Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 54 sur 332 (16566 critiques au total)

  • MESSAGE PERSONNEL (1997)
    Note : 10/20
    Rien de bien original, surtout dans sa chute des plus quelconques.
  • FRAGILE (2005)
    Note : 11/20
    L'ensemble est plutôt bancal et décevant, rappelant trop "L'échine du diable" de Guillermo Del Toro, oeuvre bien meilleure et plus subtile que cette pâle resucée d'une thématique déjà un peu usée, malgré une atmosphère inquiétante bien gérée.
  • BUG (2006)
    Note : 14/20
    Dommage que le film ne joue pas plus longtemps, plus subtilement sur les deux bascules envisageables, croissante paranoïa individuelle ou insidieux complot généralisé et verse ensuite dans une claustrophobie grand-guignolesque et suicidaire. On aura tout de même appris comment se passer de l'aspirine ou d'un dentiste, en cas de puissante névralgie à une souffrante molaire un peu trop rétive.
  • LA RACCOMMODEUSE DE FILETS (1912)
    Note : 14/20
    Le plaisir de retrouver Mary Pickford !
  • LE CERCLE (2004)
    Note : 13/20
    Un manque crucial de folie et d'originalité (hormis peut-être la scènes des cerfs) d'un cinéaste consciencieux jusqu'à l'extrême et finalement sans âme (même damnée).
  • AZUL (2006)
    Note : 15/20
    C'est souvent drôle et coquin, fantasque et débonnaire, malgré tout sans réelle surprise notoire, scénaristiquement bien chambré quoique fort prévisible et d'une facture plus que classique, ce qui a largement suffi finalement, pour décrocher en récompense quelques vagues prix honorifiques, deci, delà, dans son propre pays et dans quelques notables festivals internationaux.
  • DARK WATER (2005)
    Note : 14/20
    Intéressant remake du film éponyme japonais réalisé trois années auparavant par le metteur en scène Hidéo Nakata, qui ne démérite nullement face à l'original conçu avec une tendance plus marquée vers l'angoisse et la peur, alors que l'oeuvre de Walter Salles prend ses marques plutôt dans un climat, une impalpable atmosphère sourdement angoissante. Affaire de goût et de frissons, selon ses appréciations.
  • SAUF LE RESPECT QUE JE VOUS DOIS (2005)
    Note : 16/20
    Une oeuvre excellente, d'une profonde justesse "économique" et humaine qui incite à la résistance et à la révolte, contre toutes les insupportables oppressions professionnelles qui fleurissent sur nos chantiers et dans nos bureaux.
  • LE FIL DE LA VIE (2004)
    Note : 14/20
    Une idée originale (des marionnettes conscientes de leur statut d'objet animé) et une évidente poésie dans le choix des ambiances et du décor, font de cette intéressante coproduction suédo-norvégo-danoise, une oeuvre estimable, malgré d'inévitables clichés empruntés aux habituelles thématiques du genre.
  • MR 73 (2007)
    Note : 8/20
    Une oeuvre détestable. Pour commencer, un Daniel Auteuil qui surjoue pesamment, pire qu'un lamentable Mickey Rourke au plus bas de sa carrière, avec son lourd pathos imbibé et sa mine déconfite et laminée. Les autres acteurs ne sont guère plus convaincants, chargés comme des baudets sentencieux, avec leurs stupides répliques emphatiques et pontifiantes, toujours hautement inspirées, distillées en courtes phrases définitives, regards de circonstance, appuyés et pénétrants. Du genre : "Le malheur s'installe et vous regarde souffrir" "La vérité d'un flic n'est pas forcément la meilleure vérité" "Il y a juste un hommé brisé que l'on est en train d'enterrer vivant". Passons. En ce qui concerne la construction scénaristique du récit (d'après un fait divers authentique, paraît-il) on ne peut que noter l'extrême ténuité entre les deux intrigues accolées vaille que vaille pour former un semblant d'histoire, entre fragiles agglomérats mélodramatiques et véracité plus que discutable. Que dire aussi des nombreux retours en arrière (pas loin d'une dizaine) qui ponctuent et alourdissent avec insistance une dramaturgie bien douteuse, prenant le spectateur lambda pour un parfait imbécile, foncièrement insensible, qui ne comprend rien à la "terrible perdition" de nos deux héros malmené par un sournois destin. Et cerise sur le gâteau, en mauvais final shakespearien, tout juste digne d'une "leloucherie" de bas étage, un massacre purificateur, ponctué d'une naissance rédemptrice. En fait, le style viril et puéril, made "Olivier Marchal" amplifié ici jusqu'à l'outrance et l'écoeurement.
