Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 47 films notés

Page 27 sur 332 (16566 critiques au total)

  • ROSITA (2000)
    Note : 13/20
    Quelques gags succulents et de bienvenues gesticulations comiques d'un duo fort sympathique qui rappellent avec bonheur les lointains burlesques de notre enfance.
  • MUNCHAUSEN (2013)
    Note : 15/20
    Avec une indolente sagacité, notre jeune réalisateur continue avec obstination et brio, une mise en lambeaux de la famille, de ses monstruosités affectives, en adaptant d'une façon faussement gentillette et désinvolte, les structures perverses du fascinante syndrome éponyme évoqué dans le titre de son court métrage.
  • CITADEL (2012)
    Note : 13/20
    Premier long métrage largement prometteur d'un jeune cinéaste irlandais qui confie s'être inspiré de quelques faits autobiographiques pour écrire le scénario. On constate une parfaite maîtrise de l'atmosphère fantastique, qui ne prend que lentement son essor, sans pour autant, surtout dans la première partie, en phagocyter la dramaturgie. Malheureusement, une prédominance d'un sur-jeu affecté de l'acteur principal, qui en fait des tonnes et des manières, entache en partie l'émoustillant plaisir de la vision.
  • IMPRESSIONS D'UN NOYE (2015)
    Note : 9/20
    Si l'idée de départ, sans être d'une renversante originalité, a de quoi séduire, en permettant de confectionner une intrigue éclectique et complexe, le traitement scénaristique côtoie des abîmes de prétention et de maniérisme, sous couvert d'un intellectualisme de pacotille qui peut irriter, mais surtout provoquer une méprisante hilarité, tant certaines séquences frisent allègrement le ridicule et la pesanteur.
  • HEREDITE (2018)
    Note : 16/20
    Premier long métrage assez étonnant d'un jeune réalisateur prodige, dont la richesse scénaristique combine et turbine moult séquences d'une foisonnante originalité rehaussée par une mise en scène d'une insolente efficacité visuelle, avec toujours en obsessionnelle récurrence, l'hydre nauséabonde et délétère de la famille.
  • FÉTICHE 33-12 (2012)
    Cette œuvre étonnante correspond à une version non expurgée d'un travail réalisé durant l'année 1933 avec une partie datant de 1954 qui fut adroitement remontée pour correspondre enfin à la démarche initiale du metteur en scène, dans son intégralité, ceci expliquant le titre de ce dvd référant à sa sortie définitive durant l'année 2012.
  • NADIA (1963)
    Note : 14/20
    Deux accessits pour ce court métrage : l'utilisation permanente de la voix-off et une évidente présence magnétique du jeune acteur interprétant l'adolescent fugueur.
  • EN LIBERTÉ ! (2018)
    Note : 16/20
    Quelques acteurs excellents, maniant avec dextérité et conviction des sentiments et des émotions souvent antinomiques, dans une pétillante et subtile combinaison de situations plurielles et décalées qui constellent l'intrigue principale d'un humour insolite et inattendu, avec comme résultante un vrai bonheur pour le spectateur.
  • LE LABYRINTHE DU SILENCE (2014)
    Note : 15/20
    Malgré quelques évidentes lourdeurs cinématographiques, ce premier long métrage d'un comédien d'origine italienne, passé derrière la caméra, a le mérite de dénoncer l'omerta régnant dans la population allemande de l'après-guerre concernant les atrocités nazies commises, en maintenant, vaille que vaille, une constante chape de silence complice et de fausse ou vraie ignorance, d'ailleurs souvent en grande partie entretenue voire encouragée par les forces alliées durant les années 1950.
  • DAS FRÄULEIN VON BARNHELM (1940)
    Note : 13/20
    Comédie sentimentale tournée à l'époque du nazisme triomphant, exaltant l'honneur militaire par delà les élans du cœur ainsi que la noblesse d'âme teutonne qui ne connut pas, avec raison, à la libération, les foudres de la censure des Alliés.
