Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 38 films notés

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  • LES AVENTURES DE TILL L'ESPIÈGLE (1956)
    Note : 13/20
    Seule réalisation du grand acteur, qui mérite notre curiosité.
  • L'ORCHIDÉE SAUVAGE (1989)
    Note : 7/20
    Oeuvre de pacotille, jouant lourdement sur un érotisme soft, avec un Mickey Rourke sans intérêt et sans relief, comme souvent à son habitude. De même Zalman King végète dans une constante et solide médiocrité répétitive.
  • LES MISTONS (1957)
    Note : 15/20
    Bienvenu court métrage tourné en seize millimètres, d'une sensibilité remarquable, une oeuvre fraîche, souriante, aérienne.
  • JEU DE GUERRE (1988)
    Note : 14/20
    Sympathique mais trop demonstratif.
  • L'ENFANT SAUVAGE (1969)
    Note : 10/20
    Pas de quoi s'emballer.
  • DÉLIT D'INNOCENCE (1989)
    Note : 11/20
    Malgré un excellent travail du réalisateur Peter Yates, qui connait parfaitement son métier, le film manque souvent de souffle, de densité et de crédibilité.
  • DOMICILE CONJUGAL (1970)
    Note : 12/20
    Film "truffalien" par excellence, sympathique, mais qu'on oublie bien vite.
  • FEU SUR LE CANDIDAT (1990)
    Pour revoir à la limite quelques seconds rôles du cinéma héxagonal souvent égarés dans des films de ce genre.
  • L'ARGENT DE POCHE (1975)
    Note : 11/20
    Bof, on n'en redemande pas !
  • FRANCESCO (1988)
    Cette œuvre longtemps inédite ne méritait pas une distribution dans l'Hexagone.
  • LA CHAMBRE VERTE (1978)
    Note : 8/20
    Un sujet des plus intéressants que François Truffaut, acteur et réalisateur, n'arrive jamais à rendre passionnant. C'est en effet mortellement insipide et fort mal interprété.
  • LA NURSE (1990)
    Note : 7/20
    Hormis quelques scènes de terreur domestique, le film manque de rigueur et verse maladroitement dans le gore facile. Une déception d'un cinéaste quelquefois surestimé.
  • LA POINTE-COURTE (1955)
    Note : 14/20
    Premier long métrage d'Agnès Varda qui révèle déjà une forte personnalité.
  • LES GAULOISES BLEUES (1967)
    Note : 11/20
    Seul long métrage du réalisateur, qui enthousiasme ou exaspère.
  • ZAZIE DANS LE MÉTRO (1960)
    Note : 15/20
    Une Catherine Demongeot étonnante de verve et de spontanéité dans un film à la bonne humeur souvent débordante qui honore l'esprit fantasque de Raymond Queneau.
  • LE STUDIO TRAGIQUE (1929)
    Excellente prestation de Florence Eldridge dans cette agréable comédie policière.
  • TOUT L'OR DU MONDE (1961)
    Note : 9/20
    Triple rôle pour le sympathique Bourvil dans une œuvre vraiment pâle, d'un René Clair finissant, désormais reconverti dans l'alimentaire et la survie cinématographique.
  • JEALOUSY (1929)
    Une exceptionnelle prestation de Jeanne Eagels.
  • BALLADE POUR UN VOYOU (1962)
    Note : 15/20
    Excellent polar français, un peu maniéré et terriblement envoûtant.
  • L'AFFAIRE MATTEI (1971)
    Note : 16/20
    Film politique qui s'interroge sur le fonctionnement de la démocratie et la morale des affaires. Oeuvre de réflexion rigoureuse et un questionnement sur notre époque.
  • CYRANO ET D'ARTAGNAN (1962)
    Note : 15/20
    Dernière oeuvre d'Abel Gance, qui eut à souffrir de nombreuses coupures.
