Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 43 films notés

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  • LA MAIN DANS L'OMBRE (1983)
    Note : 14/20
    Film intéressant d'un des cinéastes allemands les plus doués de sa génération.
  • PARENTS (1989)
    Note : 11/20
    Quelques bons effets, mais tout de même l'ensemble est largement surfait.
  • PREUVE À L'APPUI (1989)
    Note : 7/20
    Un thriller bien insignifiant de la part de Crichton que l'on a connu plus audacieux.
  • TAM-TAM (1955)
    Note : 10/20
    Jolie photographie pour ce petit film d'aventures que l'on oublie rapidement.
  • PORTÉS DISPARUS 2 : POURQUOI ? (1985)
    Inutile, nauséeux et vomitif !
  • ADIEU CANAILLE (1979)
    Le film lorgne avec insistance du coté de la série des "James Bond", il n'en résulte qu'une pâle copie qui, malgré quelques scènes d'action bien menées, manque d'intérêt.
  • MÉMOIRES DE PRISON (1984)
    Note : 14/20
    Un projet nourri depuis longtemps par le metteur en scène Nelson Pereira Dos Santos et qui mène à une remarquable et patente réussite.
  • TOUT CE QUE LE CIEL PERMET (1955)
    Note : 17/20
    Les mélodrames de Douglas Sirk sont à redécouvrir de toute urgence !
  • L'AFFAIRE DES DIVISIONS MORITURI (1985)
    Note : 9/20
    Récompensé par le Prix Spécial du Jury au Festival de Grenoble 1985, un film rugueux et peu aimable, à contre-courant de la production française de l'époque, mais qui à force de vouloir s'affranchir et affirmer une identité subversive finit par irriter même le spectateur le plus bienveillant. Pour nostalgiques de la grande époque punk.
  • DE SCHORPIOEN (1984)
    Note : 16/20
    Intelligent et puissant !
  • ACCIDENT (1967)
    Note : 16/20
    Oeuvre dense et puissante, exaltant la richesse des non-dits et la permanente ambivalence des rapports humains, dans laquelle écrivain, acteurs et réalisateur se transcendent admirablement pour notre plus grand contentement !
  • AIGLE DE FER (1985)
    L'invraisemblance de la situation gâche totalement les scènes de bravoure, aux commandes des jets et transpire toute la lourde idéologie reaganienne.
  • CARTES SUR TABLE (1965)
    Note : 12/20
    Pour une fois un Jess Franco plus ou moins potable !
  • TEMPS SANS PITIE (1956)
    Note : 16/20
    Une oeuvre fort "speedée", d'une constante efficacité, nerveuse et débridée, à l'étonnant final qui se place parmi les premiers grands films de Joseph Losey.
  • L'AMANT MAGNIFIQUE (1985)
    Note : 7/20
    D'une lourdeur symbolique inégalable et souvent ridicule, un film décevant.
  • LES CRÉATURES (1965)
    Note : 12/20
    Une oeuvre quelque peu intéressante qui a pris un sacré coup de vieux.
  • LA TERRE TREMBLE (1948)
    Note : 18/20
    Récompensée par le prestigieux Grand Prix de la Mise en Scène au Festival de Venise 1948, cette oeuvre, magnifique et didactique, fait partie des productions majeures du courant néo-réaliste italien. En marge des autres réussites de Luchino Visconti, un drame documentaire d'une extrême richesse humaine et politique, dénonçant avec une discrète sagacité et une pertinente acuité, un système économique toujours d'actualité, stigmatisant ceux qui profitent sans vergogne du travail des autres, avec l'outrageuse bénédiction muette des politiques.
  • CONSTANCE (1984)
    Une cinéphilie prononcée dans ce film curieux et fort intéressant dont on retient surtout l'excellente prestation de l'actrice principale. Un réalisateur à suivre.
  • CELINE (1991)
    Note : 15/20
    Une excellente interprétation d'Isabelle Pasco.
