• LE REFUGE (2000)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Marius Holst confirme sa présence certaine dans le cinéma norvégien et une réelle capacité pour développer une intrigue, sans pour autant livrer une oeuvre essentielle.
• LILYA 4-EVER (2002)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Sombre incursion soviétique d'un metteur en scène d'origine suédoise, dépeignant un univers glauque et sordide, à la limite de la saturation, forçant quelquefois le trait et les situations d'une façon lourde et souvent répétitive.
• PEAU DE PÊCHE (1928)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Oscillant allègrement et avec une constante subtilité teintée d'une légèreté et d'une dextérité remarquables, entre insidieux mélodrame, comédie humoristique et documentaire d'époque, cette superbe oeuvre bicéphale, projetée au 30e Festival "Il Cinéma Ritrovato" (2016) de Bologne, reste forcément inoubliable, de par l'époustouflant talent du jeune acteur Jimmy Gaillard (faut le voir imiter devant un parterre de gosses, son artiste favori, Maurice Chevalier) et pour un troublant et surréaliste travelling d'alignements de pacifiques bottes de foin juxtaposées à des enfilades de tombes, en douloureuse et dénonciatrice répétition.
• LES AMANTS RÉGULIERS (2005)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Le cinéma sans Garrel, ce serait comme un drapeau noir indéfiniment en berne !
• LA DERNIÈRE CAVALE (2000)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Quelques bonnes scènes pour un ensemble manquant de pugnacité.
• LA DÉRIVE (2001)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Honnête et sympathique réalisation d'origine batave, pour un sujet difficile, jamais abordé d'une manière scabreuse, alors que le sujet pouvait s'y prêter facilement.
• MARBRE BLANC (1998)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un réalisateur finlandais à suivre.
• LA CHOSE SURGIE DES TÉNÈBRES (1957)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Heureusement que le scénario et les trucages tiennent en grande partie leur plan de vol, car l'ode forcée et forcenée à la puissance de l'aviation américaine et du système de sécurité aérien yankee devient vite fastidieuse voire insupportable, frisant l'obligée et forcenée hagiographie militaire.
• THE PRESIDENT'S LAST BANG (2004)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Le film se situe délibérément dans le registre du thriller politique sans pourtant en posséder toutes les qualités, ni dans la rigueur ni dans l'intérêt attendus, espérés.
• INTUITIONS (2000)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Une oeuvre somme toute moyenne !
• SECRETS DE FAMILLE (2000)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  C'est gentil tout plein et plutôt réactionnaire, fort rassurant dans sa finalité bourgeoise, d'une mielleuse et attendrissante hypocrisie.
• COURSE FORCEE (1982)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un metteur en scène toujours intéressant.
• THE BLACK CAT IN THE BLACK MOUSE SOCKS (1982)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Prétentieux et sans intérêt.
• SANS LIENS DE PARENTE (1932)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Superbe mélodrame "maternel" teintée d'émotion et d'évidente vérité humaine.
• DARK SUMMER (1999)
  Critique CF

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  Un scénario aberrant d'illogismes et une psychologie incompréhensible et sommaire des principaux personnages font de cette oeuvre une lourde rature.
• FINAL FANTASY (2001)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Entièrement réalisé en images de synthèse, ce film d'animation inspiré d'un jeu vidéo, à connotation SF, intéresse surtout pour sa technologie de création.
• UMUR (2002)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Quelques rares moments bienvenus, dans un ensemble lourdement ampoulé, avec des acteurs souvent mauvais et des séquences prétentieuses ou grotesques.
• LE SELF-SERVICE UNIVERS (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  On connaît les alertes et fleuries divagations de Vera Chytilova qui peaufine dans ce court métrage adapté d'une nouvelle de Bohumil Hrabal, son style excentrique et débordant, dans des gammes cinématographiques proches du cinéma expérimental.
• JIRAIYA LE NINJA (1921)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Pas vraiment de quoi s'extasier devant cette "nipponerie" fort débile.
• POSSESSED (2000)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  D'après un vague fait divers prétendu authentique, une histoire de possession plutôt moins pire que le fatras habituel du genre.
• SWING (2001)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Une oeuvre légère et musicale, sans aucune prétention quelconque, avec des jeunes acteurs étonnants de naturel et de la musique tzigane plein les oreilles.
• LE FAUCON ISLANDAIS (2002)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un réalisateur islandais dont la production est souvent en dents de scie !
• LES TRICHEURS (1965)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Des curieux errements de la nature humaine et de ses succulentes dérives vaniteuses, un bon court métrage qui vaut son pesant d'humour et de philosophie.
• ÂMES SUR LA ROUTE (1921)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Superbe mélodrame nippon, à la réalisation parfaite et aux propos intemporels.
• SÉANCE (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Excellents acteurs pour une oeuvre quelque peu poussive.
• L'HOMME À LA TÊTE COUPÉE (1973)
  Critique CF