  • MAHLER (1974)
    Note : 11/20
    Une œuvre fort controversée dès sa présentation au festival de Cannes 1974 où elle obtint le Grand Prix Technique drainant ses inconditionnels thuriféraires qui voyaient une osmose parfaite entre les tourments existentiels de Gustav Mahler et la folie baroque d'un Ken Russell fortement inspiré par ce personnage hors normes. Pour notre part, nous resterons plus réservé dans notre perception, partagé entre quelques somptueuses scènes lyriques et d'autres séquences lestées d'un mauvais goût quelquefois inutiles et douteux. Toujours est-il que le détour cinématographe s'impose et qu'il faut absolument mettre au crédit de l'œuvre, l'évidente qualité de l'interprétation des principaux acteurs qui semblent souvent sublimer leurs rôles respectifs.
  • LES COPAINS (1964)
    Note : 14/20
    Sympathique ambiance anarcho-libertaire, fustigeant nos deux obscénités sociales, l'église et l'armée, dans cette oeuvre bon enfant, bienvenue et salutaire.
  • LES LARMES AMERES DE PETRA VON KANT (1971)
    Note : 16/20
    Ce drame individuel sert de révélateur à la grande thématique de la décadence, chère au cinéaste allemand Rainer Werner Fassbinder. Un film passionnant nous emmenant dans un monde étouffant et maniéré.
  • QUI ETES-VOUS POLLY MAGGOO ? (1966)
    Bien avant l'étouffant star-système des top-models, une efficace et brillante satire d'un milieu hyper-fermé et puissamment codifié.
  • LE BOSS (1973)
    Réalisé avec efficacité, un film rapide et sans bavures. Les rapports sont très étudiés sur le plan psychologique. A noter la démarche de mettre l'accent sur la complicité entre police, mafia et politiciens.
  • LA GUERRE DE MURPHY (1971)
    Une oeuvre sans aucun intérêt d'un metteur en scène brouillon et souvent sans grande inspiration. On peu se demander ce que Noiret est venu faire dans cette galère, certainement le plaisir et le dépaysement de tourner au Venezuela.
  • L'ILE MYSTERIEUSE (1972)
    S'agissant d'un condensé du téléfilm à épisodes, dont le métrage au moins quatre fois supérieur, a été programmé pour les fêtes de fin d'année à l'ORTF, il est délicat de parler de cette œuvre caduque et tronquée. Il faut néanmoins louer le courage des réalisateurs qui se sont attaqués à "L'île mystérieuse".
  • LA MANDARINE (1971)
    Note : 7/20
    Comédie quelconque, pleine de lourdeurs et d'épuisement, avec le "tank" Girardot et un Philippe Noiret égaré. Oeuvre parmi les plus insignifiantes d'Edouard Molinaro.
  • L'ÎLE AU TRÉSOR (1972)
    Le récit très vivant et aventureux n'est pas mis en valeur dans toute sa richesse. Même Orson Welles est médiocrement utilisé. Oeuvre d'une platitude générale qui est une adaptation de plus du célèbre roman qui ne s'imposait pas.
  • LE JEU AVEC LE FEU (1974)
    Exercice de style, quelquefois brillant, qui mélange allègrement les genres cinématographiques, pour notre plus grand bonheur.
  • LE MAITRE ET MARGUERITE (1972)
    Note : 15/20
    Une fort originale et intelligente critique d'un univers politique sur fond de fantastique. Le seul reproche de ce spectacle, auquel on prend un vif plaisir est l'interprétation un peu décevante du grand Ugo Tognazzi, qui assume plutôt mal son gigantesque et difficile rôle. Reste une honnête et courageuse adaptation de l'incontournable chef-d'oeuvre littéraire concocté par Mikhail Boulgakov.
  • LE TÉMOIN (1978)
    Note : 14/20
    Mocky dans sa période faste et positive, pour une oeuvre d'une méchanceté et d'une drôlerie souvent irrésistibles qui se regarde avec une réelle délectation.
