Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 48 films notés

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  • ROB ROY (1994)
    Note : 7/20
    Mise en scène grotesque et des scènes d'action et de romance archiconvenues.
  • MONOLITH (1993)
    Note : 11/20
    On a vu pire dans le genre déjanté !
  • XY (1995)
    Note : 12/20
    Parfois facile, mais résolument sympathique et divertissant.
  • MEME LES COWGIRLS ONT DU VAGUE À L'AME (1993)
    Note : 13/20
    Adapté d'un classique de la littérature psychédélique, un film injustement malmené par la critique américaine et qui confirme le talent de son auteur.
  • USS ALABAMA (1995)
    Note : 13/20
    Un film certes manicheen et carre mais qui, grace a un montage sec et rapide, parvient a maintenir un rythme trepident. Pas si mal.
  • HARRY ET TONTO (1974)
    Note : 15/20
    Allègre et bienvenu road-movie, avec un acteur étonnant de maîtrise et de finesse, fort justement récompensé par un Oscar de la Meilleure Interprétation Masculine et une présence féline des plus convaincantes, pattes de velours et ronronnements d'aise.
  • L'ÂME D'UN PÈRE LE COEUR D'UN FILS (1973)
    Note : 14/20
    On en redemande !
  • SILENT FALL (1994)
    Note : 8/20
    Une mise en scène pesante et un scénario invraisemblable pour un thriller de seconde catégorie sans grand intérêt.
  • BLUE TORNADO (1990)
    Note : 1/20
    Une nullité transalpine exceptionnelle, voire absolue dont le dernier quart d'heure touche des sommets de médiocrité, rarement atteints.
  • LE TERRITOIRE DES DÉMONS (1974)
    Note : 14/20
    Hémoglobine et samouraï, un film toujours bienvenu et plutôt étonnant !
  • NOSTRADAMUS (1994)
    Note : 7/20
    Que dire de cette pochade insignifiante et prétentieuse ? Tout d'abord, c'est lourd, pachydermiquement lourd, d'une pesanteur démonstrative, utilisant tous les poncifs du genre que peut susciter un personnage aussi mystérieux et impalpable que Nostradamus. Et puis, on n'en a rien à faire de toutes ces fadeuses divinatoires.
  • LA BEAUTE DES CHOSES (1995)
    Note : 9/20
    Une œuvre scandinave lourdement décevante par l'énorme accumulation de scènes souvent inabouties voire inutiles, la constante lourdeur de son traitement cinématographique, le simplisme et l'irréalité psychologique de ses principaux personnages et un vague et gênant anachronisme dans sa réalisation.
  • COMA (1992)
    Note : 3/20
    Oeuvre à vous dégouter du cinéma tellement la mièvrerie et le ridicule côtoient chaque minute du film, comme un étron oublié dans une cuvette.
  • OU LE SOLEIL EST FROID (1990)
    Note : 17/20
    Superbe noir et blanc qui donne une splendide limpidité à une prise de vue intelligente et attentive dévoilant avec efficacité et sobriété toute la palette des émotions et des sentiments qui animent les deux principaux protagonistes dont le destin va se briser dans l'anonymat et l'hébétude de la grande ville.
  • REQUIEM HONGROIS (1990)
    Note : 11/20
    Sujet grave desservi par une mise en scène plate et répétitive. C'est dommage, la plupart des comédiens, dont l'excellent Cserhalmi, donnent le meilleur d'eux-mêmes.
  • CRÉPUSCULE À TOKYO (1957)
    Note : 17/20
    Dernier film en noir et blanc du réalisateur et peut-être l'une de ses réalisations majeures les plus pessimistes et les plus radicalement sombres, qui malgré un support musical souvent allègre et léger, dénote constamment de puissants ferments mélodramatiques impossibles à gérer harmonieusement par certains personnages en manque de confiance et de confidence envers leur entourage et leurs proches.
  • SUR LA ROUTE DE MADISON (1995)
    Note : 15/20
    D'une étonnante sensibilité, avec un jeu d'acteurs juste et sobre !
  • FAIR GAME (1995)
    Note : 9/20
    La plastique de Cindy Crawford est exploitée sans vergogne et l'ensemble, réalisé pourtant avec un budget confortable, ressemble à une série B sans grand relief mais parfois efficace.
  • ÉTÉ PRÉCOCE (1951)
    Note : 16/20
    D'une indéniable finesse quant à l'appréhension psychologique des principaux personnages dans la biosphère relationnelle d'une famille traditionnelle japonaise qui se vit, au-delà de quelques modiques désaccords superficiels, dans une harmonieuse cohabitation encadrant trois générations, allant des enfants et leurs revendications envers les parents, les adultes et leurs certitudes et les vieilles personnes, bien plus sereinement philosophes. Comme dans bien des films du réalisateur, peu de choses se passent et pourtant tout est dit, avec une évidence et une limpidité remarquables.
