• MAD DOGS (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre des plus intéressantes, poussant les schèmes du film noir à ses limites extrêmes, sans pour autant les trahir ou flirter avec la parodie, et qui nous vaut une kyrielle de rôles étonnants à la limite de la caricature.
• L'HOMME VOLANT (1960)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Animation en originaux et délicats traits de pinceaux.
• RICHARD III (1995)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une adaptation bienvenue et réussie de la célèbre pièce de William Shakespeare transposée dans une Angleterre fictive et symbolique.
• MADAME L'EAU (1992)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Voilà une sympathique réalisation du prolifique Jean Rouch, toujours attentif et pertinent quant aux correspondances et solidarités entre les peuples, les pays et les hommes, au-delà des médiocres et stupides clivages politiques, religieux et géographiques qui sans cesse éloignent et enferment les hommes.
• ZAA LE PETIT CHAMEAU BLANC (1960)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Petite histoire fort sympathique qui permet de visiter en douce et en douceur, des lieux hautement réputés de Tunisie, dans un film pour enfants des plus bienvenus.
• LE BOUCANIER DES ÎLES (1961)
  Critique CF

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  Pour retrouver Michel Mercier.
• PEEL (1982)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Un rien étrange et curieux !
• REPTILICUS MAN (1961)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  On pense aux nombreux films d'Inoshiro Honda sur le même thème du gigantisme préhistorique, avec des trucages peut-être plus réussis ici dans leur réalisme.
• THE SUBSTITUTE (1996)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Beaucoup de clichés faciles pour une oeuvre somme toute quelconque.
• HELLRAISER IV (1996)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Quatrième opus de la série, désormais franchement mauvais !
• UNE JOURNEE CHEZ MA TANTE (1996)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  D'un intérêt constant et d'une qualité certaine !
• CRASH (1996)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Déjà le roman d'anticipation de J.G. Ballard irradiait de tous ses mots et ses douleurs cette expérience ultime de la jouissance extatique et funèbre avec un brio certain et une rare conviction. Cronenberg la prolonge et la complémentarise visuellement, avec une feutrée et luisante efficacité.
• KUARUP (1989)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Un des films brésiliens les plus chers, somme toute assez conventionnel mêlant grands sentiments, exotisme, politique, érotisme. On est donc loin des premières réalisations de Ruy Guerra dont le propos s'est largement assagi.
• LES ENFANTS DES PROSTITUÉES (1995)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Même si les évocations sont forcément parcellaires et limitées dans le temps et la confidence, on ne peut que noter, à travers une évidente chape de pudeur, de nécessaire dissimulation et de non-dits inconscients, un sincère et profond amour filial et maternel, même si quelquefois les relations se sont distendues ou bien espacées.
• PUNISHMENT PARK (1971)
  Critique CF

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  Note : 18/20

  Maraudant sur l'enthousiasmant terreau libertaire de la politique-fiction contestataire, le récit de Peter Watkins s'enfonce lentement dans l'impitoyable et brutal constat d'une mainmise délibérée sur l'ensemble des éléments d'opposition (Noirs, féministes, drogués, contestataires, pacifistes, marginaux) pour finalement parachever leur action, dans l'abjection la plus radicale, en abattant systématiquement tous les prétendus et prétendans rebelles, au nez et à la barbe de tous les médias de la planète. Une œuvre exceptionnelle qui n'a même plus aujourd'hui, à sa décharge, le statut d'être seulement une création fictionnelle...
• RAIN OR SHINE (1930)
  Critique CF

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  Note : 11/20

  Pas vraiment de quoi se réjouir de cette pochade bien terne et plutôt besogneuse, loin de l'esprit pétillant et de la verve habituelle du réalisateur. Et ce n'est pas la fastidieuse logorrhée de l'acteur Joe Cook tentant sans cesse d'arnaquer le naïf William Collier (junior) ni les quelques gags festifs du repas familial, souvent d'une lourdeur légumineuse, qui modifieront l'appréciation de l'ensemble, bien au contraire.
• LES COULOIRS DU TEMPS, LES VISITEURS II (1997)
  Critique CF