  • VIRUS CANNIBALE (1980)
    Note : 4/20
    D'une stupidité affligeante, des acteurs d'un ridicule exaspérant, une réalisation saumâtre et indigeste, dans l'indigne continuité du genre.
  • TAXIDERMIE (2006)
    Note : 16/20
    Il est essentiel d'appréhender le film en dehors des critères traditionnels et confortables de "bon goût / mauvais goût" et d'y voir plus qu'un message sur l'aliénation de notre monde, une sorte de joyeuse débandade vers le néant dans laquelle l'humanité se précipite avec rage et délectation.
  • UN COUP DE TONNERRE (2005)
    Note : 9/20
    Confier à un honnête mais laborieux tâcheron du Septième Art, qui n'a jamais su transcender ses réalisations, l'adaptation d'une nouvelle de Ray Bradbury se révèle être une gageure insurmontable, voire risible et cocasse. Il s'avère effectivement, après quelques minutes seulement de projection, que l'ensemble (réalisation, jeu des acteurs, moyens techniques) patauge plutôt dans la banalité et le besogneux.
  • LA LEGENDE DE LA MOMIE 2 (1999)
    Note : 4/20
    Film sans moyens, sans envergure, sans intérêt, sans vergogne, d'une nullité soporifique.
  • L'ÎLE DE LA TERREUR (1924)
    Note : 14/20
    En excellent capitaine, King Vidor sait mener son film à bon port.
  • FLEURS AMÈRES (2007)
    Note : 15/20
    Personnage incontournable de la littérature policière norvégienne, le détective privé Varg Veum, correctement investi par l'acteur Trond Espen Seim, bénéficie pour l'année 2008 d'un regain d'intérêt, avec pas moins de sept adaptations cinématographiques ou télévisuelles de romans de l'étonnant écrivain nordique Gunnar Staalesen qui défraya la chronique littéraire pour sa magistrale saga historico-policière en six volumes : "Le roman de Bergen". Un personnage et un écrivain à suivre.
  • AND NOW THE SCREAMING STARTS ! (1973)
    Note : 12/20
    Petite réalisation sympathique d'un des papes du fantastique britannique des années 1960/1970 qui marqua une génération d'amateurs du genre.
  • NUE PROPRIÉTÉ (2006)
    Note : 15/20
    Quand une cellule familiale devient effectivement pesante prison, que les enfants phagocytent l'affectif maternel au point de s'ériger en binôme décisionnel des impératifs choix relationnels de leur mère, quand la fusion mal gérée devient proximité et verbalisation douteuses, le drame intime, longtemps en suspens, guette et se manifestera brutalement, par exemple au coin d'une anonyme table en verre.
  • EDELWEISSPIRATEN (2004)
    Note : 11/20
    D'après des faits de résistance authentiques qui se sont déroulés dans la grande cité de Westphalie totalement détruite, une oeuvre, certes sympathique et respectable de par son propos éminemment bienvenu, mais dont la réalisation pèche sérieusement par un manque flagrant de pondération, se laissant trop tenter par le démonstratif appuyé, l'esbroufe facile et une gênante tendance à l'insistance et la lourdeur.
  • ENTRE LA CHÈVRE ET LE CHOU (1929)
    Note : 12/20
    De quoi bêler d'aise.