  • FINI DE RIRE (1951)
    Note : 11/20
    Commencé par John Farrow, puis achevé par Richard Fleischer, avec aussi aux commandes Howard Hughes, un film plutôt confus, mais non dénué d'intérêt, qui se regarde nonchalamment, à défaut d'un peu mieux.
  • LES LOIS DE L'HOSPITALITÉ (1923)
    Note : 16/20
    Buster Keaton reste inoubliable !
  • A L'OMBRE DES POTENCES (1955)
    Note : 12/20
    Une oeuvre somme toute mineure du grand Nicholas Ray !
  • COEUR DE LILAS (1931)
    Note : 14/20
    Avec quelques bienvenus passages chantés (par Gabin, Fréhel, Luguet et Fernandel) souvent obligés dans les productions de l'époque dynamisées par l'arrivée du parlant, le film tisse tout au long d'une intrigue évanescente et lapidaire, un semblant de documentaire fort intéressant sur la capitale et ses environs, des Halles en passant par les guinguettes de la Marne, partagé entre une histoire policière et une intrigue sentimentale, avec en contrepoint l'affolante présence de Marcelle Romée qui décida de nous quitter, après une filmographie qui se résume à seulement quatre apparition au cinéma, pour se noyer dans les fatales eaux de la Seine.
  • CHILD OF DIVORCE (1946)
    Note : 11/20
    Premier long métrage réalisé par Richard Fleischer, (son préféré selon ses propres dires) qui pour nous est plutôt fastidieux à suivre, tant le comportement et le dialogue de la petite fille sonnent emprunté et faux, non pas dans son signifiant, sa pertinence, mais dans l'utilisation d'un raisonnement trop élaboré, de mots trop sophistiqués qui transpirent la logique de l'adulte et non pas l'immaturité et la méconnaissance enfantines, faisant perdre à l'histoire une crédibilité pourtant nécessaire.
  • COEURS JOYEUX (1931)
    Note : 13/20
    Gentil, léger et bienvenu !
  • GRAN CASINO (1946)
    Note : 11/20
    On n'en gardera pas un souvenir impérissable !
  • LA BELLE MARINIERE (1932)
    "Du cinéma tout simple avec des canaux, des arbres, des écluses,
    des ponts, des cheminées d'usine" .....
                                                           (d'après René Bizet).
  • BODYGUARD (1948)
    Note : 13/20
    Petit film noir sans prétention, mais non sans intérêt ni élégance, dans lequel Richard Fleischer, dont c'est seulement le troisième long métrage, commence à faire ses gammes et ses plans avec une parfaite assurance.
  • MARIA CHAPDELAINE (1934)
    Note : 14/20
    Une oeuvre importante et classique dans la longue filmographie de Julien Duvivier, que le metteur en scène canadien Gilles Carle a reprise avec moins de bonheur.
  • LE PIGEON D'ARGILE (1949)
    Note : 12/20
    On est encore loin de la maîtrise affichée par le metteur en scène, dans ses réalisations ultérieures, mais qui s'affine de film en film.
  • LA PENICHE DE L'AMOUR (1942)
    Premier film américain de Jean Gabin qui mérite la traversée.
  • TRISTANA (1970)
    Note : 14/20
    Une excellente prestation de Catherine Deneuve, dans une oeuvre moyenne du grand maître, ayant perdu, quelque peu, de sa légendaire fulgurance.
  • TIRE-AU-FLANC (1928)
    Note : 14/20
    Comique troupier fort réjouissant, émaillé de jolies trouvailles de mise en scène.
  • LA JEUNE FILLE (1960)
    Note : 14/20
    Un Bunuel mineur.
  • WATCHERS (1988)
    Note : 7/20
    Fort décevant quand on connait le livre dont est adapté le film.
  • LE RIO DE LA MORT (1954)
    Note : 13/20
    On est bien sûr loin des virulentes dénonciations futures du réalisateur, mais l'ensemble est loin d'être déplaisant avec son coté souvent à la limite du documentaire.