  • LE COUVENT (1995)
    Note : 14/20
    Une allégorie mystique parfois surchargée, mais traversée de moments d'une intense poésie, comme sait les proposer Oliveira.
  • DEMONS 2 (1986)
    Note : 10/20
    Médiocre et maladroit patchwork pseudo-horrifique composé de quelques thèmes favoris du fantastique, empruntés lourdement à quelques classiques du genre, et "recrachés" méthodiquement, sans aucun style ni invention.
  • LE GOUT DU RIZ AU THÉ VERT (1952)
    Note : 15/20
    Considérée par son metteur en scène lui-même comme une œuvre secondaire, cette réalisation reste néanmoins d'une extrême finesse psychologique et d'une bienheureuse études des us et coutumes japonaises en passe d'être contaminés, dans leur quotidien, par une occidentalisation de plus en plus envahissante.
  • SENORITA TOREADOR (1947)
    Note : 11/20
    Une nouvelle occasion de voir évoluer Esther Williams en dehors de l'eau, animée par quelques agréables compositions de Johnny Green. Pour le reste, un scénario quelque peu routinier, correctement mis en images.
  • LA MAISON DU CAUCHEMAR (1987)
    Note : 8/20
    Rien de bien nouveau dans la thématique "demeures hantées" et petite fille maléfique, mais plutôt une navrante constance dans la besogneuse médiocrité ambiante, l'accumulation d'un chapelet ininterrompu de poncifs inhérents au genre et une lourde persistance dans une radicale médiocrité scénaristique.
  • LE PARADIS BLANC DE L'ENFER (1975)
    Note : 15/20
    Un des meilleurs épisodes de la remarquable série !
  • L'AMOUR CONJUGAL (1995)
    Note : 8/20
    Une prise de vue soignée, mais la réalisation, fort plate, finit par lasser. Décevant.
  • L'IDOLE VIVANTE (1956)
    Note : 15/20
    Une superbe rareté, idolâtrée par certains !
  • LE PAVILLON D'OR (1958)
    Note : 14/20
    Une œuvre bienvenue et triste.
  • SCÈNES DE CHASSE EN BAVIÈRE (1969)
    Note : 17/20
    Une impitoyable diatribe contre le racisme ordinaire et la peur de la différence, qui fleurissent souvent dans les arrières-cours de nos campagnes.
  • SABRINA (1995)
    Note : 11/20
    Un rythme bien trop lâche pour nous faire oublier le beau film de Billy Wilder.
  • PRINTEMPS TARDIF (1949)
    Note : 15/20
    L'éternel "conflit" parental, récurrent dans la splendide filmographie du metteur en scène japonais Yasujiro Ozu et cette ineffable fuite des choses et des êtres, entre douceur de vivre désabusée et tranquille incertitude existentielle.
  • LE JOURNAL D'UN SUICIDE (1971)
    Note : 12/20
    Malgré quelques dialogues navrants de platitude et de banalité, cette singulière oeuvre-gigogne d'un franc-tireur de la cinématographie française des années 70, a de quoi séduire bien des cinéphiles et fut déjà, à l'époque de sa (courte) sortie en salles, encensée par le journaliste et critique Jean-Louis Bory et remarquée par l'exigeant François Truffaut. Alliant avec une certaine dérision humoristique, une vision des plus sombres de l'humanité, avec ses charniers, ses camps et ses policiers, avec une forme de contestation obstinée, chagrine et désuète, Stanislav Stanojevic nous livre un ardent témoignage de ses révoltes et de ses contestations, certes bancal et malhabile, mais nimbé d'une profonde et indéniable sincérité qui pardonne bien des maladresses.
  • MAIS QU'AVEZ-VOUS FAIT À SOLANGE ? (1972)
    Note : 9/20
    Un "Dallamano" pour une fois, moins nul que d'habitude.
  • LES SOEURS MUNAKATA (1950)
    Note : 17/20
    Oeuvre évidente, limpide et simple, sur les maux du coeur et l'impalpable nuance des sentiments dont le réalisateur maîtrise parfaitement les élans et les détours.
  • PRISE (1986)
    Note : 13/20
    Amos Kollek, en bienvenu.
  • QUE JUSTICE SOIT FAITE (1933)
    Note : 12/20
    D'une longue série de films d'une durée souvent inférieure à l'heure.
  • TSAHAL (1994)
    Dernier volet de la trilogie consacrée par Claude Lanzmann à l'Etat hébreu, une oeuvre intéressante malgré son parti-pris et sa subjectivité.
  • INCREDIBLE TORTURE SHOW (1976)
    Note : 9/20
    Hélas, cela manque douloureusement d'authenticité et de subtilité.
  • STRANGE DAYS (1995)
    Note : 11/20
    Thriller d'anticipation au scénario et à l'esthétique aussi convenus que décevants.