  • ROI DES PELICANS (1928)
    Frais émoulu de l'école de cinéma de Copenhague, ce vague tâcheron de la création cinématographique du pays, est loin de nous proposer une sombre médiocrité comme cela est souvent le cas avec les prestations du fameux duo scandinave.
  • CONTINENTAL, UN FILM SANS FUSIL (2007)
    Note : 16/20
    Etonnant et séduisant long métrage d'un metteur en scène d'origine canadienne, à la réputation encore confidentielle, qui a fait ses premières armes cinématographiques dans le montage, et dont on reparlera forcément dans quelques années.
  • LE CHÂTEAU DE POINTILLY (1972)
    Note : 12/20
    Premier long métrage d'un réalisateur d'origine hispanique, ultérieurement réduit à une durée de 34 minutes, qui ravit Marguerite Duras, et qui, malgré son atmosphère insolite, quelquefois envoûtante, ne nous a pas vraiment enthousiasmé.
  • DOUBLEPATTE ET PATACHON DETECTIVES (1929)
    Note : 14/20
    Voilà un film de Lauritzen bien agréable à suivre, ce qui est plutôt rare et certes bien étonnant. L'explication pourrait se trouver tout simplement dans le travail scénaristique de Valdemar Andersen qui a déjà montré ses capacités par ailleurs.
  • UN LACHE (1915)
    Note : 15/20
    D'une parfaite élaboration dramatique, avec des acteurs investis dans leurs rôles respectifs, cette énième mouture sur un épisode du fameux conflit (1861-1865) mérite notre attention et notre considération cinématographiques sans hésitation.
  • INTROSPECTION (2007)
    Note : 15/20
    Se présentant comme une longue et lumineuse méditation sur le désir et ses contingences, à travers les préceptes bouddhistes, ce premier long métrage distille avec finesse et constance sa philosophie de détachement et de renoncement aux antipodes des perceptions et des attractions du monde occidental.
  • AMBULANCE (1961)
    Note : 17/20
    L'horreur nazie dans toute sa banalité.
  • MESHES OF THE AFTERNOON (1943)
    Note : 17/20
    Utilisant avec intuition et finesse, la récurrence visuelle et la démultiplication des situations et même du personnage principal, notre couple de réalisateurs élabore avec perfection un univers mental de confusion et de perturbation mais aussi les tumultes de l'inconscient et les substrats même du rêve et de ses déambulations.
  • GRAVE (2016)
    Note : 15/20
    Une approche originale et surprenante du mythe des vampires, mâtiné d'anthropophagie, pour un premier long métrage bienvenu desservi
    par quelques séquences inconséquentes et surnuméraires dans leur véracité / nécessité.
  • SAINTE NUIT (1922)
    Note : 15/20
    Incroyable délire mélodramatique, concocté par la première cinéaste italienne, aux accents fortement shakespeariens qui provoque étonnement et admiration.
  • 800 BALLES (2002)
    Note : 14/20
    Bien que notre réalisateur ibérique est loin de tutoyer les grands de la profession, force est de lui reconnaître une réelle capacité de raconter des histoires ubuesques, un sens parfait de la mise en scène qui rappelle (en bien mieux) les facéties et pataquès d'un Jean-Pierre Mocky, avec en plus un redoutable style original et hautement déjanté.
  • THE LOST CITY OF Z (2015)
    Note : 14/20
    Un excellent et méticuleux travail du pool costumes et maquillages : aucun lacet manquant aux guêtres rutilantes ni boutons défaillants aux fringants uniformes, le grimage du faciès amérindien frise la perfection visuelle et la campagne irlandaise nous offre à nouveau l'inévitable chasse à courre, magnifique cerf ou allègre renardeau, selon l'animalier de service. Manque par contre l'évangélisant missionnaire. Pour le reste, on s'ennuie souvent entre deux descentes en radeaux et trois imprécises salves de flèches, dans ce récit zélateur et généreux sur un infatigable explorateur.
