Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 35 films notés

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  • JUSTE AVANT LA NUIT (1970)
    Note : 10/20
    Encore une dramatique "bourgeoise" version Chabrol, qui malgré de lourdes invraisemblances psychologiques, arrive tout de même à retraduire le sordide climat de suffisance et de lâcheté d'une sphère sociale en putréfaction et sans cesse renaissante.
  • L'INFERNALE POURSUITE (1956)
    Cinemascope / Technicolor pour une oeuvre scrupuleusement reconstituee qui se regarde avec un certain plaisir.
  • CUL ET CHEMISE (1979)
    Note : 12/20
    Treizième association du duo Hill / Spencer, pour une oeuvre distrayante, souvent drôle et sans prétention.
  • NADA (1973)
    Note : 7/20
    Amalgame douteux et fantaisiste, sans aucune consistance politique, pour une œuvre fort irritante, souvent grand-guignolesque et pitoyable.
  • LA TRAHISON DU CAPITAINE PORTER (1953)
    Un bon spectacle fort bien équilibré entre affrontements épiques et cruciaux problèmes de conscience, par un réalisateur bienvenu.
  • LE JOUR DU DAUPHIN (1973)
    Note : 9/20
    Film d'aventures pimenté d'espionnage manquant de punch et de dynamisme, malgré un scénario hautement plausible dans l'utilisation de ses sympathiques mammifères aquatiques à des fins destructeurs. Somme toute une déception concernant Mike Nichols, plus à l'aise dans les "plongées" psychologiques.
  • VIOLETTE NOZIÈRE (1977)
    Note : 11/20
    Une exceptionnelle interprétation d'Isabelle Huppert, c'est tout et c'est peu !
  • DROWNING BY NUMBERS (1987)
    Note : 15/20
    Sur les étonnants thèmes du jeu, du chiffre, de la mort violente et de la comptabilité absolue (la perfection des nombres de 1 à 100), une oeuvre souvent fascinante.
  • BUFFALO BILL ET LES INDIENS (1975)
    Note : 14/20
    D'un accès difficile pour un public guère habitué à ce genre de traitement de déconstruction, le film complète la démarche dénonciatrice d'un Altman, toujours aussi présent dans le dévoilement des aliénations de notre société. Certaines scènes ne sont pourtant pas toujours à la hauteur de la démarche.
  • LE SANG DES AUTRES (1983)
    Oeuvre des plus mineures dans la filmographie de Claude Chabrol, décidément en dents de scie, avec de plus en plus de copieuses médiocrités.
  • COME PERDERE UNA MOGLIE E TROVARE UN'AMANTE (1978)
    Note : 9/20
    Un peu d'humour souvent trop téléguidé et mal maîtrisé pour une oeuvre sans réel dynamisme, tournée par un cinéaste irrégulier dans la qualité et l'originalité.
  • DELUGE SUR LA VILLE (1976)
    Note : 9/20
    Scénario archi-classique avec ses éternels personnages archétypaux pour un film fort quelconque voire ennuyeux.
  • MASQUES (1986)
    Note : 11/20
    Un scénario certes cousu de fil blanc, mais peu importe, la prestation et la décontraction des acteurs valent à elles seules le déplacement. Une oeuvre de maturité de Claude Chabrol qui nous étonnera toujours.
  • DES MONSTRES ATTAQUENT LA VILLE (1954)
    Note : 17/20
    Un des fleurons du cinéma fantastique qui reste une oeuvre grave et profonde sur l'évident danger des possibles mutations radioactives.
  • BLACK SUNDAY (1977)
    Note : 12/20
    Intéressant film d'action où le (véritable) problème politique est en partie occulté.
  • SOLEIL DE NUIT (1985)
    Note : 7/20
    Une oeuvre décevante, malgré certaines rares scènes réussies !
  • SCORPIO RISING (1967)
    Note : 15/20
    Un genre, une époque.
  • CE MERVEILLEUX AUTOMNE (1968)
    Note : 14/20
    Sur fond transalpin d'une suave éducation érotico-sentimentale, avec une vision incisive sur le milieu bourgeois, le cinéaste excelle à nouveau dans cette direction.
  • MAD MAX (1979)
    Note : 16/20
    Film "phénomène" qui atteste de la vigueur du cinéma australien et qui reste un étonnant spectacle que le cinéaste prolongera avec plus ou moins de réussite.
  • LES LIAISONS DANGEREUSES 1960 (1959)
    Note : 14/20
    Une adaptation "moderne" de Choderlos de Laclos qui fit scandale, à l'époque de sa diffusion en salles, et qui passe aujourd'hui dans les ciné-clubs paroissiaux.
    Autre temps, autres mœurs, autre cinéphilie.
  • L'OMBRE D'UN GÉANT (1966)
    Fresque pseudo-historique bien décevante où la plupart des personnages sont plus que stéréotypés et souvent sans réelle dimension humaine ou politique.
  • MAD MAX 3 (1985)
    Note : 13/20
    Original et aventurier au possible !
  • NOUS SOMMES TOUS DES ASSASSINS (1952)
    Note : 15/20
    L'époque bénie où André Cayatte savait encore filmer et défendre une (vraie) cause, avec un étonnant Mouloudji et une intéressante réflexion sur la peine de mort, pour une oeuvre fort justement primée par le Prix Spécial du Jury à Cannes en 1952.
  • ALFIE LE DRAGUEUR (1965)
    Note : 12/20
    Intéressante, mais inégale description du quotidien d'un séducteur moderne.
