Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 42 films notés

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  • LA CICATRICE (1976)
    Note : 14/20
    Sur le thème de la responsabilité individuelle et collective dans le système social, un premier long métrage du grand réalisateur polonais. Intéressant à plus d'un titre.
  • TEX ET LE SEIGNEUR DES ABYSSES (1985)
    Apres une longue incursion à la télé, Tessari nous revient plus nul que jamais.
  • LE RACHAT SUPRÊME (1918)
    Note : 15/20
    Une intéressante réalisation de l'incontournable Cecil B. de Mille oscillant entre l'inéluctable mélodrame et la fable morale, avec un excellent Raymond Hatton, acteur extrêmement prolifique (plus de quatre cent interprétations diverses et variées) qui ne fut pas vraiment un succès financier pour la Paramount, à cause d'un public hésitant, plus enclin à suivre des histoires moins composites et plus linéaires, certainement désorienté par la richesse et la complexité (apparente) du scénario.
  • LE VOLEUR DE CHEVAUX (1986)
    Une oeuvre contemplative qui séduit et envoûte profondément.
  • UNE BOMBE PAS COMME LES AUTRES (1956)
    Note : 14/20
    Un festival Alastair Sim, acteur génial, méconnu en France, dans une petite comédie britannique fort savoureuse et particulièrement entrenante.
  • MORTS EN SURSIS (1988)
    Note : 10/20
    Décevant, un metteur en scène en chute libre.
  • UN JOUR PARMI TANT D'AUTRES (1968)
    Note : 8/20
    Certains ont crié au génie pour ce film dénonciateur de l'absurdité des conflits armés. Pour notre part, l'ennui et la déception furent nos sentiments permanents.
  • 56 RUE PIGALLE (1948)
    Note : 11/20
    Malgré la beauté intangible et tranquille de l'actrice Marie Dea, le film n'arrive hélas jamais à nous séduire ni à nous envoûter vraiment.
  • UN TUEUR SOUS INFLUENCE (1973)
    Note : 7/20
    Freddie Francis est désormais au bout du rouleau de son inspiration.
  • LA COUPE DE CHEVEUX (1983)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi applaudir. Pour le plaisir de revoir John Cassavetes.
  • IT'S ALL TRUE (1942)
    Note : 14/20
    Une découverte bienvenue qui ne fait qu'étoffer le mythe "Welles".
  • LES FRUITS DU PARADIS (1992)
    Note : 9/20
    Pas de quoi se mettre en colère et en jachère.
  • UNE FILLE DANS CHAQUE PORT (1928)
    Note : 15/20
    Sur le thème de l'amitié, une oeuvre décontractée du grand Howard Hawks avec un tonitruant Victor Mac Laglen et la toujours envoûtante Louise Brooks.
  • LE COLONEL CHABERT (1943)
    Etonnante et superbe présence / interprétation de Raimu, dans le fameux rôle-titre.
  • PATROUILLEUR 109 (1962)
    Un fait d'armes d'un ancien Président des Etats-Unis.
  • DERNIER CAPRICE (1961)
    Note : 16/20
    Une oeuvre fort nostalgique !
  • L'ARMÉE DES TÉNÈBRES (1992)
    Note : 14/20
    Sympathique comédie fantastique aux surprenants effets spéciaux et à l'intrigue riche et touffue en macabres rebondissements, dont c'est déjà le troisième opus.
  • L'ENFER DE LA CORRUPTION (1948)
    Note : 18/20
    Un metteur en scène, hélas méconnu par le grand public, peu prolifique (quatre films) pour une oeuvre puissante qui a sa place dans le gotha du film noir américain.
  • QUEST FOR LOVE (1971)
    Note : 10/20
    Quel beau sujet, lourdement maltraité !
  • ROBBY, KALLE ET PAUL (1988)
    Note : 14/20
    Drôle et réjouissant !
  • LE MARI DE L'INDIENNE (1931)
    Note : 16/20
    Troisième adaptation de la célèbre pièce d'Edwin Milton Royle que Cecil B. de Mille avait déjà filmé en 1914 et 1918, qui mérite entièrement le détour et le dépaysement, tant par l'originalité de son scénario que par l'interprétation sans faute des principaux acteurs, avec une mention particulière pour la séduisante Lupe Velez...
