Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 41 films notés

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  • AFURICA MONOGATARI (1981)
    Note : 7/20
    Dernier film interprété par James Stewart qui ne présente hélas aucun intérêt, hormis peut-être celui de splendides images d'animaux sauvages en liberté.
  • CAPTIVES À BORNEO (1950)
    Une excellente Claudette Colbert !
  • LA FEMME PERVERTIE (1985)
    Médiocrité sur toute la ligne, comme quasiment l'ensemble de l'oeuvre du cinéaste.
  • FATAL GAMES (1988)
    Note : 15/20
    Humour, noirceur, candeur et violence, dans le milieu scolaire, pour cette première oeuvre bancale, mais à la personnalité bien affirmée.
  • LA TERREUR DES MORTS-VIVANTS (1978)
    Note : 10/20
    Nous sommes loin des envolées flamboyantes du gothique britannique des années 1960 où se distinguèrent subtilement des réalisateurs comme Terence Fisher, Michael Reeves, Freddie Francis, John Gilling et quelques autres. On constate avec ironie et amertume que la relève tant attendue se laisse attendre. Il est à noter la remarquable stupidité du titre en version française accolé à ce film, où l'on est encore aujourd'hui à chercher les éventuels morts-vivants et autres zombies annoncés.
  • A DOUBLE TRANCHANT (1985)
    Note : 14/20
    Efficace thriller mené tambour battant où le suspense ne diminue guère d'intensité.
  • ROBIN DES BOIS, PRINCE DES VOLEURS (1991)
    Note : 14/20
    Faits d'armes, bravoure et bravos.
  • SPINAL TAP (1984)
    Note : 15/20
    Hilarante parodie des reportages sur le milieu rock. Original, décapant et tonique, un film qui pourrait parfois passer pour un véritable documentaire. A voir !
  • THEMES ET VARIATIONS (1928)
    Note : 15/20
    De l'excellent travail.
  • LA FETE DE MARIA (1984)
    Note : 9/20
    On s'ennuie ferme !
  • LA DAME D'ONZE HEURES (1947)
    Note : 14/20
    Une oeuvre plutôt bienvenue de par son intrigue et ses acteurs.
  • AU FIL DE L'EAU (1949)
    Note : 16/20
    Oeuvre d'une exceptionnelle noirceur, rarement distribuée, projetée sur les écrans de l'Hexagone qui reste un enchantement évident et durable.
  • LE JARDIN DES FINZI-CONTINI (1970)
    Note : 15/20
    Une oeuvre remarquablement maîtrisée.
  • LA FERME DES SEPT PÉCHÉS (1948)
    Note : 13/20
    Tout à fait intéressant !
  • A PROPOS DE NICE (1930)
    Note : 17/20
    D'une fraîcheur indéniable, pétulant, virulent, varié à l'extrême, ce moyen métrage montre tout le talent de Jean Vigo dans une somptueuse analyse globale d'un état de fait où la dramaturgie humaine se conjugue en contrepoint d'une cite vouée à l'artificiel.
  • JE N'AI PAS TUE LINCOLN (1936)
    Note : 16/20
    Un parfait exemple parmi bien d'autres du meilleur de ce que John Ford était capable : réalisation solide et interprétation sans faille.
  • JOUER C'EST TUER (1984)
    Note : 11/20
    Film de divertissement et accessoirement une sympathique surprise.
  • L'INVITATION AU VOYAGE (1927)
    Note : 16/20
    Entre séduction et rêverie, une atmosphère fort bien rendue.
  • LE JOURNAL D'UNE FILLE PERDUE (1929)
    Note : 17/20
    Une oeuvre de grande qualité, avec l'éblouissante Louise Brooks, qui eut moult problèmes avec la censure prussienne de l'époque et que l'on revoit sans déplaisir.
  • L'INCONNUE DE MONTREAL (1950)
    Une rareté à redécouvrir.
  • BLACK EMMANUELLE EN AFRIQUE (1975)
    De l'érotisme de bas étage avec un brin d'exotisme et beaucoup de clichés.
  • LA LETTRE (1940)
    Note : 15/20
    Bette Davis est toujours aussi évidente dans ses rôles de garce sublime.
  • MRS SOFFEL (1984)
    Note : 11/20
    Première oeuvre américaine d'une cinéaste australienne, ce film se voit sans déplaisir malgré l'académisme de sa réalisation, grâce aux talents de ses interprètes.
  • CYBELE OU LES DIMANCHES DE VILLE-D'AVRAY (1962)
    Note : 14/20
    Une oeuvre émouvante au possible, malgré l'insupportable Patricia Gozzi.
  • NOSFERATU LE VAMPIRE (1922)
    Note : 18/20
    Une oeuvre phare du grand courant expressionniste de l'époque !
  • MO'BETTER BLUES (1989)
    Note : 17/20
    Brillamment mise en scène, un film superbe, drle et grave qui confirme les espoirs placés en Spike Lee ainsi qu'un renouveau du cinéma noir américain.
  • SCIROCCO (1986)
    Pas de quoi fouetter un chat.
