Un chef-d'oeuvre du film policier avec une étonnante interprétation de l'écrivain Mike Spillane en privé plein de sang-froid et de détermination désabusée.
Incontestablement un petit chef- d'oeuvre d'humour, de santé, de drôlerie et de suspense permanents. Inoubliable, incontournable, réjouissant au possible.
Dernier film de la trilogie de Jim Jarmusch, après "Stranger than paradise" et "Down by lawn" sur une certaine Amérique contemporaine, cette oeuvre sympathique et bienvenue manque pourtant, à nos yeux, d'un peu de vigueur.
Etonnant et envoûtant chef-d'oeuvre du western, entre nostalgie, romantisme et désenchantement, avec une magistrale interprétation de Charlton Heston et une époustouflante composition de Donald Pleasance, en prédicateur halluciné.
Jouant sur la totale dissemblance morphologique (le géant Schwarzenegger face au minuscule De Vito) psychologique et morale (l'un est un être doux d'une gentillesse déconcertante, l'autre un petit truand amoral) le film ne crée pourtant guère de surprise.
Malgré le métier de Jean Delannoy, le film ne réserve guère de surprises majeures, dans un traitement du genre, mille fois déjà vu et revu au point d'en devenir lassant.
Superbes interprétations de Glenn Close en marquise de Merteuil, de John Malkovich en vicomte de Valmont, de Michelle Pfeiffer en Madame de Tourvel et de Keanu Reeves dans le rôle du chevalier Danceny.
De l'excellent travail, des trucages de première qualité, un suspense évident font de cette oeuvre, un agréable moment de cinéma "d'horreur" aquatique.
Petite oeuvre intéressante, parce que réalisée par Ruldoph Maté, qui ne provoque jamais l'enthousiasme mais dont l'agréable déroulement se regarde sans déplaisir.
Film débutant comme un coup de poing théâtral pour ne plus perdre de son intérêt ni de son suspense durant l'ensemble des quatre-vingt dix minutes de sa projection.
Oeuvre remarquable, d'un pessimisme radical, distanciée, intense qui consacre (enfin) Agnès Varda, une réalisatrice trop longtemps à l'ombre de ses nombreux courts métrages et qui a déjà une longue carrière derrière elle (30 ans).
Avec Michel Nerval aux commandes, on est plus proche de "Tous vedettes" que de "The Rose". Pour ceux qui peuvent trouver du plaisir à voir Michel Galabru en bandana.
Cette oeuvre d'origine allemande passe en revue une partie de l'existence du grand séducteur qui fit battre et vibrer le coeur de moult conquêtes connues et inconnues.
Une oeuvre cinématographique fort quelconque qui défraya la chronique des années 1970 par son parti-pris pro-américain et son lourd manichéisme anti-jaune.
Combat entre le Bien et le Mal avec d'un coté, le sympathique Alex Gardner, qui s'amourachera du docteur Jane De Vries, de l'autre, l'immonde Tommy qui accepte de tuer le président, dans une réalisation hélas un peu quelconque.