  • L'HOMME QUE J'AIME (1946)
    Note : 15/20
    Film de commande du grand metteur en scène américain Raoul Walsh qui traîne efficacement toute la nostalgie des blessures amoureuses, sous l'égide de deux acteurs talentueux, magistralement réunis, Ida Lupino et Bruce Bennett.
  • CONTACT MORTEL (1985)
    Note : 8/20
    Malgré un sujet fort intéressant, d'une dangereuse actualité, le film sombre dans une banalisation de la violence et de l'horreur avec ses personnages stéréotypés.
  • HOOK OU LA REVANCHE DU CAPITAINE CROCHET (1991)
    Note : 9/20
    Certainement un des plus mauvais films réalisés par Steven Spielberg, mais quelques jolies scènes malgré les hideux décors de Norman Garwood.
  • GENTLEMAN JIM (1942)
    Note : 19/20
    Magistrale interprétation d'Errol Flynn, superbe Alexis Smith, film inoubliable.
  • AU COEUR DE LA VIE (1962)
    Note : 16/20
    Sur de concises nouvelles d'Ambrose Bierce, trois excellents courts métrages illustrant l'absurdité et la mort durant la fratricide guerre de Sécession.
  • SANG CHAUD POUR MEURTRE DE SANG-FROID (1991)
    Note : 9/20
    Un festival de grotesque. Le réalisateur alterne avec allégresse les pires invraisemblances et les retournements de situations les moins subtils. Long, idiot et réalisé sans conviction. Tout le monde peut s'abstenir ou perdre son sang-froid.
  • MALINA (1991)
    Note : 2/20
    Est-ce bien là un film ou un cauchemar ridiculement pompier ? A fuir.
  • CODINE (1962)
    Note : 16/20
    Grand Prix du Scénario au Festival de Cannes 1963, adapté d'un récit à connotation autobiographique du grand écrivain roumain Panaït Istrati, ce second long métrage du réalisateur Henri Colpi, malgré un incompréhensible échec commercial, reste une œuvre étonnante de sensibilité et de générosité, rehaussée par d'impressionnantes qualités artistiques et techniques dues en partie à la complice caméra de Marcel Weiss.
  • MILAREPA (1973)
    Oeuvre dense, souvent sèche, manquant d'émotion, qui présente bien des intérêts.
  • THEOREME (1968)
    Note : 16/20
    Superbe film-parabole qui scandalisa certains culs bénits et autres teigneux bien-pensants de l'époque et qui reste, encore aujourd'hui, magnifique dans sa splendide intemporalité et sa rage iconoclaste d'une hypocrite et grégaire normalité.
  • LE ROI DE COEUR (1966)
    Note : 13/20
    Humour, dérision, fantaisie, satire joliment filmés pour une oeuvre distrayante et fort sympathique qui nous réconcilie avec le metteur en scène.
  • TOUTES PEINES CONFONDUES (1991)
    Note : 12/20
    Deville persiste dans le polar ambigu. Sa mise en scène est fluide, élégante, mais pas toujours aussi subtile que souhaitée. A voir néanmoins.
  • LE PRIX DU SILENCE (1949)
    Note : 13/20
    Adaptation moins connue et plus réussie que celle de Jack Clayton !
  • HITLER CONNAIS PAS (1962)
    Note : 14/20
    Une intéressante curiosité.
  • THE ERNIE GAME (1967)
    Note : 13/20
    Un film qui témoigne du renouveau du cinéma canadien d'alors, qui n'est malheureusement pas sorti en salles dans l'hexagone.
  • LA MERE DU MARIE (1951)
    Note : 9/20
    On est loin, hélas, des superbes chefs-d'oeuvre passés du réalisateur.
  • UN PRIVÉ EN ESCARPINS (1991)
    Note : 11/20
    Réalisation mollassonne sans prétention bénéficiant du charme de Kathleen Turner.
  • LE DIMANCHE DE LA VIE (1965)
    Note : 14/20
    Sympathique petite comédie adaptée d'un séduisant roman de Raymond Queneau qui croque avec gentillesse et charme, une foultitude de gens, une sorte de communauté de quartier haute en couleur et en densité relationnelle.
