Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 43 films notés

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  • TEDDY BAR (1983)
    Note : 7/20
    Prétentieux et narcissique.
  • IL Y A MALDONNE (1987)
    Note : 11/20
    Une série B nerveuse, souvent efficace qui ne déplaît pas.
  • LES PATATES (1969)
    Nous sommes en présence d'un film attachant, à la mise en scène efficace, à la bonne conduite du récit, traçant une sympathique fresque de portraits bienvenus.
  • SOIGNE TA DROITE (1987)
    Note : 5/20
    Bien sûr, certains esprits branchés y verront forcement de la poésie à défaut de compréhension. Le drame pour Godard, c'est qu'il écrit et parle mieux qu'il ne filme.
  • LE PASSAGER DE LA PLUIE (1969)
    Note : 11/20
    Décors, cadrages, mouvements de caméra sont utilisés avec "talent" et "maîtrise" pour relater une intrigue fort complexe et plutôt invraisemblable. Il est vrai que René Clément nous avait gratifié dans le passé, d'oeuvres bien plus consistantes.
  • ALLEGRO NON TROPPO (1977)
    Une animation des plus efficaces qui rappelle sans la renier (mais en la parodiant) le "Fantasia" de Walt Disney avec six petites historiettes construites sur des airs célèbres de grands compositeurs musicaux.
  • DEMENT (1982)
    Note : 12/20
    C'est assez bien réussi dans le macabre avec un zeste d'humour bienvenu !
  • APOCALYPSE NOW (1979)
    Note : 18/20
    Film-évènement d'un faste et d'une folie sublimes qui reste une oeuvre essentielle du cinéma mondial et un solide réquisitoire contre la guerre.
  • LA THÉORIE DES DOMINOS (1976)
    Note : 14/20
    Un excellent thriller à connotation politique, qui, outre le simple plaisir d'un bon film d'action / suspense démontre et dénonce l'existence de groupes occultes à l'intérieur des plus hautes sphères de l'Etat.
  • LE QUAI DES BRUMES (1938)
    Note : 16/20
    Beauté et fascination du réalisme "poétique" de Marcel Carné, dans un inoubliable chef-d'oeuvre du cinéma français qui reste un classique incontournable.
  • L'ILE DU DOCTEUR MOREAU (1977)
    Note : 9/20
    En dépit de la qualité de la prise de vue et des effets spéciaux, cette nouvelle adaptation du roman de H.G. Wells ne s'avère jamais réellement convaincante. Restent un récit d'aventure plutôt banal mâtiné de fantastique et l'interprétation de Burt Lancaster. Cela est bien sûr insuffisant au vu de la version initiale de Kenton.
  • UN PRINCE À NEW YORK (1987)
    Note : 13/20
    Une agréable petite comédie pleine de charme et de fantaisie qui, sans jamais atteindre un niveau éblouissant, procure tout de même un plaisir certain.
  • FRIC-FRAC (1939)
    Note : 17/20
    Un superbe moment de cinéma que nous propose l'exceptionnel trio Arletty, Michel Simon et Fernandel dont l'interprétation frise la perfection.
  • LA FIÈVRE DANS LE SANG (1961)
    Note : 18/20
    Cette merveilleuse histoire d'un amour impossible, entre la fuite du temps et la pression sociale et parentale, reste un incomparable et inoubliable moment de cinéma dont on retiendra aussi l'excellence et la pertinence de l'interprétation de l'ensemble des acteurs principaux mais aussi, il faut le noter, secondaires.
  • LES GUERRIERS DE LA NUIT (1978)
    Note : 15/20
    Sur fond de musique hard et de violence permanente, une oeuvre angoissante, hallucinante, solide et pessimiste, considérée comme la meilleure du cinéaste.
  • ENCORE (1987)
    Note : 16/20
    Sans être un chef-d'oeuvre, l'excellent travail de Vecchiali en dix tableaux, mérite toute considération et une redécouverte d'un réalisateur somme toute génial !