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  Note : 6/20

  Gâchis ibérico-français d'une redoutable bêtise !
• THE SEA (2002)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un metteur en scène venu du froid qui réchauffe le coeur par sa mise en scène sans faille, entre humour grinçant et détergents règlements de comptes !
• LA MORT DE MONSIEUR BALTHAZAR (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Jiri Menzel, dans ses premiers balbutiements cinématographiques, sur une adaptation d'une percutante nouvelle de Bohumil Hrabal, entre méticuleuse description d'une tranche de vie et absurde fatalité du destin.
• UNE FEMME DE TOKYO (1933)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre rare du grand metteur en scène, projetée au festival du film muet de Pordenone (2005) d'une puissante acuité psychologique.
• ÉCLOSION (2000)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Moins mauvais que la majorité des films du genre.
• SOUVENIRS MORTELS (2000)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Pas vraiment de quoi surprendre !
• DINA (2002)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une oeuvre norvégienne détestable et prétentieuse qui accumule jusqu'au ridicule les scènes outrancières et grotesques, bien trop nombreuses pour décolérer.
• LA MAISON DE LA JOIE (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Ubu au pays de Franz Kafka ou la folie créatrice face au formalisme ambiant, pour une oeuvre incantatoire et débridée, traversée par deux farfelues séquences oniriques (celle des moutons et celle des communiants) qui fait regretter la disparition prématurée d'un réalisateur malheureusement trop méconnu.
• L'HOMME EN NOIR (1951)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un policier gentillet, propret qui ne se démarque ni favorablement, ni négativement.
• JEUNES GENS EN COLERE (1966)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Pas vraiment de quoi séduire, ni d'ailleurs de se mettre en colère !
• CHRISTINA'S HOUSE (1999)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Moins pire que la moyenne du genre, avec une fin détestablement stupide.
• MUSIQUE POUR NOCES ET FUNERAILLES (2002)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Une interprétation de qualité de la plupart des acteurs, réellement investis dans leurs rôles respectifs, dans un dramatique huis clos souvent pathétique baignant dans un subtil entrelacs émotionnel.
• ROMANCE (1965)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Tranche de vie adolescente croquée avec délectation par un cinéaste au plus près de ses personnages qu'il entoure et dépeint d'un constant halo de tendresse.
• RYNA (2005)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Premier long métrage d'un metteur en scène roumain au propos et à la démarche fort sympathiques, dont certains rôles sont hélas surjoués et la réalisation, de temps à autre trop appuyée, voire lourdement démonstrative et naturaliste.
• LE MAITRE DE POSTE (1940)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Une correcte et bienvenue adaptation d'un classique de la littérature russe.
• JALLA ! JALLA ! (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Joliment troussé, une oeuvre souvent drôle et des acteurs de qualité.
• DEUX MARIS, DES SOUCIS (1926)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  D'une sympathique drôlerie.
• LES CODES (1966)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Loin d'être une œuvre majeure du grand metteur en scène polonais, cette réalisation vaut surtout le détour pour une des dernières apparitions sur un écran de l'immense Cybulski, souvent considéré comme le James Dean des pays de l'est, décédé à l'âge de 39 ans en tombant d'un train en marche en gare de Wroclaw.
• LA NEUVAINE (2005)
  Critique CF

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  Note : 19/20

  Une oeuvre exceptionnelle qui évoque dans ses fondements, les meilleures réalisations d'un Kieslowski voire les questionnements d'un Dreyer, et dans la forme, l'effroi et la glaciation de moult plans et séquences de certaines production essentielles d'un Haneke. Une urgente distribution dans l'hexagone s'impose.
• THE CELL (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Malgré quelques outrances, une première oeuvre intéressante et curieuse.
• THE HOLE (2001)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Dans le genre thriller horrifique, c'est plutôt bienvenu et original.
• BLUE CORNER (2002)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Une histoire bancale et vacillante, comme un boxeur knock-out debout, qui n'arrive jamais à "solidifier" les personnages dans une quelconque véracité affective et comportementale, même si le jeu des acteurs reste fort convenable.
• L'ÉCRIVAIN (1985)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Un intelligent et subtil huis clos pénitentiaire, d'une étonnante finesse dans son propos essentiel et subjacent, la genèse littéraire, que l'on peut extrapoler à la création artistique en général, transmuant la réalité au gré d'un imaginaire fertile, d'un état d'esprit en ébullition, d'un délire intellectuel ou maladif passager : la vérité individuelle n'étant qu'une déformation constante, une transformation ininterrompue de la réalité.
• OLD BOY (2003)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Œuvre éminente tant par l'âpre violence de son propos et du traitement extrême de ce dernier, que par l'étonnante prestation de l'acteur principal, Min-Sik Choi qu'on avait déjà adoré dans "Failan" crevant l'écran et la sensibilité du spectateur, durablement.
• AU COIN DE LA RUE (2000)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Surtout pour l'excellente prestation de Ghita Norby et Thure Lindhardt.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)