Un solide et perturbant constat, froid et lucide, sur l'absurdité manifeste d'une justice extrémiste dans sa peine et forcément parcellaire dans sa vérité.
Un nouvel "épisode" après le succès commercial des "Aventuriers de l'Arche Perdue" et qui, malgré son sympathique coté "bande-dessinée", manque tout de même d'épaisseur et de consistance.
Un cinéaste fort méconnu dans la galaxie du Septième Art, (six réalisations) pour une oeuvre plus qu'honorable où Steve Mac Queen fait une petite apparition.
Misogyne, misanthrope, grinçante, dérisoire, une oeuvre surtout décevante par son manque de rigueur et son incroyable dispersion. Dino Risi nous avait habitué à mieux.
Une somptueuse reconstitution d'une époque fort barbare, pour une histoire somme toute classique, par un metteur en scène batave des plus intéressants.
Excellent film noir français qui deviendra une intéressante référence, dans une vingtaine d'années, de ce qui se faisait de bien, dans le genre, début des années 1990.
Entre "documentaire" et trame fictionnelle, une oeuvre proche du "cinéma-vérité" au ton léger et badin, qui mérite amplement une nouvelle redécouverte.
Une oeuvre nipponne étonnante et forte, d'une violence sourde et permanente où jaillit une sensualité panthéiste hors du commun, troublante et dérangeante.
Mené de main de maître, ce film pose avec acuité l'inévitable problème de conscience inhérent aux codes de la confession, entre transfert, pardon et silence.
Dédiée à sa mère, cette oeuvre, quel que soit son intérêt par ailleurs, manque de cette distanciation habituelle qui donnait aux films de Vecchiali leur universalité.