Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 47 films notés

Page 22 sur 332 (16566 critiques au total)

  • HARDY PAPA (1916)
    Note : 11/20
    On court dans tous les sens pour finalement un peu lasser le spectateur.
  • L'OUMIGMAG OU L'OBJECTIF DOCUMENTAIRE (1993)
    Note : 16/20
    Sous-tendu par un texte d'une époustouflante poésie, une étonnante plongée dans la sauvagerie et l'animalité, au sein d'une nature encore rebelle où se côtoient l'aigle majestueux, le caribou solitaire, la magnifique perdrix des neiges, la curieuse belette.
  • LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : DÉLIVRANCE (2016)
    Note : 11/20
    Une œuvre policière bien mollassonne, avec des acteurs guère convaincants et plutôt détachés de leur rôle et de leur interprétation, hormis Pal Sverre Hagen, toujours aussi inquiétant dans son personnage hautement démoniaque.
  • ZIGOTO BUCHERON (1922)
    Note : 15/20
    D'un rythme souvent endiablé et d'une agitée interprétation du grand Larry Semon.
  • THE BATTERY (2012)
    Note : 13/20
    Dans le genre spécifique et ouvertement ciblé "films de zombies" une sympathique curiosité, qui utilise avec modération et parcimonie les traditionnels ingrédients horrifiques, pour composer d'intéressantes séquences de transition souvent agrémentées de subtile psychologie et d'humour collatéral donnant à ce road-movie horrifique une authentique personnalité, malgré quelques longueurs surnuméraires.
  • DERNIER TRAIN POUR BUSAN (2016)
    Note : 16/20
    D'une rare efficacité, avec un indéniable rythme effréné et un déferlement de situations dramatiques extrêmes, le réalisateur se permet, en plus d'une parfaite maîtrise des scènes gore, de fustiger la médiocrité de la nature humaine dans ce qu'elle a de plus égoïste, de plus lâche et de plus veule, heureusement contrebalancée, pour certains protagonistes, par un puissant esprit de solidarité et de sacrifice.
  • ZIGOTO GARÇON DE THÉÂTRE (1922)
    Note : 14/20
    Ce sont finalement les séquences de poursuites tournées à l'extérieur de la salle de spectacle, qui sont dans l'ensemble les plus intéressantes et les plus réussies.
  • MANGE TES MORTS (2014)
    Note : 14/20
    Comme dans le film précédent du réalisateur, avec en partie, les mêmes acteurs investis dans "une interprétation documentaire" de leurs personnages, on est séduit par l'atmosphère fort particulière du film qui transpire une solide authenticité narrative et démonstrative, manquant tout de même d'intime et sauvage émotion.
  • PURGE (2012)
    Note : 15/20
    D'une évidente richesse scénaristique conséquente à une efficace adaptation du roman éponyme de Sofi Oksanen, considéré comme un best-seller finlandais, l'œuvre cinématographique a comme privilège une étonnante plasticité visuelle et poétique de l'image, surtout dans l'approche de la nature, compensant en partie un déferlement de violence et une brutalité extravertie trop souvent explicites, en partie inutilement.
  • MAILLART'S BRIDGES (2000)
    Note : 14/20
    Un film hommage à un grand architecte !
  • BROTHERS (2004)
    Note : 16/20
    Même si cette production n'a pas la finesse ni la subtilité du chef-d'oeuvre de la réalisatrice, il reste néanmoins un film de qualité, d'une extrême solidité thématique, avec l'ensemble des acteurs d'une parfaite sobriété, évitant avec brio et dextérité, les lourdeurs et les pièges du mélodrame facile et convenu.
  • TONI ERDMANN (2016)
    Note : 16/20
    Rarement une œuvre cinématographique d'une aussi consistante longueur, aura été aussi peu concernée par sa durée, tellement l'ambiance générale qui se dégage des séquences, s'affiche dans l'humour mordant et la décontraction existentielle, sans jamais se prendre trop au sérieux, pour retrouver l'essence même du bonheur fait de diffus souvenirs engrangés au fil du temps qui passe.
  • COLLE-TOI LA (1925)
    Note : 15/20
    Surtout pour l'excellent gag des deux échelles sorties d'une valise !