  • ROCKY 4 (1985)
    Une oeuvre somme toute inintéressante par son manichéisme pachydermique.
  • EGON SCHIELE ENFER ET PASSION (1980)
    La réputation du peintre, considéré comme le "père de l'expressionnisme" ne trouve pas son relief dans ce film. Une biographie bancale et plutôt médiocre.
  • SANS MOBILE APPARENT (1971)
    Note : 13/20
    Un film comme on les aime. D'une époque où Philippe Labro savait tourner.
  • RECHERCHE SUSAN DESESPEREMENT (1985)
    Note : 13/20
    Deuxième long métrage de la réalisatrice qui rappelle quelquefois l'humour inoubliable des merveilleuses comédies américaines d'antan. Un succès commercial justifié qui mérite toute notre attention.
  • LE SURVIVANT DES MONTS LOINTAINS (1957)
    Pour le plaisir de retrouver James Stewart et une pléiade d'autres acteurs.
  • ON CONTINUE A L'APPELER TRINITA (1971)
    Sans prétention, quelquefois drôle, un produit de consommation quelconque.
  • SAVANNAH LA BALLADE (1987)
    Note : 15/20
    Une oeuvre toute de tendresse qui flirte avec un certain romantisme mélodramatique, et le fait bien pour notre plus grand contentement.
  • LA PANTHÈRE ROSE (1963)
    Note : 14/20
    Une oeuvre au fort succès populaire qui fit quelques "petits", mais dont l'humour a peut-être été légèrement surévalué. Quelques scènes délirantes, pourtant.
  • GIGOLO (1978)
    Note : 8/20
    Triste et inutile !
  • UNE SECRETAIRE A LA PAGE (1953)
    Note : 7/20
    De "grandes" stars allemandes des années 1950 mènent avec allégresse le jeu d'un film entrecoupé de moult chansons diverses. Scénario romantique, genre "conte de fée" où une "Cendrillon" séduit un "Barbe-Bleu".
  • DAVID GOLDER (1930)
    Note : 14/20
    Exceptionnelle composition du grand Harry Baur, dans une oeuvre fort pessimiste, aux accents souvent paroxysmiques, avec d'impressionnants relents de désespoir.
  • ABATTOIR 5 (1972)
    Note : 16/20
    Adaptée d'un remarquable roman de science-fiction, cette transposition cinématographique respecte l'esprit et la tonalité de l'oeuvre littéraire, dans son incisive dénonciation de la violence, qu'elle soit physique et légitimée, comme en temps de guerre, insidieuse et souterraine, avec ses rigoureux codes sociétaux et ses pesantes obligations sociales. L'échappatoire proposée, (le rêve et la folie) donne, quelques soient les strates de lecture auxquelles on se réfère, une vision morose voire désespérée de la nature humaine, percluse dans son inhérente médiocrité ou son asservissement à des forces qui la dépassent complètement.
  • LE VAMPIRE DE FERAT (1981)
    Note : 15/20
    Sur le thème du vampirisme, une diatribe originale sur l'emprise de la technologie dans le comportement social. Omniprésence de la voiture comme symbole et nécessite absolue. Un clin d'œil acerbe sur notre civilisation. Excellent !
  • MONSIEUR MOTO EN ORIENT (1939)
    Note : 14/20
    Un festival Peter Lorre qui s'amuse et nous amuse avec humour et décontraction !
  • L'INVITATION (1951)
    Note : 10/20
    Une "Love Story" à l'ancienne, entre mélo et trémolo qui plaît ou indispose.
  • CREATURE (1984)
    Un sous-produit d'Alien qui joue sur les effets de "gore" à outrance et qui malgré un délire de tripes sanguinollentes et morbides ne vaut pas tripette.
  • DAVY CROCKETT ET LES PIRATES (1956)
    Film plein d'humour et de décontraction illustrant avec sympathie une nouvelle aventure du grand héros de l'Ouest américain, chapeauté par les studios Disney.
  • L'OEIL DU MONOCLE (1962)
    Note : 14/20
    Pour retrouver Paul Meurisse.
  • DAS SCHRECKLICHE MÄDCHEN (1990)
    Note : 14/20
    Sur un sujet hautement tabou, Michael Verhoeven nous propose une oeuvre dynamique, pétulante et d'une rageuse dénonciation fort édifiante sur l'époque.
  • LE FIDELE VAGABOND (1957)
    Production Walt Disney fort émouvante qui réjouira pleinement petits et grands.
  • UN PEU DE SOLEIL DANS L'EAU FROIDE (1971)
    Une oeuvre décevante dans la filmographie en dents de scie de Jacques Deray qui désillusionne plus qu'il n'enchante, malgré la présence de quelques acteurs émergents.
  • THE KITCHEN TOTO (1987)
    Note : 11/20
    Honnête, sérieux, mais sans dynamisme.
  • LE BOURREAU DU NEVADA (1959)
    Problème de conscience entre justice et délation, innocence et morale, un western psychologique d'une profonde densité émotionnelle.
  • LES BORSALINI (1979)
    Les poncifs habituels du genre avec son éternel cortège de gags les uns plus vulgaires que les autres, de la première à la dernière minute.
  • LE PATRIOTE (1938)
    Formidable Harry Baur !
  • DU ROUGE POUR UN TRUAND (1979)
    Note : 8/20
    Le scénario est touffu et quelque peu désordonné : la séquence sociale, les maisons closes, les gangsters et l'évocation de la mafia. Les situations sont poussées à leur paroxysme, et la mise en scène a un goût de déjà vu.