Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 39 films notés

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  • DONNEZ-LUI UNE CHANCE (1953)
    Une comédie musicale fort entraînante, un rythme des plus soutenu, font de cet oeuvre, un spectacle éblouissant, une habitude bienvenue chez Stanley Donen.
  • MARATHON MAN (1976)
    Note : 15/20
    Une œuvre bienvenue avec quelques acteurs au meilleur de leur forme qui confirment leur fort potentiel dans une interprétation inspirée et souvent de qualité.
  • HOMEBOY (1987)
    Note : 3/20
    Mélo insupportable où s'accumulent les invraisemblances et les scènes gratuites. Des abus de flous et de ralentis dans une atmosphère transpirant le faux romantisme et les poncifs du genre, avec un Mickey Rourke chargeant son personnage à outrance.
  • LA BEAUTE DU DIABLE (1950)
    Note : 16/20
    Intemporel classique du cinéma français, sous-tendu par l'éternel mythe faustien, avec l'inoubliable interprétation du duo maléfique Michel Simon / Gérard Philipe.
  • LES BIDASSES EN VADROUILLE (1978)
    Inéluctablement les films de cette médiocre série alignent la bêtise codifiée et la lourdeur pachydermique, avec une constance qui frise la débilité.
  • LE MARIAGE (1969)
    Note : 6/20
    Une amère déception.
  • LE CABINET DU DOCTEUR CALIGARI (1920)
    Note : 17/20
    Date dans l'histoire du cinéma, pour une oeuvre phare du courant expressionniste allemand en gestation, qui donnera naissance à bien des chefs-d'oeuvre.
  • LE SOUFFLE DE LA TEMPETE (1978)
    Un hymne à la nature, aux grands espaces, à la liberté qui dépasse largement les créneaux du western classique pour notre plus grand plaisir.
  • NIKI L'ENFANT TROUVE (1952)
    Note : 7/20
    Scénario creux, personnages caricaturaux, sensiblerie moralisatrice, beurk.
  • LES PROSCRITS (1918)
    Note : 18/20
    Un somptueux chef-d'oeuvre du muet traversé d'un constant souffle lyrique !
  • LA MALÉDICTION (1976)
    Note : 11/20
    Du fantastique de moyenne qualité.
  • IHR SCHÖNSTER TAG (1962)
    Note : 8/20
    Un film allemand empreint du cachet spécifique à la région de Berlin (mode de vie, accent) qui raconte sous forme de fresque sociale, le quotidien de gens simples dont l'existence tourne et retourne autour de la famille.
  • O.K. PATRON (1973)
    Essentiellement pour le couple Dutronc / Darc qui mérite notre attention.
  • LES GROS MALINS (1968)
    Note : 5/20
    C'est ainsi que le spectateur est pris quasiment pour un imbécile, lessivé devant tant de stupidités accumulées et de médiocrités rassemblées. Gros malins !
  • DEUX MINUTES DE SOLEIL EN PLUS (1987)
    D'un excellent bouquin de Francis Ryck, Gerard Vergez a tire une pale production parfaitement ininteressante.
  • LE TRÉSOR D'ARNE (1919)
    Note : 18/20
    D'une puissante dramaturgie intemporelle, mise en scène et en émotion par l'un des réalisateurs les plus marquants de l'époque, avec quelques étonnantes fulgurances fantastiques, une œuvre essentielle dans la filmographie muette du cinéma scandinave et mondial qui étonne et fascine toujours aussi durablement, même après un nième visionnement, cette fois-ci lors d'une copieuse rétrospective consacrée à l'année 1919 durant la 33e édition du festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne, en juin 2019.
  • SERPICO (1973)
    Note : 17/20
    Voilà une oeuvre en tous points, exceptionnelle : par la formidable interprétation d'Al Pacino qui crève littéralement l'écran de sa présence, par la vision quasi documentaire d'un milieu policier corrompu avec ses codes et ses règlements occultes, par la maîtrise cinématographique de Sidney Lumet, au top niveau de son talent.
  • MIRACLE SUR LA 8e RUE (1987)
    Mièvrerie et bons sentiments à la louche, à la tonne.
  • L'HISTOIRE OFFICIELLE (1984)
    Note : 15/20
    Une oeuvre hautement bouleversante !
  • UN TAXI MAUVE (1976)
    Note : 4/20
    Une oeuvre qui se veut romantico-romanesque et qui n'est qu'ennui et fadeur.
  • LE JUSTICIER BRAQUE LES DEALERS (1987)
    Du cinéma de consommation pour spectateurs en manque bronsonien uniquement.
  • SPARTACUS (1960)
    Note : 17/20
    Chef-d'oeuvre du péplum, magnifié par une superbe interprétation de Kirk Douglas.
  • LE CONTINENT DES HOMMES-POISSONS (1978)
    Note : 12/20
    Un des rares films acceptables du réalisateur.
  • 36 FILLETTE (1987)
    Note : 15/20
    Catherine Breillat prouve qu'elle a quelque chose à dire et le dit bien.