  • POUR UNE NUIT D'AMOUR (1946)
    Note : 16/20
    Une oeuvre magnifique, d'un réalisateur à redécouvrir !
  • LE RÉQUISITOIRE (1922)
    Note : 15/20
    Encore une oeuvre de qualité du solide et régulier metteur en scène Cecil B. de Mille, avec l'étonnant Thomas Meighan, un des acteurs les plus populaires de l'époque, sous forme d'un somptueux mélodrame moral qui fut à nouveau porté sur les écrans en 1930, sous le même titre, dans plusieurs versions internationales de qualité.
  • LE PREMIER JOUR DE LA LIBERTÉ (1964)
    Note : 14/20
    Une oeuvre correcte voire intéressante pour les possibles réflexions suscitées sur les éternelles notions de responsabilité et de liberté durant un conflit armé.
  • MONDO TOPLESS (1966)
    Note : 11/20
    Dépourvu de tout scénario, tourné en quatre jours, cette oeuvre n'a aucun intérêt cinématographique particulier, mais pour laquelle les fétichistes mammaires se délectent invariablement. On peut les comprendre !
  • LA VERITÉ N'A PAS DE FRONTIÈRE (1947)
    Note : 15/20
    Une oeuvre émouvante et puissante sur l'enfance durant la guerre.
  • INDISCRÉTION ASSURÉE (1993)
    Note : 9/20
    Pas vraiment de quoi applaudir !
  • BRONSTEIN'S KINDER (1990)
    Note : 13/20
    Intéressante réflexion, cinquante années plus tard sur l'Holocauste.
  • LES DERNIERS JOURS D'UN EMPIRE (1963)
    Un peplum en "totalscope" un avatar de nouveauté technologique !
  • DAEDALUS (1990)
    Le film prend comme support des documents et interviews pour accréditer sa thèse, cela d'une façon fort convaincante, mais hélas les scènes devant affirmer ces "discours images", sont loin d'être à la hauteur du sujet et de son propos.
  • BRATAN LE FRERE (1991)
    Note : 15/20
    Une oeuvre de qualité, d'où se dégage une indéniable tendresse et une diffuse poésie, rehaussée par une splendide photographie.
  • L'ÉTERNEL TOURMENT (1947)
    Note : 13/20
    Pour le plaisir de retrouver le grand Spencer Tracy.
  • L'ADMIRABLE CRICHTON (1919)
    Note : 16/20
    Tirée d'une pièce de théâtre de James M. Barrie, auteur inconnu pour le commun des mortels et pourtant au firmament éternel des prosateurs pour la création du personnage mythique de Peter Pan, cette oeuvre superbe et jouissive, mettant en scène une thématique incontournable des comédies de moeurs de l'époque (les amours ancillaires) reste un des meilleurs films muets de Cecil B. de Mille dont l'usuelle intrigue fut maintes fois repris au cinéma ou à la télévision.
  • LILIOM (1930)
    Note : 18/20
    Agrémentée d'une superbe photographie en noir et blanc, dotée d'un brillant scénario adapté d'une pièce de théâtre à succès de Ferenc Molnar qui sera reprise en 1934 par Fritz Lang et en 1956 par Henry King, cette magnifique réalisation d'un Borzage au faîte de son indéniable talent, restera pour toujours un incontestable chef-d'oeuvre d'un cinéma sentimental, mâtiné de fantastique et d'humanisme bienvenus.
  • L'ÉCHANGE (1920)
    Note : 16/20
    Encore une suave et précieuse "comédie de remariage" comme les affectionnait tant le metteur en scène Cecil B. de Mille, nous rappelant par certains côtés les subtiles réalisations à venir de l'éblouissant Ernst Lubitsch et qui pose discrètement les solides matrices des grands classiques de la comédie américaine.
  • CRIME AU MUSEE DES HORREURS (1958)
    Note : 16/20
    Un classique du film d'épouvante britannique avec un Michael Gough, décidement étonnant.
