enchaînent à un rythme soutenu ainsi que les inévitables quiproquos en série. A redécouvrir pour un immense bol de rires et le couple Cary Grant / Doris Day.
  • L'AFFAIRE DU COLLIER DE LA REINE (1945)
    Reconstitution bien médiocre d'un fait histoire. Le film est truffé de moult erreurs et de nombreuses invraisemblances. Quant à la réalisation technique, elle déçoit par la platitude des effets, et l'interprétation est par trop théâtrale.
  • LA VALLEE DE LA VENGEANCE (1951)
    Une oeuvre à redécouvrir qui fut fraîchement accueillie à sa sortie.
  • LE DROIT DE TUER (1951)
    Note : 17/20
    Un petit film noir américain, longtemps inédit en France, qui nous vaut une excellente prestation de Walter Pidgeon en avocat justicier.
  • NICKY ET GINO (1988)
    Note : 8/20
    Une oeuvre décevante sans réelle consistance qui accumule les clichés et les manques d'inspiration, flirtant avec la mièvrerie filandreuse.
  • VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS (1955)
    Note : 14/20
    Film mélodramatique du grand Duvivier qui respire le cynisme et la noirceur dans une histoire relativement invraisemblable mais qui mérite que l'on s'y arrête, déjà pour compléter une filmographie de Gabin et revoir une époque épique du cinéma français.
  • LA VIE PASSIONNÉE DE VINCENT VAN GOGH (1956)
    Note : 16/20
    Une oeuvre solide, fidèle et d'une grande densité émotionnelle.
  • MADAME PORTE LA CULOTTE (1949)
    Note : 17/20
    Merveilleuse comédie américaine avec une époustouflante prestation d'acteurs et une étonnante finesse de la réalisation. Une jubilation pour le spectateur.
  • LA VIE PRIVÉE DE SHERLOCK HOLMES (1970)
    Note : 14/20
    Sympathique oeuvre de distraction rondement menée et fort bienvenue.
  • LE PONT VERS LE SOLEIL (1961)
    Un drame intéressant soutenu par l'interprétation de Carroll Baker.
  • LES VIEUX DE LA VIEILLE (1960)
    Note : 7/20
    Comédie sans aucun génie, aux dialogues indigents et à la mentalité tristement réactionnaire qui accumule des pitreries souvent lamentables !
  • QUAND PASSENT LES FAISANS (1965)
    Sans commentaire !
  • CLASSE TOUS RISQUES (1959)
    Note : 16/20
    Premier long métrage parfaitement maîtrisé, qui tient de bout en bout le spectateur en haleine et promet deux bonnes petites heures d'action, de suspense et de détente. Aucun "risque" quelconque de déception pour ce policier de première "classe".
  • LA 317ÈME SECTION (1964)
    Note : 16/20
    Pierre Schoendoerffer nous narre avec force et talent une histoire authentique et personnelle interprétée par d'étonnants acteurs plutôt convaincants.
  • LE GENDARME SE MARIE (1968)
    Note : 10/20
    Du comique facile et futile, qui ne doit pas pour autant être négligé, malgré la médiocrité insondable de son humour et la lourdeur éléphantesque de sa finesse. Un formidable filon de rentabilité pour les producteurs avisés et une incroyable mine de renseignements sociologiques concernant le spectateur moyen de la fin des années 1960. On n'en finit pas de sourire, quelquefois jaune.
  • LA VIEILLE DAME INDIGNE (1964)
    Note : 17/20
    Premier long métrage d'un réalisateur français essentiel qui impose et densifie un texte rare de Bertolt Brecht, avec une actrice étonnante de présence et de naturalisme, qui avait débuté à l'époque du cinéma muet et dont la magistrale interprétation d'une vieille dame en rupture avec les conventions, fut son inoubliable chant du cygne.
  • L'HOMME DE KIEV (1968)
    Note : 13/20
    Excellent scénario qui aurait mérité un plus grand investissement du réalisateur.
  • WEEK-END À ZUYDCOOTE (1964)
    Note : 14/20
    Une excellente interprétation des principaux comédiens dans une saga guerrière désenchantée, amère et sans illusion pour un des meilleurs films du réalisateur.
  • JULIETTE ET JULIETTE (1973)
    Un film plein de bonne humeur, construit un peu à la va-vite qui ne laissera aucun souvenir impérissable, mais qui peut se regarder nonchalamment.
  • YOYO (1964)
    Note : 17/20
    Un humour glacé, nostalgique rappelant le style et le génie de Buster Keaton.
  • LA MÉTAMORPHOSE DES CLOPORTES (1965)
    Note : 13/20
    Un film policier plutôt sympathique, qui a pourtant bien mal supporté le passage des ans et des fréquentes programmations et dans lequel, comme à son habitude, le père Ventura garde une éternelle et solide présence, malgré une correcte prestation des acteurs "d'accompagnement" et une savoureuse interprétation de Pierre Brasseur. L'époque où le réalisateur savait encore le sens du verbe filmer.