  • LA LAMPE BLEUE (1950)
    Note : 12/20
    Œuvre-hommage à la police londonienne avec un Dirk Bogarde trouble à souhait.
  • VICTOIRE SUR LA NUIT (1939)
    Note : 14/20
    Mélodrame un peu poussif surtout à cause de l'insignifiance relative de l'interprétation de l'acteur George Brent, mais magnifié par le jeu tout en douceur et en douleur de Bette Davis décidément éblouissante.
  • LA FEMME AUX MIRACLES (1931)
    Note : 16/20
    Véritable florilège des maintes thématiques présentes dans les films passés, mais surtout à venir de Frank Capra, cette émouvante comédie mélodramatique fut malencontreusement un étonnant échec commercial. Pour notre part, on retiendra surtout la finesse et la sensibilité qui se dégagent des quelques scènes "ventriloques" qui permirent, ô paradoxe, à un aveugle de se confier.
  • MY OWN PRIVATE IDAHO (1991)
    Note : 15/20
    Malgré quelques tics de mise en scène, un film sincère et déroutant.
  • LA MAISON DE LA MORT (1932)
    Note : 15/20
    Encore une oeuvre de qualité du grand maître James Whale qu'on aurait tort de cantonner dans la seule création géniale du mémorable "Frankenstein".
  • MIRANDA (1985)
    Note : 11/20
    On peut voir le film comme un pseudo plaidoyer pour la libération féminine sans réel fondement, sauf celui bien sûr de la "généreuse" Serena Grandi. Même si le scénario se repose sur une confondante médiocrité, il faut reconnaître à Tinto Brass quelques rares mais excellentes incursions dans un érotisme bucolique et parfois baroque, non dénuées d'une certaine sensualité plastique. Bien sûr, l'érotomane pur et dur retrouvera à nouveau les visuelles (le reflet des miroirs) et liquides (les mictions féminines) obsessions du réalisateur qui de film en film imprime sa marque de fabrique à ses oeuvres comme un indigne et pervers pépère transalpin.
  • THE SERVANT (1963)
    Note : 16/20
    Entre un scénario d'orfèvre merveilleusement ciselé, concocté par l'incisif Harold Pinter et une régalienne interprétation de l'irrésistible Dirk Bogarde, inquiétant et retors à souhait, le spectateur ne peut que témoigner de son approbation sans partage et sans nuage. Pour notre part, nous mettrons juste un petit bémol sur la dernière partie du film qui s'enlise quelquefois dans l'hyperbole et l'outrance un peu faciles.
  • COMMANDO AUX PHILIPPINES (1963)
    On y greffe une histoire d'amour entre une autochtone et un "bienfaiteur", la construction de l'inévitable école et le dissident rebelle qui s'oppose "bêtement" à tant de "bonté" et vous réalisez une oeuvre significative de la bonne conscience américaine.
  • LE VERDICT (1946)
    Note : 13/20
    Oeuvre honnête du grand Don Siegel qui vaut surtout par la présence et le jeu de l'incontournable Peter Lorre et du toujours puissant Sydney Greenstreet.
  • LE MORS AUX DENTS (1963)
    Comédie excellemment interprétée, qui joue sur la drôlerie de quelques situations et surtout sur le constant dynamitage des solides mythes du western.
  • UN DIMANCHE APRÈS-MIDI (1941)
    Note : 15/20
    Réjouissant et drôle !
  • LE RAPACE (1968)
    Note : 15/20
    Sur le thème de l'amitié et de l'engagement politique. Superbe !
  • CHANGEMENT DE SAISONS (1980)
    Note : 14/20
    Une exquise Shirley Mac Laine pour une pétulante histoire d'amour et de bonheur, entre alerte vaudeville et souriant pied de nez à la morale traditionnaliste yankee qui aurait pu devenir un incontournable chef-d'oeuvre de la comédie américaine dans les pattes et sous l'objectif d'un Hawks, d'un Minnelli, d'un Wilder ou d'un Cukor.