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  Note : 9/20

  Une amère déception que cette oeuvre lourdement commerciale, comparée à l'originalité de la première mouture et qui n'a qu'un seul but, remplir le tiroir-caisse.
• PSAUME ROUGE (1972)
  Critique CF

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  Note : 17/20

  Une œuvre hongroise superbe, tournée en vingt six plans, réalisée en une stupéfiante chorégraphie, sous l'égide d'une constante symbolique marxiste, d'une approche difficile, ardue et d'une richesse indéniable.
• SPEED 2 : CAP SUR LE DANGER (1997)
  Critique CF

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  -

  Note : 9/20

  Fade, insipide et quelconque !
• MARIE BAIE DES ANGES (1997)
  Critique CF

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  -

  Note : 16/20

  Première réalisation d'une étonnante et singulière réussite.
• BARB WIRE (1996)
  Critique CF

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  Note : 7/20

  Hormis les lolos de Pamela, tout est branlant dans cette oeuvre médiocre.
• JUGATSU (1990)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une oeuvre de "jeunesse" de Kitano préfigurant ses chefs-d'oeuvre à venir.
• DÉJÀ MORT (1998)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Un premier long métrage plutôt speedé qui, malgré certaines facilités et autres outrances largement évitables, mérite qu'on s'y abîme.
• LE PARADIS DES MONTE-EN-L'AIR (1960)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  C'est avec un plaisir évident et bien des éclats de rire en embuscade, que l'on retrouve dans cette succulente réalisation, toute la finesse et l'originalité de cet humour britannique si souvent présent dans les comédies anglaises de cette époque et qui vous laisse longtemps, au coin des lèvres, un rétrospectif sourire de contentement.
• LES ANNEES DU CHRIST (1967)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  On pense forcément aux premiers films tchèques de Milos Forman par cette manière à la fois intimiste et libertaire de filmer des bribes de la vie des gens et les moments fugitifs de l'existence. On est bien sûr d'un niveau de qualité et d'émotion inférieures, malgré quelques rares moments de délires urbains et quelques bienheureuses libertés accordées à une caméra souvent folâtre et virevoltante.
• LES CLIENTS DES PROSTITUÉES (1995)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  On peut savoir gré au réalisateur d'avoir abordé, avec intelligence et respect, l'hétérogène problématique de la prostitution, sous toutes ses moult facettes, souvent dramatiques et quelquefois sordides, et pas seulement sous l'angle classique de la prostituée, mais aussi en corrélation avec la pléthorique clientèle masculine, en permanente recherche de ces rapports payants et codifiés.
• MADISON AVENUE (1962)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Sur le thème de l'arrivisme, une oeuvre somme toute honorable.
• LES OISEAUX LES ORPHELINS ET LES FOUS (1969)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Sur fond de fable baroque et de constante critique du régime politique de l'époque, Juraj Jakubisko affirmit sa position à part dans la constellation des cinéastes tchèques et plus spécifiquement slovaques du printemps de Prague. Et si l'oeuvre fourmille de trouvailles surréalistes et drôles, de superbes pataquès en dérives farfelues, on ne s'empêcher de voir, derrière le masque de l'hilarité et de la fantaisie forcenées, un profond désespoir existentiel, une indéniable déchirure de l'âme et du quotidien.
• PLUIE D'ENFER (1997)
  Critique CF