  • LA PETITE (1922)
    Note : 15/20
    Excellent mélodrame transalpin qui, outre une interprétation convaincante des principaux protagonistes s'est paré d'une généreuse et judicieuse utilisation des décors naturels napolitains et d'un étonnant environnement populaire donnant à l'ensemble une véracité proche du documentaire à connotation sociologique.
  • LE SOUFFLE (2014)
    Note : 16/20
    Malgré son parti pris délibéré d'un esthétisme visuel permanent, calqué sur une histoire minimaliste et une volonté affirmée d'une œuvre sans paroles et sans commentaires, le réalisateur parvient à dénoncer l'outrecuidance et la malignité des grandes puissances nucléaires, ici l'Union Soviétique, qui n'ont pas hésité à sacrifier des êtres humains, en les exposant par négligence ou par soucis d'expérimentation, aux mortels rayonnements d'une explosion atomique, dans de nombreuses zones prétendues désertiques, en Amérique, en Polynésie et ailleurs.
  • BRÜDER (1929)
    Note : 15/20
    Avec une politisation extrême du conflit et un filmage hautement documentaire qui s'est déroulé dans le port de Hambourg, animé d'un constant souffle revendicatif, sans aucun acteur professionnel, le réalisateur compose une œuvre digne des grandes productions soviétiques du genre, avec leurs brillances et leurs lourdeurs habituelles.
  • AMANDA (2018)
    Note : 16/20
    Une œuvre bienvenue, d'une lancinante tendresse diffuse et délicate, un peu trop policée dans son agencement scénaristique d'où émergent avec force et vigueur l'interprétation de Vincent Lacoste qui confirme ses excellentes disponibilités actorielles et l'étonnante spontanéité de la jeune Isaure Multrier.
  • UNE NUIT SUR LE MONT CHAUVE (1933)
    Note : 14/20
    Avec la technique des épingles, un vieux classique de l'animation.
  • LES CHOSES ROUGES (1994)
    Note : 8/20
    Ce qui frappe et bien vite exaspère, c'est la dichotomie entre le discours énoncé par la voix-off (souvent à connotation philosophique) et la banalité de l'environnement filmé. De plus, tenir des propos aussi conceptuels pour un simple ouvrier relève du gag ou de l'agitation mentale. Reste une excellente partition musicale qui n'atténue guère la prétention de l'ensemble.
  • UNE AFFAIRE DE FAMILLE (2018)
    Note : 14/20
    Malgré une sympathie primesautière pour ce scénario et ses protagonistes, on n'est pas submergé par un enthousiasme chaleureux et complice, un peu désappointé par une dernière demi-heure souvent d'une confondante banalité réconfortante et normative, bien loin de la pétulance anarchisante de certains propos définitifs et radicaux affirmant que ce qui est dans les magasins, n'appartient encore à personne.
  • L'HEURE D'ÉTÉ (2007)
    Note : 15/20
    Une œuvre particulièrement émouvante et sobre, des qualités et des qualificatifs en général guère caractéristiques du style et de la production du metteur en scène.
  • HAN, HUN OG HAMLET (1932)
    Note : 12/20
    Remake musicalisé d'une lointaine version tournée dix ans auparavant par le même metteur en scène qui ne laisse aucune trace indélébile, hormis peut-être la séquence où Harald Madsen interprète à lui seul tout un orchestre philharmonique.
  • ROOM (2015)
    Note : 15/20
    Une intrigue dramatique qui rappelle certains faits divers sordides de ces dernières années, mais que le réalisateur a su transcender par-delà une vision misérabiliste éventuelle et facile, en privilégiant l'étonnante et constante osmose entre la mère et l'enfant, une interprétation rigoureuse et remarquable de l'actrice principale, Brie Larson, consacrée par l'Oscar de la Meilleure Interprétation Féminine 2016.