  • LA PLAGE SANGLANTE (1980)
    Note : 6/20
    Un film insignifiant au possible qui distille un ennui mortel au lieu de la crainte devant l'Innommable !
  • L'HOMME SANS FRONTIERE (1972)
    Note : 15/20
    Superbe western crépusculaire en forme de tragédie antique où Peter Fonda, réalisateur, étonne et détonne de sobriété et d'efficacité.
  • CRY FREEDOM (1987)
    Note : 13/20
    Une oeuvre courageuse, dénonciatrice d'un système politique aberrant.
  • FIEVRE (1921)
    Note : 15/20
    Entre documentaire et dramaturgie, une intéressante rareté !
  • LE DIABLE EN BOITE (1979)
    Note : 10/20
    Des moments de bravoure bienvenus, dans un ensemble plutôt moyen qui aurait pu être exploité avec plus d'équivoque et d'ambivalence scénaristiques.
  • LE CRIME DE MADAME LEXTON (1947)
    Note : 12/20
    Une histoire en soi, fort banale qui tourne inévitablement autour du triangulaire thème classique de l'amant, du mari, et de la maitresse. Reste un excellent travail sur la lumière !
  • LACOMBE LUCIEN (1973)
    Note : 15/20
    Une oeuvre qui défraya la critique de l'époque (il ne faut pas toucher en France à la période Résistance/ Collaboration, sans éveiller des blessures / meurtrissures inavouables) qui analyse avec réalisme l'ambiguïté de l'engagement de certains Français dans un camp ou l'autre, quelquefois tardif.
  • LA RÉVÉLATION DE L'ANNEE (1955)
    Note : 14/20
    Une sympathique curiosité, avec un John Wayne, dans le rôle d'un journaliste.
  • LES COLLINES DE LA TERREUR (1972)
    Note : 12/20
    Michael Winner / Charles Bronson, avant leur longue et ambivalente saga citadine, pour une oeuvre honnête et distrayante, sans plus.
  • FAIS TA PRIERE TOM DOOLEY (1959)
    Une excellente oeuvre dramatique !
  • LE TRIPORTEUR (1957)
    Note : 12/20
    Certainement un des meilleurs rôles de Darry Cowl.
  • TANTE ZITA (1967)
    Note : 15/20
    Film d'une tendresse extrême entre nostalgie diffuse et cruelles réalités.
  • LE DERNIER SOUFFLE (1978)
    Note : 10/20
    Ruggero Déodato et le mélo : çà nous change de la médiocrité de ses films gore.
  • LE MOMENT DE VERITE (1984)
    Note : 14/20
    Un vrai plaisir de petit film entre humour, fraîcheur et tendresse !
  • KOYAANISQATSI (1982)
    Note : 15/20
    Première partie d'une trilogie, un film "documentaire" inoubliable et "planant".
  • LA MINUTE DE VÉRITÉ (1952)
    Sur le mode du flash-back, une oeuvre pessimiste et quelque peu mélodramatique. Le rôle de Daniel Gélin est tenu par Walter Chiari dans la version italienne.
  • POWAQQATSI (1986)
    Note : 15/20
    Souvent remarquable !
  • COURS APRES MOI SHERIF (1977)
    Note : 11/20
    Agréable moment de divertissement où l'action prime toute autre considération.
  • EDOUARD ET CAROLINE (1950)
    Note : 16/20
    Le cinéaste avec son élégance et sa légèreté coutumières, peint le doux badinage de ses jeunes tourtereaux, interprétés avec panache par Daniel Gélin et Anne Vernon.
  • LA MAIN DU DIABLE (1942)
    Note : 16/20
    Du fantastique plaisant avec une superbe interprétation de Pierre Fresnay d'un personnage tourmenté, issu d'une étrange nouvelle de Gérard de Nerval.
  • VIOL ET CHATIMENT (1976)
    Une oeuvre sans réel intérêt, qui se voudrait dénonciatrice, mais qui ne reste que démonstrative dans la présentation d'un crime odieux.
  • L'OBSESSION (1933)
    Note : 14/20
    Surtout pour l'incontournable Charles Vanel !
  • CASIMIR (1950)
    Note : 7/20
    Rien à retenir de cette oeuvre lourde, bavarde et ennuyeuse.
  • TIR GROUPE (1982)
    Note : 8/20
    Un maigre premier film qui prône une ambivalente justice individuelle.
  • TIREZ SUR LE PIANISTE (1960)
    Note : 9/20
    Une oeuvre qui se veut un hommage aux films noirs américains que François Truffaut vénérait d'une façon inconditionnelle, qui ne fut jamais à la hauteur de son ambition et a pris un indécrottable coup de vieillesse.
  • LA TRIPLE MORT DU TROISIÈME PERSONNAGE (1980)
    Un film solide et complexe qui pose avec lucidité le problème de l'émigré politique, du rôle de l'écrivain et de la "bonne conscience" du monde "extérieur".