Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 40 films notés

Page 224 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LES AVENTURES DE ROBINSON CRUSOE (1952)
    Note : 12/20
    Plaisante, quelquefois humoristique, une oeuvre somme toute honnête.
  • L'ADIEU AU ROI (1987)
    Une oeuvre inégale qui n'arrive jamais à trouver un souffle épique.
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (7) (1960)
    Note : 12/20
    Christian-Jaque est un bon tâcheron de la cinématographie français, rien de plus.
  • LA MONTEE AU CIEL (1951)
    Note : 14/20
    Entre humour et fantaisie, une oeuvre d'une grâce nonchalante.
  • L'ASSASSINAT DE TROTSKY (1971)
    Note : 14/20
    Une excellente oeuvre du metteur en scène Joseph Losey, véritable itinéraire vers la mort, qui respecte scrupuleusement la vérité historique.
  • LA FRANCAISE ET L'AMOUR (3) (1960)
    Note : 11/20
    Pas de quoi se pâmer d'aise !
  • JERRY SOUFFRE-DOULEUR (1964)
    Note : 17/20
    Jerry Lewis est véritablement génial et certains gags frisent l'anthologie.
  • MON PREMIER AMOUR (1955)
    Note : 8/20
    Mélodrame et "Heimatsfilm", d'une grande indigence.
  • LE TOURNOI (1929)
    Note : 13/20
    Un mélodrame historique, qui s'oubliera rapidement, parsemé de quelques longueurs dont le clou reste évidemment la fameuse scène du tournoi.
  • FAIS-MOI PEUR (1953)
    Note : 8/20
    Une comédie américaine fort poussive où Jerry Lewis, encore faire-valoir de Dean Martin, nous gratifie de quelques vagues grimaces et gesticulations salvatrices.
  • LES JEUNES ANNEES D'UNE REINE (1954)
    Note : 9/20
    Oeuvre à l'eau de rose dans la lignée de la légendaire trilogie des "Sissi" qui mélange la romance facile avec l'éternel histoire des "princes" de ce monde teinté d'un zeste de sentimentalisme, un doigté de mélodrame et des tonnes de poncifs lénifiants.
  • MEMPHIS BELLE (1990)
    Note : 14/20
    Injustement boudé lors de sa sortie, un spectacle pourtant largement divertissant dans la plus pure tradition du genre, sans aucun ennui.
  • LOOPING (1980)
    Note : 7/20
    Une oeuvre inaboutie, bavarde et fortement prétentieuse.
  • FEU D'ARTIFICE (1953)
    Oeuvre teutonne sans réel intérêt cinématographique, sinon celui de retrouver la radieuse fraîcheur de Romy Schneider et la beauté scintillante de Lilli Palmer.
  • AUX PORTES DE L'AU-DELA (1986)
    Note : 13/20
    D'excellents trucages desservis par un scénario trop linéaire et souvent maltraité.
  • LE DIABLE PROBABLEMENT (1976)
    Note : 14/20
    Une oeuvre désespérante qui présente une situation dramatique du monde, "solutionnée" par une fuite radicale pouvant aller jusqu'au néant suicidaire.
  • UN PETIT COIN DE PARADIS (1956)
    Une oeuvre d'origine allemande sans grand intérêt cinématographique qui se veut avant tout un délassement pour tous publics.
  • EXTRÊME PRÉJUDICE (1987)
    Note : 10/20
    Action et violence à la mode Peckinpah pour une oeuvre aux propos des plus ambivalents, une porte ouverte aux comportements extrêmes et fascistes.
  • MAM'ZELLE CRI-CRI (1955)
    L'exemple même du cinéma allemand des années 1950 : eau de rose sur fond pseudo historique entre mièvrerie béa(n)te et fadeur lénifiante / déculpabilisante.
  • UN SILENCIEUX AU BOUT DU CANON (1973)
    John Sturges, vétéran du film d'action, est égal à lui-même et John Wayne, malgré un empattement (re)marquant, imprime toujours de sa présence évidente, le scénario.
  • JEUNES FILLES EN UNIFORME (1958)
    Note : 11/20
    Remake du film de Léontine Sagan qui sans valoir l'original, est loin de démériter.
  • DANSE MACABRE (1967)
    Note : 8/20
    Libre adaptation du drame de Strindberg "la danse de mort" qui, malgré le grand soin apporté aux décors et la prise en compte de magnifiques paysages nordiques dans le déroulement de l'histoire, possède peu d'intérêt dramatique dans sa réalisation.
  • MADEMOISELLE ANGE (1959)
    Médiocre curiosité qui permet de retrouver le duo Schneider / Belmondo.
  • DON QUINTIN L'AMER (1951)
    Note : 12/20
    On est bien sûr fort éloigné des récurrentes "obsessions" de Don Luis Bunuel, mais l'ensemble est loin d'être inintéressant.
  • MONPTI (1957)
    Note : 10/20
    Helmut Käutner s'est par le passé montré bien plus inspiré que dans cette bluette quelconque. Reste le charme de la jolie et talentueuse débutante Romy Schneider.
  • LES HAUTS DE HURLEVENT (1953)
    Note : 14/20
    Une oeuvre rare, de la période mexicaine du cinéaste, stupidement décriée, qui renferme déjà toutes les obsessions chères au metteur en scène.
