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VORE VENNERS VINTER-1923-
Film Muet
Nationalité : Danemark
Titre VO : Vore venners vinter
Durée : 1h45
Genres : FILM MUET / BURLESQUE
Themes
Trains et gares
- cinéma danois -
Résumé
Un jeune étudiant fort malheureux, dans une taverne, boit outre mesure, afin de tenter d'atténuer sa tristesse et sa peine. Pat et Patachon, attablés non loin, lui proposent amicalement de s'asseoir avec eux, puis l'invite dans leur home, un camion-container de déménagement de meubles qu'ils ont astucieusement aménagé. Le garçon leur montre la lettre de séparation que lui a écrite sa bien-aimée et après moult libations s'en va chez sa logeuse fort courroucée de son état d'enivrement. Durant la nuit, nos deux amis et leur habitacle sont transbahutés sur un wagon pour faire partie d'un convoi ferroviaire qui les emmène, via un ferry, en Norvège. Lors d'un arrêt intempestif, ils quittent leur abri mobile, longent la voie ferrée à la recherche de quelques habitations, trouvent une draisine dont ils vont se servir pour se déplacer, bientôt dangereusement importunés par des trains de passage. Avec une vieille luge et un coffre en bois, ils se constituent un réceptacle pour essayer de vendre des glaces (en fait de la neige mise en boules). Durant leur errance, ils découvrent une jeune fille blessée, après une chute en ski et vont l'emmener pour qu'elle se rétablisse, dans un chalet résidentiel fermé dans lequel Pat pénètre frauduleusement par la cheminée. Il s'avère que la demoiselle est la fiancée du malheureux étudiant qu'on incitera à les rejoindre rapidement en lui envoyant en urgence un télégramme d'invitation. S'en suivent de chaleureuses retrouvailles norvégiennes, légèrement perturbées par un tenace représentant en réfrigérateurs. On prévient aussi le père de la jeune fille qui, dans un premier temps toujours rétif à cette relation, acceptera finalement de futures noces à Copenhague.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Selon les versions résumées ou raccourcies projetées en salles ou à la télévision, les prénoms changent, le paternel devient l'oncle, soit du garçon, soit de la demoiselle pour ne laisser finalement que l'armature squelettique d'un scénario tangent.
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