  • LE DERNIER ROI D'ECOSSE (2006)
    Note : 14/20
    Etonnante et courageuse interprétation de Forest Whitaker, consacrée par un Oscar de la Meilleure Interprétation Masculine, amplement mérité, face à une prestation insipide et bancale de James Mac Avoy, acteur sans réel charisme, pour une oeuvre somme toute fort honnête, entre "documentaire et fiction", qui donne une image peut-être (faussement) plus humaine au délirant dictateur, sans pour autant légitimer ses actes odieux ou l'absoudre de ses crimes immondes, comme l'émettent certains critiques avec leurs vertueux piaillements d'orfraie effrayé et scandalisé.
  • LA BELLE DORMIT CENT ANS (2007)
    Note : 11/20
    Une première demi-heure prenante qui languit ensuite dans un train-train bon enfant, pour capoter en final, dans une lourdeur scénaristique incongrue, entre torrides secrets de famille et féminin démon de midi, nous laissant dubitatif et fort déçu.
  • ENTRE LA MER ET L'EAU DOUCE (1967)
    Note : 14/20
    Première incursion du fameux réalisateur canadien, Michel Brault, dans le domaine de la fiction, dont l'oeuvre en général reste marquée par une acuité et un sens de l'observation documentaire aigus et prépondérants.
  • NO TRAINS NO PLANES (1999)
    Note : 14/20
    Un réalisateur toujours intéressant !
  • UN RÊVE ALGÉRIEN (2003)
    Note : 14/20
    Entre efficace leçon d'histoire politique et morale sur une page peu reluisante de notre pays et nécessaire mise en exergue d'une remarquable personnalité, indissociable des dramatiques épisodes de la libération d'un pays, une oeuvre largement bienvenue qui mérite une large distribution dans l'hexagone.
  • UN COUPLE PARFAIT (2005)
    Note : 13/20
    Une vision "pixelisée" d'un (du) couple entre "l'impossibilité de vivre ensemble et la folie de vivre séparé" qui flirte de temps à autre avec ennui et vacuité.
  • LA GALERIE MARCHANDE (2003)
    Note : 15/20
    Sympathique et subtil au diable, un bienvenu court métrage batave qui ridiculise avec goût et subtilité tous les machos du monde.
  • A PEINE ADULTE (2006)
    Note : 14/20
    Cinéaste connu sur la scène internationale pour deux courts métrages remarqués et remarquables ("Talking with angels" et "Skin deep") Yousaf Ali Khan nous propose en toute simplicité, une oeuvre cruelle et fragile sur les douloureuses conditions de vie de celles et ceux qui viennent dans nos pays occidentaux, fuyant une misère sans nom pour tomber dans une infortune tout aussi dramatique. A faire visionner par tous les Hortefeux de la planète et autres sbires de l'intransigeante préférence nationale.
  • LES TORTUES VOLENT AUSSI (2004)
    Note : 15/20
    Sans jamais verser dans le sordide dénonciateur ou le pathos lourdingue, une oeuvre remarquable de justesse et d'émotion, destinée à tous publics, à voir toutes querelles cessantes, réalisée par un metteur en scène talentueux.
  • LA STATION-SERVICE (2000)
    Note : 14/20
    Toujours aussi excellent, l'étonnant acteur Gene Bervoets, en grande gueule, macho, stupide et lamentable, nous ravit avec délectation.
  • THERE WILL BE BLOOD (2007)
    Note : 17/20
    Une somptueuse saga américaine, traversée par un constant souffle épique, entre Petite Histoire (l'aventure de deux individus arrivistes, obséquieux et despotiques) et Grand Histoire (la prospection pétrolifère) qui impose admiration et respect, aussi bien par l'exceptionnelle maîtrise cinématographique de l'ensemble que par le saisissant jeu des principaux acteurs fortement investis par leurs personnages.
  • ULTIMATE FIGHTER (1998)
    Note : 4/20
    Un sommet du ridicule que la version française ne fait qu'amplifier.
  • LA SALLE D'ATTENTE (1996)
    Note : 14/20
    Incontournable et réjouissant Gene Bervoets en odieux personnage phallocratique.