  • ARDENTE JEUNESSE (1929)
    Note : 11/20
    Comédie sentimentale au "démarrage" des plus poussifs !
  • ALERTE AU SUD (1953)
    Pour l'excellente présence d'Erich von Stroheim.
  • PROPHETIES (1989)
    Note : 6/20
    Un bric-à-brac de scènes ratées, mélangeant à tort et à travers, possession, réincarnation, religion, démonologie, miracles, horreur.
  • LE JARDIN DES DÉLICES (1970)
    Note : 16/20
    Magistrale interprétation de José Luis Lopez Vasquez dans cette œuvre d'une acerbe et cinglante acrimonie envers la bourgeoisie hispanique et le régime franquiste qui ne se sont pas leurrés sur la violente charge contre leurs institutions en interdisant in facto la projection du film durant cinq longues années.
  • MICKI ET MAUDE (1984)
    Note : 15/20
    Constamment drôle et délicate, une jolie comédie à redécouvrir à tout prix.
  • LE PHARE DU BOUT DU MONDE (1971)
    Note : 12/20
    Film d'aventures et d'action fort sympathique, pimenté de quelques étonnantes scènes sadiques et dont on retiendra la prestigieuse distribution internationale.
  • JE SAIS OÙ JE VAIS (1945)
    Note : 15/20
    Ici encore, une nouvelle fois, le réalisateur Michael Powell prouve qu'il sait, mieux que tout autre, capter la force de la nature et d'un milieu envoûtant et transcrire son action sur "une âme qui fait fausse route". Une sympathique curiosité !
  • DEUX FLICS A DOWNTOWN (1989)
    Note : 12/20
    Le film part un peu dans toutes les directions hesitant entre l'humour et une action assez realiste mais n'en reste pas moins un plaisant divertissement familial.
  • LA RIVIÈRE (1985)
    Note : 12/20
    Une oeuvre honnête, dénonciatrice de certaines manoeuvres économico-politiques.
  • SOUS LE CIEL DE PARIS (1950)
    Note : 14/20
    Duvivier, dans ses bonnes oeuvres !
  • LES SAISONS DU COEUR (1984)
    Note : 9/20
    Un drame rural souvent plébiscité par la critique et le public américains, qui n'échappe pas à la conventionnalité ni aux effets faciles.
  • AU PARADIS À COUPS DE REVOLVER (1968)
    Note : 11/20
    Simplisme et naïveté dans ce western bien conventionnel !
  • LES SORCIÈRES DE SALEM (1956)
    Note : 17/20
    Avec comme solide soubassement scénaristique, l'excellente pièce d'Arthur Miller, écrite pour dénoncer l'intolérance politique et l'ignominie morale du maccarthisme, la magnétique présence d'acteurs irradiés de conviction par leurs rôles respectifs, de percutants dialogues concoctés par Jean-Paul Sartre lui-même, on se retrouve rapidement en présence d'une œuvre magistrale, foncièrement inoubliable, longtemps invisible sur nos écrans et projetée avec bonheur au 30e festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne en juin 2016, dans une magnifique copie entièrement restaurée.
  • LE FIL DU RASOIR (1984)
    Mélodrame sans réel intérêt qui n'arrive jamais à la hauteur de la version de 1946.
  • PAROLE D'HOMME (1976)
    Note : 9/20
    Quelques scènes d'action réussies pour un ensemble fade, où le jeu des acteurs transpire le soporifique, l'inintérêt et l'alimentaire.
  • UN DIEU REBELLE (1990)
    Note : 9/20
    Un film de science-fiction plutôt fort curieux de part sa narration, se voulant une pertinente et profonde réflexion sur la place de l'homme dans l'univers qui, malgré une relative originalité scénaristique, peut ne pas valoir le déplacement.
  • LES MOISSONS DU PRINTEMPS (1984)
    Note : 11/20
    Une petite oeuvre délicate et pleine de charme, fort bien interprétée.
  • PAPERHOUSE (1988)
    Note : 15/20
    Une oeuvre étrange, quelquefois fascinante qui aborde avec un certain charme, le monde trouble de l'enfance. Fort justement primée au festival d'Avoriaz et qui devrait impérativement bénéficier enfin d'une sortie en salles.
  • L'OEUF DU SERPENT (1977)
    Note : 15/20
    Film injustement méprisé, d'une âpre beauté, saisissant de bout en bout !
  • LES DÉSEMPARÉS (1949)
    Note : 17/20
    Un superbe film noir américain, d'une extraordinaire fluidité spatiale, malgré une légion de plans resserrés, qui met en scène et en tourment toute la farouche volonté d'une femme de préserver coute que coute son univers familial et bourgeois ainsi que la salutaire prise de conscience et de sentiment d'un individu en quête de rédemption.
  • RUE DES PRAIRIES (1959)
    Poignant Gabin dans un film émouvant n'évitant pas les écueils du mélodrame.
  • A VALPARAISO (1963)
    Note : 17/20
    Classique du court métrage documentaire, par le plus grand réalisateur du genre.
  • LE CHAINON MANQUANT (1980)
    Truculent et cocasse à souhait, une oeuvre fort réjouissante.