  • LE CIEL VOUS REGARDE (1963)
    Note : 13/20
    Une première heure suave et délicieuse, baignée d'un humour fin et drôle, avec un scénario pétillant et mouvant qui ravit le regard et les zygomatiques. C'est ensuite que l'affaire se gâte, avec un scénario qui s'essouffle, piétine et tourne à vide, pour s'enliser en final dans une médiocre conclusion qui se voudrait rayonnante et stellaire.
  • COMANCHERIA (2016)
    Note : 16/20
    Intéressante et fertile mosaïque entre les canons du film policier et les schèmes du western, ponctuée d'un humour discret et d'une diffuse tendresse pour ses personnages, l'œuvre en question doit beaucoup à son efficace scénariste, Taylor Sheridan, depuis peu passé à la réalisation avec une souveraine détermination.
  • THE FLORIDA PROJECT (2017)
    Note : 16/20
    Entre le monde pernicieux et funeste des laissés-pour-compte d'une pauvreté endémique et celui des nantis qui se font déposer en hélicoptère dans les parcs d'attraction mitoyens, un profond abîme d'incompréhension et de mésalliance que même le rire crécelle et mutin des enfants n'arrive pas à combler.
  • L'HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES (1987)
    Note : 17/20
    Une œuvre magnifique d'un étonnant graphisme poétique qui diffuse en permanence un message de paix et d'harmonie universelles.
  • CERTAINES FEMMES (2016)
    Note : 15/20
    Quatre portraits de femmes, dans l'indistinct brouhaha des jours et des possibles, par une cinéaste féconde et pertinente dans sa déclinaison des émotions escamotées.
  • MIRAÏ, MA PETITE SOEUR (2018)
    Note : 14/20
    Quelques délicats moments de grâce, d'une infinie tendresse et d'une intemporelle douceur narrative, souvent malmenés par l'irruption d'un graphisme grossier et vociférant, nous laissent dans une morose expectative, soupirant après plus de fluidité et moins d'agressivité visuelle, une caractéristique de bien des mangas nippons.
  • LE DERNIER DES MOHICANS (1920)
    Note : 13/20
    Si la réalisation est loin de briller par un excédent qualitatif des prises de vue ou par une interprétation inoubliable d'un ou de plusieurs comédiens au générique, on notera toutefois deux faits marquants dans son scénario, une extrême violence dans les scènes d'affrontements avec les Indiens et un final fort éloigné du traditionnel happy end attendu et réglementaire, souvent prôné par les producteurs. Rendons tout de même grâce aux scrupuleux programmateurs du fameux Festival du Film Muet de Pordenone (2018) pour cette programmation méticuleusement restaurée.
  • APRES LA TEMPETE (2016)
    Note : 16/20
    Traversée d'une grande et diffuse tendresse pour ses personnages qui se frottent à un présent quelque peu rébarbatif voire hostile, souvent désarçonnés par un passé plus harmonieux, cette bienheureuse réalisation du grand metteur en scène nippon débouche sur une vision douce-amère de l'existence, quelquefois hantée par les incertitudes et les regrets, mais bien plus optimiste que dans les opus précédents.
  • BE WITH ME (2005)
    Note : 14/20
    Souvent émouvant, malgré la complexité du lacis des sentiments.
  • LES NUITS BLANCHES DU FACTEUR (2014)
    Note : 14/20
    Entièrement tournée avec des non-professionnels, hormis une actrice octogénaire professionnelle, cette œuvre bucolique et nostalgique possède aussi les qualités et les défauts de ses interprètes, fraîcheur et redondance dans les prestations artistiques. On notera en outre, quelques courtes et récurrentes séquences à connotation futuriste avec la proximité du centre spatial, et à densité fantastique, avec la féline et intrigante présence d'un superbe matou dans l'entourage rêvé / éveillé de notre facteur.
  • FLORENTINA HUBALDO, CTE (2012)
    Note : 17/20
    Malgré un développement du récit déstructuré dans sa réalité formelle et sa chronologie dramatique, une œuvre magnifique et puissante qui irradie par la puissante interprétation de Hazel Orencio, d'une époustouflante présence longtemps inoubliable.
