Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 44 films notés

Page 147 sur 332 (16566 critiques au total)

  • CEMENT GARDEN (1993)
    Note : 11/20
    Chaudement accueilli par certains critiques, à l'époque de sa sortie en décembre 1993, le film nous a guère enthousiasmé, préférant de loin, dans le même genre, la même thématique, l'étonnant film de Jack Clayton : "Chaque soir à neuf heures".
  • LES DÉMONS DU MAÏS 2 (1992)
    Note : 10/20
    Pas de quoi frémir dans cette réalisation plutôt pâle, voire insipide, mise en scène par un vague tâcheron de série B, hormis une sanglante séquence dans une église.
  • LA BATAILLE POUR ANZIO (1967)
    Oeuvre fort moyenne, pas toujours maîtrisée, surtout les scènes spectaculaires.
  • SEULEMENT TOI (1994)
    Note : 8/20
    Une intrigue sirupeuse à souhait sous forme de dépliant touristique.
  • THRILLER (1971)
    Note : 6/20
    D'une consternante médiocrité qui fait penser que, decidement, Peter Collinson ne reste visible que pour son (étonnant) premier film.
  • LA CIGOGNE EN PAPIER (1934)
    Note : 18/20
    Dernier film parlant du réalisateur, charpenté d'une superbe construction scénaristique pour une oeuvre magnifique, dont nous avons pu voir une version sonorisée musicalement, mais non surchargée par l'intervention parlée d'un benshi,
    au festival du film muet de Pordenone (2006). Ce qui n'est pas le cas pour la version dvd qui reprend la ponctuation verbale originale, pouvant effectivement poser certains légers décentrages dans la compréhension instantanée de la narration et quelques épisodiques difficultés dans l'immersion émotionnelle de la dramaturgie...
    >>> Les benshi étaient les fameux narrateurs du cinéma muet japonais, sorte de bonimenteurs se tenant au pied de l'écran et racontant l'histoire du film à un public parfois incapable de lire les intertitres. Un benshi pouvait ainsi verbaliser plusieurs personnages, indifféremment et sans état d'âme, jouant dans le même film.
  • MACISTE AUX ENFERS (1925)
    Note : 15/20
    Cet épisode est l'un des derniers de la série des Maciste. Les combats sont moins hilarants qu'a l'accoutumée (le comédien a vieilli) mais, en revanche, les décors ont bénéficié d'une imagination débordante. Quel plaisir.
  • KID (1984)
    Note : 11/20
    Amateurisme et bavardages.
  • BARCELONA (1994)
    Note : 13/20
    Après le succès justifié de "Metropolitan", une autre comédie du même réalisateur, moins brillante peut-être, mais tout aussi plaisante et savoureusement acidulée.
  • LA SECONDE CHANCE (1984)
    Note : 14/20
    Une mélancolique comédie, pleine de grâce et d'intelligence.
  • COMMENT FONT LES GENS (1992)
    Malgré un sujet scénaristique bien noir, ces allées et venues tragi-comiques entre gens "en recherche" et en quête, ne transpirent pas le pessimisme et nous valent une excellente présence d'acteurs souvent étonnants.
  • LE CONQUÉRANT (1956)
    Dernière collaboration artistique de l'acteur John Wayne avec la RKO qui s'est soldée par un énorme fiasco financier de cinq millions de dollars.
  • THE CARTOGRAPHER'S GIRLFRIEND (1987)
    Note : 13/20
    Une réalisation de Hal Hartley dont le ton curieux annonce les films qui suivront.
  • POUSSIÈRES DE VIE (1994)
    Note : 12/20
    Un sujet peu traité et une réalisation qui évite les pièges du sentimentalisme et sait rester sobre ..... Plutôt intéressant.
  • TROG (1970)
    Note : 7/20
    Sans aucun intérêt !
  • LES COQUELICOTS (1935)
    Note : 15/20
    Avec une constante et louable sagacité, Kenji Mizoguchi dénonce à nouveau la pénible condition féminine, dans un Japon toujours aussi peu évolué dans ses rapports avec le sexe dit faible, ne se privant jamais de présenter l'homme comme un être malingre, peu fiable, oscillant entre une veulerie mal assumée, un ridicule pitoyable et une pathologique tergiversation tout juste digne d'un banal adolescent en pleine crise pubertaire. Une oeuvre de jeunesse du grand réalisateur nippon, longtemps invisible, qui sous-entend avec bonheur les incontournables chefs-d'oeuvre à venir.
  • LE GRAND FRISSON (1978)
    Note : 12/20
    Véritable patchwork de l'univers des films du grand maître Alfred Hitchcock auquel Mel Brooks fait référence, dans de nombreuses scènes pastichées ou détournées.
  • LA MAISON SUR LA COLLINE (1989)
    Note : 15/20
    Un graphisme original et fort amusant servi par une bande-son d'une qualité exceptionnelle. Un bon exemple d'animation réussie.
  • UNE FEMME DANS UNE CAGE (1964)
    Note : 14/20
    Une oeuvre grincante et pessimiste avec un James Caan débordant de sadisme et d'inhumanité.
  • JUDGE PRIEST (1934)
    Note : 13/20
    Gentil et des fois un peu trop poussif !
  • POETIC JUSTICE (1993)
    Note : 8/20
    Avec une idée de départ aussi stupide, il était difficile de s'en sortir. Janet Jackson achève de rendre l'ensemble totalement invraisemblable et ridicule. Triste.
  • TERJE VIGEN (1917)
    Note : 15/20
    Rareté bienvenue du puissant Viktor Sjöström, quelquefois projetée en festivals.
  • DANIEL ENDORMI (1988)
    Note : 10/20
    Un court métrage à la mise en scène hésitante et maladroite !