  • LE VAUTOUR (1982)
    Note : 15/20
    Un scénario limpide sous forme de thriller désespéré, un film intéressant.
  • A GAUCHE EN SORTANT DE L'ASCENSEUR (1988)
    Note : 12/20
    Rythme alerte pour une comédie de boulevard conventionnelle et plutôt agréable.
  • DOUBLE DÉTENTE (1988)
    Note : 9/20
    Enorme déception que ce film comparé à une autre oeuvre du metteur en scène, elle aussi basée sur un duo antinomique (Nick Nolte / Eddie Murphy dans "48 heures") qui ne dépasse jamais l'anecdote "commerciale".
  • OEUF (1987)
    Note : 15/20
    Une petite merveille de délicatesse, parcourue d'un généreux humour humaniste. Un metteur en scène à suivre.
  • LA MORTE DE LA TAMISE (1971)
    Note : 6/20
    Un "Edgar Wallace" fort décevant, tant au niveau du suspense quasiment inexistant que de l'ensemble des dialogues d'une platitude navrante, jusqu'aux acteurs d'une fadeur évidente qui ne semblent même pas croire en leurs personnages.
  • L'AMOUR PROPRE (1985)
    Autant relire la bande dessinée.
  • L'ANNIVERSAIRE DE GEORGES (1984)
    Note : 12/20
    Des idées, de l'humour, peut-être... Cela se discute. On attend la suite.
  • PAS SI MECHANT QUE ÇA (1974)
    Note : 13/20
    Les personnages, vrais, tristes et gais à la fois, sont en équilibre entre deux mondes, deux réalités, un peu à l'image d'une certaine société vacillante et déboussolée. Une oeuvre intimiste, un peu décevante.
  • LA FORCE DES TENEBRES (1964)
    Note : 16/20
    Une oeuvre qui n'a rien à envier à sa version première. Albert Finney prend le relais de Robert Montgomery avec efficacité et présence.
  • LE PIÈGE (1973)
    Note : 14/20
    L'aguerri et toujours compétent John Huston filme une histoire compliquée à souhait, dont il tire les ficelles avec une évidente jubilation.
  • BRONCO BILLY (1980)
    Clint Eastwood démontre encore une fois, ses qualités de réalisateur.
  • L'ASCENSEUR (1983)
    Note : 14/20
    Un thriller fantastique d'une excellente facture qui dénote chez ce metteur en scène batave, une puissante "nervosité" qui demande à être confirmée.
  • COUPS DE FEU DANS LA SIERRA (1962)
    Note : 16/20
    Deuxième long métrage de l'incontournable metteur en scène Sam Peckinpah, déjà hanté par ses éternels "loosers" fatigués qui, "pour l'honneur et la conservation du titre" mènent malgré tout et envers tous, leur absurde et dérisoire mission à son terme. Original et fort décapant, une réussite incontestable !
  • LA BALLADE DE NARAYAMA (1983)
    Note : 15/20
    Oeuvre grave et pleine de poésie, qui malgré son académisme évident, mérite tout de même la consécration suprême des palmes cannoises.
  • DUPONT LAJOIE (1974)
    Note : 14/20
    Une excellente interprétation de Jean Carmet dans un rôle de "beauf" odieux, pour une dénonciation cinglante, un peu simpliste du racisme, mais non de ses mécanismes intimes. Un Boisset comme on les aime. C'est plutôt rare.
  • CHRISTINE (1983)
    Note : 13/20
    Du bon travail, d'un désormais spécialiste du film fantastique qui, sans jamais être génial, ne déçoit aucunement, grâce aussi à l'efficacité du roman de Stephen King.
  • BAISERS VOLÉS (1968)
    Note : 13/20
    Excellents acteurs pour un scénario somme toute fort mièvre.
  • LES OISEAUX VONT MOURIR AU PEROU (1967)
    Note : 12/20
    Mélodramatique, quelquefois fascinant, une oeuvre tout de même mal maîtrisée.
  • LA FIÈVRE DU SAMEDI SOIR (1977)
    Un festival "Travolta" pour une oeuvre somme toute ennuyeuse, baignée dans un conformisme béatement rassurant et lourdement stupide.
