Certes l'intrigue est invraisemblable, mais compensée par une interprétation de qualité (du premier au plus petit rôle). Reste un témoignage de ce que furent les Halles et des portraits de femmes assez pessimistes : Danièle Delorme (à contre-emploi), Germaine Kerjean, Gabrielle Fontan et surtout Lucienne Bogaërt, géniale en morphinomane...