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POUR QUI SONNE LE GLAS-1943-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : For whom the bell tolls
Durée : 2h05
Date de sortie en France : 20/06/1947
Genre : DRAME
Réalisation : Sam WOOD
Scénario : Dudley NICHOLS
Inspiration : D'après le roman éponyme de Ernest HEMINGWAY
Prise de vues : Ray RENNAHAN
Musique : Victor YOUNG
Produit par Sam WOOD
Direction Artistique : William Cameron MENZIES
Distributeur : Paramount
Visa d'exp. : 4287
Résumé
Un jeune Américain fort idéaliste, Robert Jordan, s'est engagé dans les fameuses Brigades Internationales durant la tragique guerre d'Espagne, au côté des forces républicaines pour lutter contre les phalangistes du général Franco. Son rôle sera de faire exploser un pont situé sur une route des plus stratégiques pour les franquistes. Un grand sentiment liera l'aventurier/ combattant à Maria, une jeune Espagnole du petit groupe. Mais une mort héroïque, sacrificielle attend Jordan au bout du chemin.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Uniquement pour revoir l'inoubliable couple Gary Cooper / Ingrid Bergman.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Il faudra bien un jour que la critique arrête de se foutre de notre g...L'action est censée se passer en Espagne et on prend des acteurs américains, une actrice danoise(Bergman), un acteur russe (Sokoloff), des acteurs grecs (Paxinou), italiens... pour des rôles d'espagnolsC'est bourré de clichés et de bons sentiments, c'est bien lourdingue. Ingrid Bergman la blonde a remplacé Vera Zorina (une brune plus acceptable) pour le rôle de Maria. On prend vraiment les spectateurs pour des cons. Non, on y croit pas une seconde. C'est n'importe quoi. Berk.
Note : 16/20
Visionné le dvd en v.o. en juin 2007 : somptueux sur le plan de l'image grâce au jeu entre ombre et lumière empruntés aux bons westerns ! Vite, on devine le sort du héros par les lignes de la main, sans trop savoir... C'est très long, avec des détails sur les tortures infligées d'un camp à l'autre, et ces retours de manivelle du satané Pablo, personnage déroutant mais nécessaire. Ils sont tous pittoresques, ces montagnards... Toutefois, c'est Pilar, maîtresse-femme, qui force le respect. Enfin, on se demande bien si l'Américain va finir par s'occuper du pont... Nous sommes gâtés côté intrigue : le couple Cooper/Bergman est divinement bien assorti et fait fondre dès la première mise en présence (physiques intemporels) dans un dialogue d'affamés qui se retiennent, avec cette menace qui plane. On sent la patte d'Hemingway derrière tout ça, surtout dans les toutes dernières minutes, cette manière de planter là le spectateur abasourdi.
Bibliographie