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HOMEBOY-1987-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Homeboy
Durée : 1h56
Date de sortie en France : 24/08/1988
Genre : DRAME
Themes
Alcoolisme et autres beuveries
- cinéma américain -
Boxe
- cinéma américain -
Réalisation : Michael SERESIN
Prise de vues : Gale TATTERSALL
Distributeur : Capital Cinéma
Visa d'exp. : 68634
Résumé
Johnny Walker, boxeur à la dérive, entre alcoolisme prégnant et nonchalance désabusée, tente de refaire surface, dans un match l'opposant à un challenger pour un titre mondial. Son errance le conduit à côtoyer un gangster minable et une douce jeune fille, propriétaire d'un manège de poneys et de chevaux de bois.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 3/20
Mélo insupportable où s'accumulent les invraisemblances et les scènes gratuites. Des abus de flous et de ralentis dans une atmosphère transpirant le faux romantisme et les poncifs du genre, avec un Mickey Rourke chargeant son personnage à outrance.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Mickey est fatigant; Seul Walken tire son épingle du jeu, c'est un acteur sans limite, sa sensibilité lui permet de tout jouer.
Moi j'ai a d o r é avec "Barfly" et "L'année du dragon" c'est l'un de ses meilleurs films. Quoiqu'un peu "spécial" j'ai aimé ce film et la performance de Mickey est loin d'être égale sans adorer, J'aime.
inconnu(e)
Très déçu par ce film, il n'y a rien, même l'histoire n'accroche pas, même comme moi, les fans de Rourke risquent fort d'être déçus. Rourke en "macadam cow-boy" du ring arrive à nous émouvoir pendant dix minutes du film et à nous agacer le reste durant en cabotinant a outrance entre grimaces, rictus et raideurs ... Qu'on m'explique ce que vient faire dans ce film, l'épisode du cambriolage des chambres d'hôtels, le couple pressé de fornication et bien d'autres scènes faisant office de remplissage. Une superbe rature ...
Suffirait-il de mettre une citation d'Aristote sur "l'homme et la femme", quelques propos pseudo-intellectuels sur les dinosaures, des ralentis sur une plage et un manège de chevaux de bois agrémentés de la présence de Mickey Rourke, sincère mais insupportable, pour berner ou leurrer ainsi les prétendus critiques de cinéma qui parlent sans pouffer ni rougir, de chef-d'œuvre ou d'excellente réalisation (août 88).
Des histoires d'anti-héros, Mickey Rourke, çà le connait ... à chaque fois, il en fait des tonnes, coté interprétation -dans les excès, il laisse bien loin derrière les plus fidèles de la méthode. A ses cotés, il faut cependant remarquer un Christopher Walken étonnant ... mais là ou le film pèche le plus, c'est par le manque de rythme, le défaut de punch. Heureusement que la réalisation se rattrape par des images absolument superbes, d'une très grande pureté nocturne. Ah ! la nuit...
inconnu(e)
Film rasoir par excellence, dépourvu d'intérêt. Mickey est toujours aussi exaspérant. Seul Christopher Walken parvient a prouvé qu'il est comme à l'accoutumée, un excellent acteur.
signature non-référencée
Le visage ensanglanté, le nez cassé, la mâchoire défoncée, Mickey Rourke sourit à la foule qui le hue ... Clapton, profond, entame un solo. "Homeboy", une crise cardiaque, un arrêt du coeur, un envol de l'âme, un nettoyage des tripes, une claque dans la gueule, "homeboy", comment oublier ton visage? Le rourkien.
Bibliographie