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  -

  Note : 10/20

  Une idée initiale plutôt originale, mais le développement déçoit.
• NICKEL RIDE (1974)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Efficace film noir, tout en inquiétudes et en nuances, à l'ambiance crépusculaire et délétère qui scrute les derniers soubresauts d'un monde en finitude, celui des truands aux codes d'honneur et à la légendaire rectitude, pour une génération arriviste, véritables technocrates du crime pour qui seul compte le profit, quelques en soient les moyens et les traîtrises employés pour arriver à leurs criminels objectifs.
• MEN IN BLACK (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Réjouissant et bienvenu, un must parodique et distrayant de l'été 1997.
• WILL HUNTING (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une œuvre plutôt émouvante qui doit autant à son metteur en scène Gus Van Sant qu'au talent de ses interprètes, en particulier Matt Damon en tête.
• LÈVRES DE SANG (1974)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Sur le thème du vampirisme et de l'amour fou, un intéressant "Rollin" !
• ALBINO ALLIGATOR (1997)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  De l'excellent travail du toujours pertinent comédien Kevin Spacey, pour sa première présence derrière la caméra qui mérite amplement la séquestration.
• LES TROTTOIRS DE PARIS (1993)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Jean-Michel Carré confirme à nouveau, dans cette oeuvre hautement tragique et douloureuse, son exceptionnelle maîtrise pour surprendre et révéler, au-delà des mots, des images et des apparences, la fragilité des émotions et des perditions humaines. Une oeuvre remarquable qui s'inscrit avec bonheur et douleur dans sa thématique !
• FASCINATION (1979)
  Critique CF

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  Note : 14/20

  Moderne et bienvenue version du mythe du vampire.
• LES COMÉDIENS (1953)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Une oeuvre de qualité, quasi documentaire sur le milieu des comédiens.
• LE ROSSIGNOL SUÉDOIS (1941)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Hormis la séduisante Ilse Werner, rien à retenir de ce banal film musical teuton.
• LE NOEL DE GRIBOUILLE (1910)
  Critique CF

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  Note : 15/20

  Excellent court métrage, fort étonnant pour l'époque.
• MEURTRE À LA MAISON BLANCHE (1997)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Un thriller de série au scénario et à la réalisation certes efficaces, pour un bon boulot de routine.
• JEFFREY (1995)
  Critique CF

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  Note : 10/20

  Une transposition maladroite de la scène à l'écran sauvée in extremis par une bonne dose d'humour et l'apparition réjouissante de Sigourney Weaver.
• LA ROUTE SEMÉE D'ÉTOILES (1943)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  D'un sentimentalisme quelquefois lourdingue, voire sirupeux.
• LE SOLEIL DANS LE FILET (1962)
  Critique CF

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  Note : 16/20

  Sous une apparence de banale narration estivale évoquant l'émergence aux sentiments de deux adolescents, cette intéressante oeuvre slovaque draine en filigrane et mélancolie, un évident et constant désenchantement, humain, social et politique avec pourtant une étonnante absence d'amertume et de défaitisme. Entre une sévère critique des mirages du socialisme champêtre et ouvrier, un constat lucide et tenace de la médiocrité et de l'inconstance de bien des relations affectives, adultes et juvéniles, sur fond d'illusions et de mensonges permanents, menaçants et narquois comme un sournois filet au-dessus de nous, un soleil trompeur dans le filet.
• SHOPPING (1993)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Sans aucun intérêt, bruyant et brouillon, une oeuvre insipide.
• COLETTE (1951)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Une sympathique curiosité !
• L'ORGUE (1964)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  A travers l'opposition larvée entre les deux organistes, Stefan Uher tente de cerner la problématique de la musique sacrée, voire de l'art en général, face à la foi et à l'humanité tourmentée. Illustrant son propos sur un fond historique et scénaristique marqué par le conflit de la Seconde Guerre Mondiale, il s'avère que parfois son propos se disperse et s'amenuise dans une dramaturgie fantomatique où les intérêts des uns brouillent les motivations des autres, avec sans cesse en finitude, la médiocrité, la convoitise et la mort en filigrane ou en évidence...
• LE MAITRE DES ILLUSIONS (1995)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Excellents trucages pour un ensemble cohérent par rapport à l'oeuvre du réalisateur / écrivain, souvent fort plaisante, voire séduisante.
• LA NUIT DES TRAQUÉES (1980)
  Critique CF

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  Note : 12/20

  Un sujet en radium, malheureusement galvaudé.
• CE QUE CHAT VEUT (1955)
  Critique CF

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  Note : 13/20

  Petite comédie britannique typique des années 50, qui se regarde sans aucun déplaisir.
• FILLES EN CAVALE (1974)
  Critique CF

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  Note : 8/20

  Plutôt supérieur aux standards des films de sexploitation grâce à une prise de vue intéressante et à la participation d'Ed Wood en tant qu'acteur et scénariste.

Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)