  • TESS (1979)
    Note : 12/20
    D'un splendide roman de Thomas Hardy, Polanski a fait une scrupuleuse adaptation qui a le mérite de la qualité et de l'esthétisme, folie et dépassement en moins.
  • MONSIEUR (1964)
    Note : 12/20
    Cinéma de boulevard au scénario parfaitement moulé pour la stature et le personnage de Jean Gabin, une oeuvre acceptable dans ces limites.
  • LE TOUBIB (1979)
    Note : 6/20
    Des tonnes de stéréotypes d'une facilité écoeurante pour un film débordant de fadeur galonnée et de viduité oppressante. Une "dindelonerie" stupide et militariste de plus, après le navrant film de Mark Robson, avec le même Delon, "les Centurions".
  • L'OPINION PUBLIQUE (1923)
    Note : 17/20
    Seul mélodrame de Chaplin, excellent !
  • UN ASSASSIN QUI PASSE (1980)
    Note : 12/20
    Honnête travail, sans réel génie, qui se regarde tranquillement.
  • LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY (1945)
    Note : 17/20
    Classique du fantastique et belle adaptation d'un livre-phare de la littérature !
  • UN MAUVAIS FILS (1980)
    Note : 13/20
    Une oeuvre moyenne, honnête de Claude Sautet qui se regarde sans déplaisir.
  • QUI ETAIT DONC CETTE DAME ? (1959)
    Note : 15/20
    Entraînante comédie fort sympathique au rythme souvent soutenu et au scénario des plus drôlement invraisemblable, pour notre évident contentement.
  • QUAND LES TAMBOURS S'ARRÊTERONT (1951)
    Sur le thème du rachat d'un mauvais personnage, qui, par un acte de courage et de dévouement, parvient à faire oublier un passé peu brillant, Hugo Fregonese nous propose un agréable divertissement dont le point culminant est le déferlement des hordes de Peaux-Rouges sur le village encerclé.
  • TEMPETE A WASHINGTON (1962)
    On notera une interprétation formidable de l'ensemble des acteurs, Charles Laughton en tête, dans son dernier rôle, et bien entendu, une réalisation solide d'Otto Preminger. A voir sans hésitation, toutes affaires cessantes.
  • LES QUATRE CENTS COUPS (1958)
    Note : 17/20
    Cette première oeuvre, en partie autobiographique, après quelques sympathiques incursions dans le domaine du court métrage, reste peut-être le meilleur film de notre réalisateur dont la plupart des films nous semblent souvent étrangement surestimés.
  • UN GRAND AMOUR DE BEETHOVEN (1936)
    Note : 16/20
    Un excellent Harry Baur !
  • L'AIGLE SOLITAIRE (1954)
    Delmer Daves a toujours été et reste un grand spécialiste du western : action bien rythmée, choix judicieux des extérieurs, prétexte à une splendide photographie des paysages sauvages voilés de brume, effets spectaculaires, jusqu'à la musique qui colle à l'action. Cependant le happy end de ce film estimable semble bien conventionnel.
  • YOSHIWARA (1937)
    Note : 12/20
    Epanchements et mélodrame à profusion pour une oeuvrette singulière, exotique, traversée d'un constant charme désuet d'arrière-saison. Un cinéaste à redécouvrir.
  • PATTON (1970)
    Une vision des combats vue du côté des gradés qui se veut une apologie de l'efficacité américaine.
  • L'AMOUR EN FUITE (1978)
    Note : 10/20
    A voir pour clore une histoire !
  • LE PETIT MONDE DE DON CAMILLO (1951)
    Note : 13/20
    Truculente comédie franco-transalpine souvent drôle, avec une savoureuse interprétation de Fernandel, qui fut un énorme succès populaire des années 1950.
  • LA CITADELLE ENGLOUTIE (1978)
    Note : 13/20
    Malgré l'abus de ralentis et de symbolisme, un court métrage étrange et quelquefois envoûtant.
  • NE PLEURE PAS (1978)
    Film prétentieux, prétendant dénoncer la violence, glosant sur l'intolérance et se perdant dans une ambiguïté douteuse. La violence n'est abordée que par le biais facile et fallacieux de la réaction individuelle, sans aucune approche sociale et politique.
  • LA COLLINE DES BOTTES (1968)
    Oeuvre souvent intéressante, malgré le baclage de la version française.
  • DÉSIR DE FEMME (1953)
    Note : 9/20
    Durant la première demi-heure, l'histoire semble cohérente, mais elle sombre peu à peu dans le mélodrame invraisemblable et parfaitement inutile qui gâche un bon jeu d'acteurs et une caméra fort habile. Tout de même une déception notoire dans l'intéressante filmographie de Douglas Sirk.
  • LE CHATEAU DU DRAGON (1946)
    Note : 16/20
    Une intrigue mélodramatique pour un film solide et sombre !