  • L'ENFANT MASSACRE (1972)
    Note : 14/20
    Second volet de l'étonnante saga nippone de Kenji Misumi, qui compte pas moins de six épisodes, à laquelle nous adhérons "violemment".
  • UN HOMME A SUCCES (1986)
    Note : 10/20
    Une sympathique parodie débridée des films noirs qui accumulent les citations humoristiques. Les numéros musicaux sont bienvenus mais le film manque tout de même de rigueur dans sa construction, ce qui ne l'a pas empêché d'être un des plus gros succès de l'histoire du cinéma autrichien.
  • LE DIABLE EN ROBE BLEUE (1994)
    Note : 14/20
    Sympathique hommage au film noir par un des plus intéressants réalisateurs afro-américains de Hollywood, avec un Denzel Washington impérial.
  • LE SABRE DE LA VENGEANCE (1971)
    Note : 15/20
    Premier film d'une série étonnante, baptisée "Baby Cart".
  • WACKO (1982)
    Une tentative de parodie de films d'horreur.
  • OÙ SONT LES HOMMES ? (1995)
    Note : 7/20
    Noyé dans un irritant flot de sentimentalisme et paralysé par une mise en scène quasiment inexistante, un film à oublier bien vite, sans hésitation.
  • DANS LA TERRE DE L'OMBRE (1973)
    Note : 13/20
    De la même veine que les deux précédents opus !
  • YUL 871 (1966)
    Note : 11/20
    Un scénario cousu de fil blanc qui cumule les invraisemblances et les facilités avec pourtant un Charles Denner d'une rare décontraction, certains parleront de fausse et contrariée désinvolture, et une photographie, en noir et blanc, vraiment splendide.
  • FANTOME AVEC CHAUFFEUR (1995)
    Note : 12/20
    A prendre et surtout à laisser.
  • LA BARRIÈRE DE CHAIR (1964)
    Note : 15/20
    Quelques scènes mémorables, comme l'attirance et la séduction d'un pasteur noir ou le dépeçage artisanal d'un bœuf dérobé, un décor magistralement stylisé et l'effervescence brouillonne d'une populace en survie, faisant la nique au néo-réalisme italien, donnent à cette étonnante œuvre nippone, une indéniable originalité et une griffe particulière, propre à un réalisateur délibérément inclassable et singulier.
  • ECHOES (1983)
    Note : 4/20
    Mon Dieu que c'est mauvais et lourd, bête et quelconque et que l'ennui devient omniprésent, dès les premières minutes jusqu'à une fin attendue hâtivement.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
CRÉPUSCULE À TOKYO (1957) 17
LES SOEURS MUNAKATA (1950) 17
OU LE SOLEIL EST FROID (1990) 17
SCÈNES DE CHASSE EN BAVIÈRE (1969) 17
ÉTÉ PRÉCOCE (1951) 16
LE GOUT DU RIZ AU THÉ VERT (1952) 15
LE PARADIS BLANC DE L'ENFER (1975) 15
PRINTEMPS TARDIF (1949) 15
LE SABRE DE LA VENGEANCE (1971) 15
LA BARRIÈRE DE CHAIR (1964) 15
SUR LA ROUTE DE MADISON (1995) 15
HARRY ET TONTO (1974) 15
L'IDOLE VIVANTE (1956) 15
L'ÂME D'UN PÈRE LE COEUR D'UN FILS (1973) 14
LE TERRITOIRE DES DÉMONS (1974) 14
LE PAVILLON D'OR (1958) 14
L'ENFANT MASSACRE (1972) 14
LE COUVENT (1995) 14
LE DIABLE EN ROBE BLEUE (1994) 14
MEME LES COWGIRLS ONT DU VAGUE À L'AME (1993) 13
DANS LA TERRE DE L'OMBRE (1973) 13
USS ALABAMA (1995) 13
PRISE (1986) 13
LE JOURNAL D'UN SUICIDE (1971) 12
XY (1995) 12
QUE JUSTICE SOIT FAITE (1933) 12
FANTOME AVEC CHAUFFEUR (1995) 12
MONOLITH (1993) 11
SENORITA TOREADOR (1947) 11
YUL 871 (1966) 11
REQUIEM HONGROIS (1990) 11
SABRINA (1995) 11
STRANGE DAYS (1995) 11
UN HOMME A SUCCES (1986) 10
DEMONS 2 (1986) 10
INCREDIBLE TORTURE SHOW (1976) 9
LA BEAUTE DES CHOSES (1995) 9
FAIR GAME (1995) 9
MAIS QU'AVEZ-VOUS FAIT À SOLANGE ? (1972) 9
SILENT FALL (1994) 8
L'AMOUR CONJUGAL (1995) 8
LA MAISON DU CAUCHEMAR (1987) 8
ROB ROY (1994) 7
NOSTRADAMUS (1994) 7
OÙ SONT LES HOMMES ? (1995) 7
ECHOES (1983) 4
COMA (1992) 3
BLUE TORNADO (1990) 1