Après un préambule aussi orienté, claironnant une nauséeuse intolérance religieuse, on était en droit de formuler quelques inquiétudes quant au contenu ultérieur de cette dernière œuvre muette de Cecil B. de Mille. Il s'avère bientôt évident, que si l'on fait fi de ces orthodoxes dérapages, la réalisation du metteur en scène est un grand moment du cinéma, bien à part voire univoque dans sa solide filmographie.