  • TERMINATOR (1984)
    Note : 15/20
    Excellent travail mené de main de maître, efficace et quelquefois époustouflant.
  • RECHERCHE POUR MEURTRE (1956)
    Note : 15/20
    Peter Lorre est étonnant de cynisme et de méchanceté et la belle Teresa Wright fort émouvante dans sa fraîcheur et sa fragilité.
  • L'HOMME À LA BUICK (1966)
    Hormis Fernandel et de Danielle Darrieux, le film frise la médiocrité permanente.
  • THE WRONG WAY OUT (1938)
    Note : 16/20
    Superbe. Le réalisateur n'a rien perdu de sa verve et de ses capacités !
  • STAR TREK III : A LA RECHERCHE DE SPOCK (1984)
    Note : 9/20
    On est bien loin des épisodes sans prétention et souvent fort divertissants de la série télévisée. Ici L'ensemble se présente comme pesant, insipide et besogneux.
  • LES RAPACES (1925)
    Note : 18/20
    Maintes fois cité et référencé comme faisant partie des dix meilleurs films de l'histoire du cinéma, ce chef-d'oeuvre de 4h30 (environ 25 bobines) en comptait 42 à l'origine !
  • ALIBI MEURTRIER (1954)
    Note : 9/20
    Malgre une brillante distribution et quelques rares scènes "dynamiques", le film semble sans cesse piétiner sur place, sans jamais (s')emballer. Dommage.
  • CHARLY (1968)
    Note : 12/20
    Science-fiction futuriste, réalité de demain matin ? Une superbe oeuvre "morale" contre les apprentis-sorciers de tous bords et de tous temps.
  • LES DIAMANTS SONT ÉTERNELS (1971)
    Note : 11/20
    Sean Connery restera comme les di(amants), éternel !
  • LA PROIE DES VAUTOURS (1959)
    Ca canonne et cartonne de tous côtés, la jungle est archétypalement dangereuse et luxuriante, la torture est pratiquée sans excès de scrupules. Jean-Marie apprécierait.
  • VIVRE ET LAISSER MOURIR (1973)
    Note : 10/20
    Certainement un des moins brillants films du genre, qui n'arrive jamais à égaler en suspense, humour et décontraction les déjà nombreuses précédentes réalisations.
  • PRÉNOM CARMEN (1983)
    Note : 10/20
    Hélas, Godard manie de mieux en mieux le stylo et l'écriture au détriment de la caméra et du discours cinématographique. Certes novateur, il n'en est pas moins ennuyeux pendant les trois quarts de ces quatre-vingt cinq longues minutes.
  • MADAME DU BARRY (1919)
    Note : 14/20
    Un mélo(drame) costumé sur l'irrésistible ascension de la célèbre héroïne, sans cesse déchirée entre sa soif d'honneurs, de reconnaissance et la culpabilisante résurgence des sentiments qu'elle n'arrive pas à juguler.
  • LE PONT DU NORD (1980)
    Note : 16/20
    Film rendu dense par sa démarche et sa thématique (le jeu, le complot, le réel, Paris, l'imaginaire). Cela risque de rebuter à tort le spectateur habitué à une vision plus linéaire d'un scénario voire largement prédigéré.
  • JERRY CHEZ LES CINOQUES (1964)
    Note : 17/20
    Il est urgent, vital, nécessaire, crucial, capital, essentiel, fondamental, important, primordial, indispensable, de réhabiliter un des plus grands comiques américains du parlant, Monsieur Jerry Lewis, malheureusement peu apprécié dans son pays...
    Pour démonstration et rappel, rien que trois gags inoubliables de finesse, de drôlerie et d'absurdité dans ce film à la fois délirant et tendre :
    - l'eau minéralisée ingurgitée qui résonne dans l'estomac...
    - la "neige" de la télévision qui envahit la pièce....
    - le bruit infernal d'une pomme croquée, braquant tous les regards sur le brave Jerry.