  • QUOI DE NEUF PUSSYCAT ? (1964)
    Note : 11/20
    Un des films les plus connus du cinéaste qui vaut par la présence de Peter Sellers.
  • SUSANA LA PERVERSE (1950)
    Note : 15/20
    Oeuvre somme toute intéressante de la période mexicaine du réalisateur, souvent mal accueillie par la critique de l'époque et d'ailleurs mésestimée par son propre géniteur qui avait prévu un épilogue beaucoup moins idyllique et idéologiquement bien plus déstabilisant que celui de la pseudo-harmonie familiale à nouveau retrouvée.
  • LA CALIFFA (1971)
    Note : 15/20
    Un écrivain ne s'improvise pas cinéaste et inversement. Pourtant Alberto Bevilacqua nous propose pourtant une oeuvre fort sincère, éminemment brouillonne et pulsionnelle qui reste malgré tous ses nombreuses imperfections fort séduisante de par la présence certaine de Romy Schneider plutôt étonnante, et pour la densité passionnelle, impulsive qui imprègne fortement la mise en scène.
  • LA VIE CRIMINELLE D'ARCHIBALD DE LA CRUZ (1955)
    Note : 16/20
    L'incontournable metteur en scène mexicain Luis Bunuel, dans tout l'éclat de son génie et de sa maîtrise, pour une oeuvre drôle et décapante.
  • LE TRAIN (1973)
    Note : 7/20
    A vouloir trop faire, par excès de démonstration, le metteur en scène se fourvoie lourdement dans les méandres du stéréotype et du poncif.
  • GUERRE AU CRIME (1936)
    Note : 8/20
    Une oeuvre fort pataude et plutôt quelconque, où l'on retrouve Humphrey Bogart dans le rôle d'un méchant et Edward G. Robinson, cette fois-ci, du coté de la loi.
  • PORTRAIT DE GROUPE AVEC DAME (1976)
    Note : 12/20
    Construit sur un grand nombre de scènes courtes et parcellaires que le spectateur doit faire emboîter sans cesse, une vision du destin complexe de la nation allemande.
  • LES VIKINGS (1957)
    Film à grand spectacle, réalisé sous forme de nordique saga aventurière dans laquelle la prestation du fringant Kirk Douglas est en tous points, remarquable.
  • CLAIR DE FEMME (1978)
    Note : 15/20
    Une oeuvre pessimiste, fort réussie, relativement mal accueillie à sa sortie.
  • GOOD MORNING BABYLONE (1987)
    Note : 15/20
    Les frères Taviani, toujours aussi bienvenus et pertinents.
  • TOUS LES CHEMINS MÈNENT À ROME (1948)
    Note : 8/20
    Vraiment d'une grande médiocrité, pour une oeuvre constamment inconsistante, dans laquelle même le grand Gérard Philipe devient vite insupportable et pesant.
  • HATARI ! (1962)
    Note : 11/20
    Les vrais vedettes sont ici, pour notre plus grand plaisir, les animaux.
  • JULIETTE OU LA CLEF DES SONGES (1950)
    Note : 8/20
    Un incompréhensible cauchemar cinématographique !
  • TERREUR AVEUGLE (1971)
    Note : 12/20
    On a connu Richard Fleischer bien plus inspiré dans de précédentes réalisations.
  • LA RONDE (1950)
    Note : 16/20
    Un indéniable chef-d'oeuvre !
  • L'ASSASSIN SANS VISAGE (1949)
    Note : 14/20
    Sympathique petit film noir yankee, tourné en moins de dix jours, qui permit à Richard Fleischer de peaufiner son style et de nous offrir une oeuvre de bonne facture.
  • LA REINE DU MAL (1974)
    Note : 2/20
    Nul, totalement nul !
  • LES TURLUPINS (1979)
    Premier long métrage fort sympathique et bienvenu d'un metteur en scène qui débuta au cinéma comme simple acteur, traduisant avec charme et complicité l'état adolescent et ses moult méandres affectifs et interrogatifs.
  • FANFAN LA TULIPE (1951)
    Note : 13/20
    Pour retrouver Gérard Philipe !
  • LES INCONNUS DANS LA VILLE (1955)
    Note : 13/20
    L'action sauvage et brutale du film (attaque de la banque et prise d'otages) n'est ici que le contrepoint "logique" des tensions relationnelles précitées, une sorte d'acmé qui dévoile et libère une violence trop longtemps contenue.
  • SI VERSAILLES M'ÉTAIT CONTÉ (1953)
    Une oeuvre souvent projetée en deux parties (à la télévision) avec une multitude d'acteurs connus, qui mérite une redécouverte, Sacha Guitry restant incontournable.
  • ALOUETTES LE FIL A LA PATTE (1969)
    Note : 13/20
    Un salutaire règlement de comptes !
  • LE ROUGE ET LE NOIR (1954)
    Un des rôles le plus connu de Gérard Philipe, immortel Julien Sorel.
  • CONTRE-ENQUÊTE (1990)
    Note : 13/20
    Jolie réalisation d'une surprenante ambiguïté, malgré quelques stéréotypes d'importance secondaire qu'on pardonnera évidemment au réalisateur.