  • LE GOÛT DE LA VIE (2007)
    Note : 13/20
    Même si le déroulement et le final scénaristiques sont prévisibles très rapidement et que les schémas de l'intrigue ne brillent guère par une quelconque originalité, il faut reconnaître que malgré tout, on adhère rapidement, sans ronchonner à l'histoire, mis en appétit et en sérénité par le sympathique jeu des acteurs et un environnement (le fameux restaurant gastronomique) des plus alléchants.
  • LES PIERRES (2004)
    Note : 17/20
    Etonnante figure tragique interprétée avec enthousiasme et brio par une actrice parfaite, mais aussi superbe tableau d'une femme en constante émancipation, contre l'omniprésente intolérance religieuse, la soumission obligée aux "barbus" de toute nature et l'éternelle misogynie masculine.
  • LES MORTS DE LA SAINT JEAN (2005)
    Note : 14/20
    D'après le superbe thriller de Henning Mankell, une adaptation cinématographique correcte, avec un Rolf Lassgard égal à lui-même, c'est-à-dire excellent.
  • LA FIN D'UNE DOUCE NUIT (1961)
    Note : 16/20
    Saisissant portrait d'un Julien Sorel nippon, agrémenté d'une étonnante et fascinante galerie de femmes énergiques et déterminées, qui sont loin d'être seulement l'égal de l'homme, mais bien leur indéniable supérieur, dans une oeuvre dense et tourmentée qui, par bien des côtés fait penser aux questionnements et au style d'un Michelangelo Antonioni, en pleine tourmente existentielle.
  • LA MARCHE DE L'EMPEREUR (2004)
    Note : 12/20
    Des images superbes et quelques longueurs, peut-être inévitables ; mais surtout pour gâcher l'ensemble, un commentaire en voix-off d'un profond ridicule et d'une insondable niaiserie qui amoindrit considérablement le propos. Dommage.
  • L'HERITAGE DE LA TOUNDRA (1994)
    Note : 14/20
    Une oeuvre bienvenue, jamais ennuyeuse qui nous montre sans ostentation le difficile travail quotidien des habitants de cette région désolée balayée par les vents et les froids.
  • AMOURS DANS LA NEIGE (1968)
    Note : 15/20
    On songe à la tourmente fiévreuse qui balaie les protagonistes de certains films de Bergman dont le questionnement et les crises relationnelles rejoignent puissamment la profonde solitude des paumés existentiels de Yoshida, avec toujours cette magnifique prédominance hiératique de la femme face aux médiocres atermoiements masculins.
  • CHINA STRIKE FORCE (2000)
    Note : 9/20
    On s'ennuie fort dans ce film au scénario cent fois vu, et ce ne sont pas quelques prouesses acrobatiques qui sauveront le film d'une désastreuse dégringolade.
  • COSETTE (1977)
    Note : 13/20
    Le style et la grâce de Burovs, calqués sur un épisode du classique de Victor Hugo.
  • LA CARAVANE D'AMOUR (1971)
    Note : 11/20
    A voir comme un document d'époque, une tranche de vie d'une certaine frange de la société contestataire américaine.
  • FRANKIE (2005)
    Note : 15/20
    La beauté de Diane Kruger alliée à la conviction de Fabienne Berthaud, pour une mise en scène efficace et percutante, dont nous attendons avec impatience et confiance la prochaine réalisation.
  • LE PETIT FRERE (1987)
    Note : 14/20
    Burovs dans son espièglerie et son abondance visuelle; bravo !
  • THE BREED (2006)
    Note : 10/20
    Rien de bien nouveau dans les thématiques "manipulations génétiques" et "animaux tueurs" dans cette oeuvre presque quelconque, sans réelle surprise qui propose le "minimum syndical" pour un spectateur pas vraiment exigeant.
  • GIRLS IN AMERICA (2004)
    Note : 16/20
    Une excellente partition du cinéma noir indépendant américain qui ne s'enferme pas dans le ghetto des films "orientés" et se démarque par une indéniable et constante densité psychologique des protagonistes.