  • LA CIBLE PARFAITE (1958)
    Note : 12/20
    Quelques indirects et discrets relents d'anti-communisme primaire, alors de bon ton dans les arcanes hollywoodiennes de l'époque, un Dana Andrews toujours aussi monolithique et bien des lourdeurs scénaristes n'empêchent pas que cette honnête réalisation d'un Jacques Tourneur quelque peu affadi, d'aborder courageusement un sujet inédit pour l'époque, la désinformation et la manipulation de l'opinion publique par le trucage et la malversation des pseudo-enquêtes médiatiques.
  • MADAME DOUBTFIRE (1993)
    Note : 13/20
    Un magistral Robin Williams !
  • LE TRONE DE FEU (1969)
    Note : 8/20
    De savantes et grasses tortures, dans un film quelconque aux moult versions plus ou moins deshabillées, selon la destination du pays de distribution.
  • LA MOMIE SANGLANTE (1971)
    Note : 9/20
    Production des célèbres studios "Hammer Films" qui s'oublie très vite.
  • ROUSSLAN ET LUDMILLA (1972)
    D'une facture plus qu'estimable !
  • HARCÈLEMENT (1994)
    Note : 7/20
    Ce que le cinéma américain peut commettre de plus quelconque.
  • TUER N'EST PAS JOUER (1965)
    Note : 13/20
    Une correcte adaptation d'un bienvenu roman.
  • LE MARIAGE BLANC (1990)
    Note : 14/20
    Une excellente photographie en noir et blanc, une jeune actrice à la présence certaine, un sujet bien traité et une réalisatrice à suivre dans une éventuelle incursion dans le long métrage.
  • PICTURE MOMMY DEAD (1966)
    Note : 4/20
    Un monument d'exaspération que le jeu de Susan Gordon, propre fille du cinéaste.
  • LES ARISTOCHATS (1970)
    Fuyez la version francaise !
  • NEL CONTINENTE NERO (1992)
    Note : 7/20
    Une immense deception que ce film lent et bavard qui n'a rien a voir avec le tres reussi "Mery per sempre".
  • LA CLE (1986)
    Tourné presque en huis clos, un modèle de ressources scénaristiques et un suspens extrêmement bien construit. Une petite merveille.
  • UNE VIE POUR UNE VIE (1990)
    Note : 14/20
    D'un profond humanisme !
  • DARLING CHERIE (1965)
    Note : 17/20
    Une subtile et fascinante interprétation du fameux trio d'acteurs, Dirk Bogarde, Julie Christie et Laurence Harvey, pour une œuvre d'un permanent amoralisme comportemental et sociétal, sur fond d'arrivisme individuel et institutionnel, nimbée d'une hypocrite et ravageuse onctuosité de classe toute britannique.
  • GUÊPIER POUR TROIS ABEILLES (1967)
    Note : 18/20
    De toute évidence, un grand moment de cinéma, d'une suave pétulance soutenue, dont la brillance de l'interprétation de l'ensemble des comédiens s'énoncent comme un véritable ravissement, sans oublier une succulente intrigue somptueusement stratifiée, retorse et discrètement biseautée, qui nous enchante en plénitude et en durée.
  • FLEURS D'ÉQUINOXE (1958)
    Note : 16/20
    Encore un précieux film d'Ozu qui fut découvert en France bien après sa sortie au Japon. Une oeuvre toujours méconnue à voir absolument.
  • DANS LES GRIFFES DU MANIAQUE (1965)
    Note : 12/20
    Du sous Bava plutôt baveux !
  • L'ÉCLAIR (1952)
    Note : 14/20
    Intéressant comme d'ailleurs toute l'oeuvre du réalisateur.
  • LES ENFANTS NOUS REGARDENT (1943)
    Note : 14/20
    Mélodrame transalpin qui mérite un humide coup d'oeil !
  • DÉLITS FLAGRANTS (1994)
    Note : 14/20
    Intéressante étude sociologique et pertinent regard sur la justice.
  • TAK TAK (1992)
    Note : 8/20
    Une comedie depourvue de rythme et d'humour. Deprimant.
  • LE GANGSTER DE CHICAGO (1940)
    Note : 13/20
    Oeuvre bienvenue, avec des plages d'humour mais manquant nettement de rythme.
  • ECHOES OF PARADISE (1988)
    Note : 8/20
    Exotisme et clichés sentimentaux pour une oeuvre bien passable.
  • SCIUSCIA (1946)
    Note : 16/20
    Fleuron exemplaire du néo-réalisme italien qui reste aussi (pour mémoire) le premier film de l'acteur Franco Interlenghi, dans le rôle du petit Pasquale Maggi.
  • LA FIANCÉE DU MONSTRE (1955)
    Note : 9/20
    Intéressant navet qu'apprécieront forcément les amateurs du genre !
  • MELODIE POUR UN TUEUR (1977)
    Note : 14/20
    Première réalisation prometteuse d'un réalisateur fort secondaire, voire quelconque dont les productions ultérieures n'ont guère laissé d'indélébiles souvenirs. On retiendra avant tout l'exceptionnelle prestation de l'étonnant Harvey Keitel, explosif agglomérat d'incertitudes et de fragilités suintant de profondes perturbations psychologiques qui s'énoncent et s'annoncent dans d'incontrôlés tressaillements nerveux, de violents comportements névrotiques et de fastidieux et récurrents tics nerveux, sans cesse accompagnés des insipides mélopées que vocifère son inséparable radio-cassette.
  • SACRÉ ROBIN DES BOIS (1993)
    Note : 12/20
    "Relecture" du célèbre mythe hollywoodien, souvent plaisant, mais qui n'échappe guère à la lourdeur, une récurrente spécialité du réalisateur.