  • BOMBON EL PERRO (2004)
    Singulière osmose entre un imposant canidé et un candide bonhomme au sourire permanent.
  • MASKS (2011)
    Note : 8/20
    C'est confus à souhait, avec des personnages sans aucune densité, vaguement prétentieux, se voulant un hommage révérencieux à Dario Argento et dont nous ne retiendrons qu'une singulière revisitation du mythe du vampire, correctement évoqué mais guère novateur ou transcendant dans sa sanguinaire démonstration.
  • PUITS DE PETROLE A BAKOU. VUE DE PRES (1898)
    Note : 15/20
    Impressionnant et... polluant !
  • CHIENS EGARES (2004)
    Note : 16/20
    Une œuvre bienheureuse et généreuse, à la fois émouvante et dénonciatrice d'une société archaïque, avec des comédiens non professionnels, d'un conviction et d'un charisme étonnants.
  • MY NAME IS JOKER (1970)
    Note : 15/20
    Une œuvre mastodonte, inspirée selon notre réalisateur hindi par les chaplinesques "lumières de la ville", qui à l'origine devait donner trois productions indépendantes, et qui narre les déboires sentimentaux d'un bouffon génial, sur fond de romances inabouties, non dénuée d'un certain infantilisme tenace et d'un narcissisme évanescent, peu préjudiciables à la satisfaisante appréciation globale.
  • THE ALPHABET (1968)
    Note : 12/20
    Tortueux et torturé à souhait !
  • EL CIELITO (2004)
    Note : 15/20
    Evitant avec adresse et conviction, les écueils du mélodrame larmoyant, la réalisatrice dépeint un monde en perdition, régi par la violence et l'injustice.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
MESHES OF THE AFTERNOON (1943) 17
L'HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES (1987) 17
FLORENTINA HUBALDO, CTE (2012) 17
AMBULANCE (1961) 17
CONTINENTAL, UN FILM SANS FUSIL (2007) 16
LE SOUFFLE (2014) 16
COMANCHERIA (2016) 16
APRES LA TEMPETE (2016) 16
HEREDITE (2018) 16
EN LIBERTÉ ! (2018) 16
AMANDA (2018) 16
THE FLORIDA PROJECT (2017) 16
CHIENS EGARES (2004) 16
LE LABYRINTHE DU SILENCE (2014) 15
UN LACHE (1915) 15
L'HEURE D'ÉTÉ (2007) 15
MY NAME IS JOKER (1970) 15
INTROSPECTION (2007) 15
GRAVE (2016) 15
BRÜDER (1929) 15
CERTAINES FEMMES (2016) 15
PUITS DE PETROLE A BAKOU. VUE DE PRES (1898) 15
MUNCHAUSEN (2013) 15
SAINTE NUIT (1922) 15
LA PETITE (1922) 15
ROOM (2015) 15
EL CIELITO (2004) 15
800 BALLES (2002) 14
UNE NUIT SUR LE MONT CHAUVE (1933) 14
LES NUITS BLANCHES DU FACTEUR (2014) 14
NADIA (1963) 14
THE LOST CITY OF Z (2015) 14
DOUBLEPATTE ET PATACHON DETECTIVES (1929) 14
UNE AFFAIRE DE FAMILLE (2018) 14
MIRAÏ, MA PETITE SOEUR (2018) 14
BE WITH ME (2005) 14
CITADEL (2012) 13
LE CIEL VOUS REGARDE (1963) 13
LE DERNIER DES MOHICANS (1920) 13
ROSITA (2000) 13
DAS FRÄULEIN VON BARNHELM (1940) 13
LE CHÂTEAU DE POINTILLY (1972) 12
HAN, HUN OG HAMLET (1932) 12
THE ALPHABET (1968) 12
IMPRESSIONS D'UN NOYE (2015) 9
MASKS (2011) 8
LES CHOSES ROUGES (1994) 8