  • KILLERS (2014)
    Note : 9/20
    Si l'idée de départ pouvait avoir un relatif intérêt scénaristique, le traitement volontairement gore de l'ensemble replace l'oeuvre à son juste niveau, c'est-à-dire fort quelconque et lourdement commercial avec ses nécessaires violences présentes tous les quarts d'heure de pellicule et une incontournable surenchère d'hémoglobine et de sadisme, aux confins de l'outrance et du ridicule.
  • LA PIEUVRE (1928)
    Note : 15/20
    Une certaine poésie se dégage nettement des prises de vue parfois remarquables.
  • L'ENVERS DU CINEMA (1927)
    Sans humour et sans intérêt !
  • A GIRL WALKS HOME ALONE AT NIGHT (2014)
    Note : 16/20
    Présentée avec bonheur et conviction au 7ème Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, une oeuvre étonnante et séduisante à la fois, par l'adroite combinaison de plusieurs genres créatifs allant de la bande-dessinée au conte crépusculaire en passant par le roman illustré, mais aussi en entrelaçant avec une folle décontraction et une redoutable assurance, des typologies cinématographiques variées comme le western, le fantastique, le film noir, la ballade romantique, par une sorte de Jarmusch féminin, poussant l'audace et la liberté jusqu'à tourner, chat perché, chat persan, en noir et blanc et en langue originale, le farsi.
  • LES OURSINS (1929)
    Note : 13/20
    Ces petites boulettes chevelues intéressent de beaucoup les consommateurs des régions maritimes qui apprécient en particulier la partie comestible appelée corail.
  • HANSEL AND GRETEL (1954)
    Note : 15/20
    Parfaite osmose entre le conte et son adaptation cinématographique.
  • THE CANAL (2013)
    Note : 11/20
    Une intéressante première partie, rapidement gâchée par une constante oscillation du scénario entre la logique explication criminelle d'un meurtre passionnel commis par un individu en plein glissement schizophrénique et une pendulaire interprétation fantastique sans cesse contredite par les faits et resservie à la séquence suivante, pour finalement tourner en rond, à vide et le spectateur en bourrique.
  • DOUBLEPATTE ET PATACHON TOURNENT MAL (1921)
    Note : 13/20
    Anecdotes du film :
    - L'accident d'avion ne fut absolument pas prévu dans le scénario de tournage et fut promptement intégré par le cinéaste dans le déroulement de l'histoire, justifiant l'embauche de Pat et Patachon, par le (faux) décès des deux aviateurs...
    - Ce fut le premier film qui met en scène le fameux duo de comiques.
  • TESNOTA, UNE VIE A L'ETROIT (2017)
    Note : 15/20
    Un premier long métrage slave, d'un jeune metteur en scène passé par l'enseignement d'Alexandre Sokourov, qui d'emblée s'inscrit dans une présence narrative souvent époustouflante, qu'une magistrale interprétation de l'actrice principale sous-tend et perpétue en intensité et conviction, dans une diffuse mais permanente densité émotionnelle qui infuse et contamine insidieusement le spectateur.
  • HOUSEBOUND (2014)
    Note : 11/20
    Un intéressant mélange des genres, pas toujours rigoureux, pour un premier long métrage laissant deviner quelques potentialités, avec une actrice, vague sosie de Béatrice Dalle, toute aussi énervante et insupportable que son homologue française.
  • VORE VENNERS VINTER (1923)
    Note : 13/20
    Selon les versions résumées ou raccourcies projetées en salles ou à la télévision, les prénoms changent, le paternel devient l'oncle, soit du garçon, soit de la demoiselle pour ne laisser finalement que l'armature squelettique d'un scénario tangent.
  • AUCASSIN ET NICOLETTE (1975)
    Un conte peu connu !
  • LATE PHASES (2014)
    Note : 13/20
    Dans son déroulement, une histoire très classique, respectant les normes et les codes du genre, avec une parfaite maîtrise de la dramaturgie et du mythe et rehaussée par une interprétation, surtout de l'acteur principal, hors pair. Hélas l'ensemble perd de son intérêt et de sa possible fascination, dans sa dernière partie, après une réussie transformation en lycanthrope du méchant, on nous gratifie de la présence de quelques spécimen supplémentaires, contaminés entre temps par quelques atroces morsures, mais qui ressemblent plus à des bisounours nocturnes qu'à de sanguinaires loups-garous, tellement les trucages et les effets spéciaux sont médiocres et primaires.