  • LES ANNEES DE PIERRE (1985)
    Note : 14/20
    Un solide et dénonciateur film grec, dépassant le cadre typique de l'époque et de l'histoire, pour affirmer, au-delà du politique, la constance de la grandeur humaine.
  • MAYA (1949)
    Note : 15/20
    Excellente et séduisante réalisation en noir et blanc, seconds rôles souvent époustouflants (Fréhel en vacillante alcoolique, doyenne des prostituées de l'endroit ; Georges Douking en désespéré soutier décimé par la tuberculose ; Françoise Hornez en douce et pure jeune fille éprise de son sémillant Albert), une oeuvre prenante de bout en bout, flirtant en marge et en final avec une discrète envolée mélodramatique plutôt bienvenue, qu'il est urgent de redécouvrir toutes affaires cessantes.
  • LES DAMNES DU COEUR (1929)
    Note : 16/20
    Après un préambule aussi orienté, claironnant une nauséeuse intolérance religieuse, on était en droit de formuler quelques inquiétudes quant au contenu ultérieur de cette dernière œuvre muette de Cecil B. de Mille. Il s'avère bientôt évident, que si l'on fait fi de ces orthodoxes dérapages, la réalisation du metteur en scène est un grand moment du cinéma, bien à part voire univoque dans sa solide filmographie.
  • SOLDAT CYBORG (1989)
    Note : 4/20
    Hormis le faciès réussi de l'entité guerrière, le reste est archi-nul.
  • TWIST AND SHOUT (1984)
    Note : 14/20
    Dans la sympathie continuité de "Zappa", un autre film réussi de Bille August qui pose un regard tendre et juste sur la période de l'adolescence. Loin des images propres et léchées de "Pelle le conquérant", voilà une oeuvre fort honnête, intelligente et personnelle. Sorti très discrètement en salles, en avril 1988, "Twist and Shout" demande aujourd'hui a être redécouvert rapidement.
  • COHEN AND TATE (1988)
    Note : 8/20
    On a connu Roy Scheider, bien plus inspiré dans le choix de ses rôles.
  • PROCÈS DE SINGE (1960)
    Note : 13/20
    Sympathique procès contre l'intolérable obscurantisme religieux !
  • TERREUR À L'OPÉRA (1987)
    Note : 11/20
    Rien de transcendant, sauf peut-être une lassitude.
  • BANDOLERO ! (1968)
    D'une facture fort moyenne !
  • RENACER (1981)
    Note : 7/20
    Sans aucun intérêt, confus au possible, n'évitant ni la lourdeur ni le scabreux, une oeuvre prétentieuse qui aurait pu devenir intéressante.
  • L'INTRUS MAGNIFIQUE (1967)
    Note : 10/20
    Sujet en or, de par ses nombreuses potentialités, totalement malmené, plumé par un cinéaste fort poussif, n'arrivant jamais à dynamiser un scénario vraiment génial !
  • LE VOL DE L'INTRUDER (1990)
    Quelques scènes spectaculaires pour une oeuvre bassement manichéenne.
  • APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS (1919)
    Note : 13/20
    Une petite comédie de moeurs légère et pépère, sur fond de pertinente et discrète peinture des moult travers et mascarade de la vie de couple, universelle et intemporelle, cadrée dans une schématisation particulière, appelée à l'époque "comédie du remariage" que Cecil B. de Mille utilisera plusieurs fois, dans quelques autres films et qui sera reprise, avec un bonheur certain, dans certaines grandes et inoubliables réalisations américaines des fameuses années 1940/1950.
  • PRISON DE CRISTAL (1985)
    Note : 17/20
    Une perle noire du "cinéma bis" ibérique qui distille avec une redoutable efficacité, une diffuse et constante oppression narrative, rehaussée par une étonnante interprétation des principaux protagonistes qui transfigurent les éléments scénaristiques basiques (vengeance, perversion, rapports maître / esclave) en une fascinante et macabre mise à nu de l'abyssale noirceur de l'âme humaine.