  • VOLEM RIEN FOUTRE AL PAÏS (2006)
    Note : 12/20
    Dommage que la démonstration, hautement estimable et bienvenue, manque de rigueur probante et aborde, pêle-mêle des démarches de "résistance" qui n'ont pas forcément les mêmes motivations communes et dont la présentation cinématographique ne fait souvent qu'illustrer d'une façon anecdotique leur réelle intelligence et leur sympathique ingéniosité. Beaucoup plus efficace et pertinent, l'interview d'un Kessler, âme damnée du libéralisme triomphant, dont l'arrogance et l'énervement, la morgue et la suffisance nous peaufinent de futurs Rouillan et Baader, encore plus radicaux et plus efficaces que leurs aînés.
  • PISTE BLANCHE (2006)
    Note : 12/20
    Une oeuvre plutôt correctement réalisée, certes tirée par les cheveux (ou plutôt par une épingle de cheveux) qui se regarde sans trop d'ennui, pourvu que l'on adhère au préalable fantastique de l'histoire, ce qui ne devrait pas poser de problème.
  • LA NUIT DE LA VÉRITÉ (2004)
    Comment sortir de la pénombre, de l’opacité, de la violence ? L’histoire des hommes détermine le présent. Comment accepter du fond des ses entrailles, de la matrice maternelle, le deuil, la mort comme un élément essentiel du processus de paix. Longue marche du "primate" sous le soleil orangé, sur le chemin des traditions et de l’humanité. La violence et les pulsions primitives cachées ne sont pas traitées avec complaisance. Hommes et femmes ne vous laissez pas ensorceler par le rythme de la barbarie. Au nom de chaque petit être à venir ... un film incontournable, un film qui nous regarde.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
LES PIERRES (2004) 17
THERE WILL BE BLOOD (2007) 17
SAUF LE RESPECT QUE JE VOUS DOIS (2005) 16
GIRLS IN AMERICA (2004) 16
TAXIDERMIE (2006) 16
LA FIN D'UNE DOUCE NUIT (1961) 16
LES TORTUES VOLENT AUSSI (2004) 15
FRANKIE (2005) 15
AZUL (2006) 15
NUE PROPRIÉTÉ (2006) 15
LA GALERIE MARCHANDE (2003) 15
FLEURS AMÈRES (2007) 15
AMOURS DANS LA NEIGE (1968) 15
ENTRE LA MER ET L'EAU DOUCE (1967) 14
BUG (2006) 14
LE FIL DE LA VIE (2004) 14
L'ÎLE DE LA TERREUR (1924) 14
LE DERNIER ROI D'ECOSSE (2006) 14
NO TRAINS NO PLANES (1999) 14
LA STATION-SERVICE (2000) 14
LA SALLE D'ATTENTE (1996) 14
LES MORTS DE LA SAINT JEAN (2005) 14
L'HERITAGE DE LA TOUNDRA (1994) 14
LE PETIT FRERE (1987) 14
LA RACCOMMODEUSE DE FILETS (1912) 14
DARK WATER (2005) 14
UN RÊVE ALGÉRIEN (2003) 14
A PEINE ADULTE (2006) 14
LE CERCLE (2004) 13
UN COUPLE PARFAIT (2005) 13
COSETTE (1977) 13
LE GOÛT DE LA VIE (2007) 13
AND NOW THE SCREAMING STARTS ! (1973) 12
ENTRE LA CHÈVRE ET LE CHOU (1929) 12
LA MARCHE DE L'EMPEREUR (2004) 12
VOLEM RIEN FOUTRE AL PAÏS (2006) 12
PISTE BLANCHE (2006) 12
FRAGILE (2005) 11
EDELWEISSPIRATEN (2004) 11
LA BELLE DORMIT CENT ANS (2007) 11
LA CARAVANE D'AMOUR (1971) 11
MESSAGE PERSONNEL (1997) 10
THE BREED (2006) 10
CHINA STRIKE FORCE (2000) 9
UN COUP DE TONNERRE (2005) 9
MR 73 (2007) 8
VIRUS CANNIBALE (1980) 4
LA LEGENDE DE LA MOMIE 2 (1999) 4
ULTIMATE FIGHTER (1998) 4