  • PAT ET PATACHON PHOTOGRAPHES (1923)
    Note : 13/20
    Considéré par quelques critiques comme un des meilleurs épisodes de la longue série du fameux duo comique, on est loin de partager des éloges dithyrambiques pour ces nouvelles aventures de Pat et Patachon, nos sympathiques traîne-savates danois.
  • GOFF IN DER WÜSTE (2003)
    Note : 14/20
    Une étonnante et bienvenue constante, la présence systématique de la nature, du végétal.
  • REFROIDIS (2014)
    Note : 15/20
    Séduisante comédie policière scandinave, d'un énergique metteur en scène norvégien qui ne nous a jamais déçu, dont on appréciera forcément le suave humour pince-sans-rire et le méthodique décompte macabre, mais aussi l'excellente prestation des deux "têtes de gondole", les incontournables Stellan Skarsgard et Bruno Ganz, et surtout l'incroyable jeu d'acteur, déjanté et maladif, de l'étonnant Pal Sverre Hagen, dans le rôle du big boss des méchants trafiquants.
  • PAT ET PATACHON ET LA PETITE DANSEUSE (1924)
    Note : 11/20
    Cette fois-ci les deux comiques danois sont loin de monopoliser l'écran qui focalise largement sur la délicate actrice Greta Nissen, (seconde apparition au cinéma) d'une présence et d'un charme indéniables. D'ailleurs les séquences avec notre duo étaient tellement succinctes que le metteur en scène Lau Lauritzen a jugé bon d'intégrer au final quelques scènes comiques surnuméraires, non prévues au synopsis original.
  • THE DISASTER ARTIST (2017)
    Note : 11/20
    Se voulant un biopic assumé d'un autre film réalisé en 2003 par un certain Tommy Wiseau, intitulé "The room" et considéré par maints critiques et spectateurs comme "le meilleur pire film de tous les temps", cette réalisation hypothétique et discutable ne peut faire adhérer un public uniquement sur son acrobatie scénaristique, une sorte d'épigone finalement bien navrant, qui se dégonfle au fur et à mesure de sa projection.
  • FIVE STAR FINAL (1931)
    Note : 16/20
    Considéré comme un des dix meilleurs films de l'année 1931, cette oeuvre émouvante et sans concession, dénonciatrice des méfaits causés par une certaine presse, commise par un solide réalisateur américain, outre son éternel sujet toujours d'actualité, enchante par la qualité d'interprétation de la plupart des comédiens et la solide liberté de ton et de narration si souvent absente dans notre cinéma hexagonal.
  • DOUBLEPATTE ET PATACHON DEMENAGEURS (1926)
    Note : 14/20
    Dernière oeuvre du fameux metteur en scène danois qui depuis sa séparation avec son égérie cinématographique et compagne Asta Nielsen avec laquelle il réalisa pas moins de trente films, s'était un peu retirer de la sphère cinéma pour s'impliquer dans le milieu du théâtre, après être revenu d'Allemagne pour retrouver son pays natal.
  • LA NUIT A DEVORÉ LE MONDE (2017)
    Note : 13/20
    Huis-clos fantastique bienvenu qui sans être inoubliable ni transcendant, parvient tout de même à mordre auprès d'un public souvent en connivence et en complicité scénaristique, sans pour autant égaler ou dépasser une production allemande du même acabit mais bien plus séduisante et qui ne fut pas distribuée dans l'hexagone.
  • LEVIATHAN (2014)
    Note : 16/20
    Gigantesque monstre marin dans la mythologie phénicienne qui dans la Bible symbolise les puissances du mal, "Leviathan" semble bien avoir pris désormais ses aises et ses quartiers dans la Russie tsariste de Poutine où le bon vouloir de certains s'arroge le droit et la justice pour leurs seuls intérêts de puissance et de domination, hommes de main, femmes liges, pelleteuses et bulldozers en action et en soumission.
