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L'ORCHIDEE SAUVAGE-1989-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Wild orchid
Durée : 1h40
Date de sortie en France : 11/07/1990
Genre : ÉROTIQUE
Réalisation : Zalman KING
Prise de vues : Gale TATTERSALL
Musique : Geoff MAC CORMACK
Produit par Mark DAMON
Distributeur : Deal / UGC
Visa d'exp. : 73908
Résumé
Sur fond de nuits brésiliennes bigarrées et moites, une histoire passionnelle et pseudo-désespérée entre deux personnes que tout sépare. D'un coté, une spécialiste en droit financier, une certaine Emily Reed, tentant de négocier un important contrat immobilier et de l'autre, un séduisant dandy, James Wheeler, qui l'entraîne dans de puissants et torrides jeux érotiques de domination / séduction.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 7/20
Oeuvre de pacotille, jouant lourdement sur un érotisme soft, avec un Mickey Rourke sans intérêt et sans relief, comme souvent à son habitude. De même Zalman King végète dans une constante et solide médiocrité répétitive.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Le sentiment qui ressort de ce film décevant au possible est l'impression qu'une fois encore Mickey Rourke est employé en dessous de ses possibilités qui sont celles d'un acteur de la valeur d'un de Niro ou d'un Dustin Hoffman. Il est décidément incroyable qu'il persiste à se fourvoyer dans de tels navets quand il pourrait -mais est-ce possible pour lui à Hollywood, - choisir des rôles qui lui fassent employer a cent pour cent son énorme talent d'acteur... Décevant donc et vraiment un gros sentiment de gâchis. Mais on garde espoir, peut-être un jour trouvera t'il un rôle à sa dimension .
inconnu(e)
Je pense que ce film complète "9 semaines et demie" dans le sens que ce dernier s'occupe du coté physique, de la peur du sentiment, tandis que celui-ci ne chasse pas le sentiment, mais souligne l'angoisse du physique.
L'érotisme nouveau est arrivé, et il n'apporte vraiment rien de neuf. Les recettes sont connues, et Zalman King en fait usage en vieux roublard, sans subtilité et enveloppées dans une esthétique clip et à la sauce brésilienne. (naguère, ce fut la thaïlandaise. ). Il ne manque que la soca dance. Quant aux "acteurs", Mickey Rourke semble presque gêné d'avoir à passer par là pour redorer son box office, Jacqueline Bisset joue les utilités et Caree Otis n'est vraiment pas partie pour décrocher l'Oscar. On ne peut que conseiller l'abstinence.
Bibliographie