  • MISSION : IMPOSSIBLE -ROGUE NATION- (2015)
    Note : 13/20
    Pas de réelle surprise dans ce nouvel opus cruisien de la fameuse série télévisée éponyme qui remplit son contrat de poursuites, cascades et bagarres en tous genres, avec quelques pincées d'humour et les inévitables invraisemblances scénaristiques.
  • FRIGO ET LA BALEINE (1923)
    Note : 14/20
    Les retrouvailles avec Keaton sont toujours bienvenues !
  • MOMMY (2014)
    Note : 17/20
    Même avec quelques longueurs non préjudiciables à la dynamique émotionnelle du film et quelques préciosités surnuméraires, l'œuvre génère que des contentements et des éloges, de part l'interprétation souvent époustouflante des trois principaux acteurs, de l'étonnante maîtrise factuelle d'un scénario mélodramatique et surtout d'une rare intelligence virtuose dans l'élaboration scénique de l'architecture dramatique du film.
  • NOCTURAMA (2016)
    Note : 3/20
    Après une fastidieuse et trop longue mise en place des principaux éléments du drame, suivi du meurtre d'un quidam à son domicile, de l'incendie d'une statue équestre, puis de quelques tonitruantes explosions, des comportements et des cibles dont nous ignorons les raisons de leur choix, nous retrouvons nos jeunes protagonistes à goûter aux bienfaits de la société de consommation, en toute impunité et discrétion dans leur mirifique cache. De haut en bas du magasin, dans les moult rayons haut de gamme qui agrémentent l'ensemble des étages de l'immeuble, nous avons ainsi droit à une lourde déambulation publicitaire au milieu des fabricants, manufacturiers et autres confectionneurs (qui auront sûrement aidé à financer et sponsoriser le film). Sans aucune assise politique, une psychologie des personnages inexistante, gravitant autour d'un scénario hyperbolique d'une permanente pédanterie, assaisonnée de prétention maladive, de pesante bêtise et d'inconséquence notoire, on se retrouve devant une pénible rature cinématographique où même les intervenants policiers semblent sortis d'un ersatz de jeu vidéo infantile et bancal.
  • NOUS ARRIVONS (1936)
    Note : 14/20
    Avec la montée sournoise d'un antisémitisme latent, puis l'invasion des hordes nazies, le sanatorium fut, quelques années plus tard, entièrement détruit et ses protagonistes, adultes et enfants, déportés au camp de concentration de Treblinka. L'œuvre cinématographique témoignant de l'existence de cette structure juive novatrice eut bien des difficultés pour exister dans sa version enfin complète. Grâce à la collaboration de plusieurs cinémathèques, d'organismes hébraïques divers et de quelques instituts culturels, la restauration a pu se concrétiser favorablement.
  • THE BELLS (1926)
    Note : 16/20
    Seconde version cinématographique d'une pièce de théâtre plusieurs fois adaptée à l'écran, qui séduit durablement par l'étonnante interprétation de l'incontournable Lionel Barrymore, toute en nuances et folle dualité, galvanisée par une mise en scène sans faille ni relâchement et l'inquiétante voire facétieuse présence de l'inénarrable Boris Karloff qui se targue de débusquer le coupable du crime par le biais de l'hypnose.
  • LA GANGRENE (1972)
    Note : 15/20
    Une tardive et cruciale prise de conscience fort bien cernée par le court métrage, qui n'aura hélas pas empêché la discutable construction routière incriminée mais aussi l'émergence tenace d'un nécessaire centre-ville urbain sans voitures.
  • LES BONNES MANIERES (2017)
    Note : 13/20
    On aura beau dénicher des tombereaux de symboles politiques, psychologiques, tératologiques pour accréditer cette lycanthropie de roman-photo qui ne fait ni sourire, ni réfléchir, ni soupirer, tout juste se remémorer quelques films du genre, de George Waggner, Terence Fisher ou John Landis et remiser nos quelques balles en argent.
  • GONE GIRL (2014)
    Note : 16/20
    Rarement perversité et rouerie féminines n'auront atteint de tels sommets (ou abysses) au cinéma, avec cette somptueuse interprétation de Rosamund Pike en maladive et féconde vengeresse dont la préméditée et machiavélique planification a pour seul but est de mener fatalement son mari sur la chaise électrique, avec la subtile collaboration attendue et ardemment souhaitée des médias, toujours prompts à lyncher un coupable et sacraliser une victime, fût-elle imaginaire ou simulée.
  • HYAS ET STÉNORINQUES, CRUSTACÉS MARINS (1929)
    Note : 14/20
    Dommage que le commentaire en voix off, se voulant humoristique et original, frise souvent la nullité, alors que l'image se suffit à elle-même, agrémentée d'une composition de Frédérique Chopin, pour illustrer l'évidente beauté visuelle.
  • FREIHEIT (1966)
    Note : 13/20
    Rien d'exceptionnel, ni de blâmable, non plus.
  • THE WHITE RAVEN (1917)
    Note : 16/20
    Visionnée avec bonheur aux 33e "Giornate del Cinéma Muto" de Pordenone, lors d'une substantielle rétrospective consacrée à la dynastie des Barrymore, cette œuvre bienvenue et solide met en scène la farouche volonté d'une femme énergique et revendicative dans son cheminement vers une passion artistique (la scène) et une exigence morale (venger son père) dans la pure tradition du féminisme naissant.
  • LE BERNARD-L'HERMITE (1930)
    Note : 11/20
    Un animal marin fort étonnant, toujours en quête d'un nouvel abri, qui en gros plans, se révèle monstrueux et dont l'agitation semble perpétuelle.
  • LOOK AT LIFE (1965)
    Oubliable !
  • LE TAILLEUR DE TORJOK (1925)
    Note : 16/20
    Encore un petit bijou d'humour et de facéties pour cette nouvelle production des fameux studios soviétiques de la Mejrabpom qui nous ont déjà gratifiés dans le passé de maints chefs-d'oeuvre de drôlerie et de finesse, nous permettant aussi de retrouver à nouveau l'étonnant et véloce acteur Igor Ilinski, à l'extraordinaire présence comique qui de film en film, nous enchante et nous ravit singulièrement.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
MOMMY (2014) 17
L'OUMIGMAG OU L'OBJECTIF DOCUMENTAIRE (1993) 16
BROTHERS (2004) 16
A GIRL WALKS HOME ALONE AT NIGHT (2014) 16
FIVE STAR FINAL (1931) 16
LEVIATHAN (2014) 16
THE BELLS (1926) 16
GONE GIRL (2014) 16
THE WHITE RAVEN (1917) 16
LE TAILLEUR DE TORJOK (1925) 16
DERNIER TRAIN POUR BUSAN (2016) 16
TONI ERDMANN (2016) 16
REFROIDIS (2014) 15
PURGE (2012) 15
LA PIEUVRE (1928) 15
LA GANGRENE (1972) 15
ZIGOTO BUCHERON (1922) 15
COLLE-TOI LA (1925) 15
HANSEL AND GRETEL (1954) 15
TESNOTA, UNE VIE A L'ETROIT (2017) 15
MANGE TES MORTS (2014) 14
DOUBLEPATTE ET PATACHON DEMENAGEURS (1926) 14
HYAS ET STÉNORINQUES, CRUSTACÉS MARINS (1929) 14
ZIGOTO GARÇON DE THÉÂTRE (1922) 14
MAILLART'S BRIDGES (2000) 14
GOFF IN DER WÜSTE (2003) 14
FRIGO ET LA BALEINE (1923) 14
NOUS ARRIVONS (1936) 14
THE BATTERY (2012) 13
LATE PHASES (2014) 13
LES OURSINS (1929) 13
DOUBLEPATTE ET PATACHON TOURNENT MAL (1921) 13
VORE VENNERS VINTER (1923) 13
PAT ET PATACHON PHOTOGRAPHES (1923) 13
MISSION : IMPOSSIBLE -ROGUE NATION- (2015) 13
LA NUIT A DEVORÉ LE MONDE (2017) 13
LES BONNES MANIERES (2017) 13
FREIHEIT (1966) 13
THE CANAL (2013) 11
HOUSEBOUND (2014) 11
LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : DÉLIVRANCE (2016) 11
PAT ET PATACHON ET LA PETITE DANSEUSE (1924) 11
LE BERNARD-L'HERMITE (1930) 11
HARDY PAPA (1916) 11
THE DISASTER ARTIST (2017) 11
KILLERS (2014) 9
NOCTURAMA (2016) 3