Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 37 films notés

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  • LE MEILLEUR (1984)
    Note : 12/20
    Typiquement "amerloche".
  • LES AVENTURIERS DU BOUT DU MONDE (1983)
    Note : 9/20
    Un colossal succès aux States dont on ne comprend ni l'ampleur ni la raison.
  • COMMENT SE FAIRE REFORMER (1978)
    L'habituel comique troupier sans fondement ni humour qui rase les pâquerettes avec une opiniâtre médiocrité où se mêlent caricature grossière et stéréotypes éculés.
  • SON SEUL AMOUR (1955)
    Note : 6/20
    Une oeuvre sans intérêt, tournée avec une opiniâtre et constante mediocrité !
  • LE SORGHO ROUGE (1987)
    Note : 16/20
    Une oeuvre admirable, émouvante, solide !
  • LA RACE DES SEIGNEURS (1973)
    Note : 7/20
    Description sans intérêt et fort ennuyeuse d'un milieu politique.
  • LES INCONNUS DANS LA MAISON (1941)
    Note : 14/20
    Un classique du cinéma français qui fut interdit à la Libération !
  • LE MOUCHARD (1935)
    Note : 17/20
    Oeuvre capitale du grand John Ford qui reçut quatre Oscars (meilleure mise en scène, meilleur scénario, meilleure musique et meilleur acteur (Victor Mac Laglen).
  • LE LAITIER DE BROOKLYN (1946)
    Entre humour facile et comédie musicale légère.
  • PIED AU PLANCHER (1983)
    Note : 7/20
    Pas de quoi en faire un excès de vitesse ou d'enthousiasme !
  • LA BANDE DU REX (1979)
    Trop de clichés et de poncifs pour être vraiment d'un intérêt sociologique.
  • LE SEXE FAIBLE (1933)
    Note : 12/20
    Une sympathique curiosité !
  • MYSTÈRE ALEXINA (1985)
    Note : 13/20
    Oeuvre profondément authentique, d'une grande sincérité, qui fait l'amer constat d'une société répressive, hypocrite et malheureuse, rejetant sans cesse les différences.
  • HAMLET (1948)
    Note : 16/20
    Oeuvre considérée à une certaine époque comme le plus grand film du monde.
  • L'HONNEUR DES PRIZZI (1985)
    Note : 16/20
    Un spectacle formidable avec un humour constant, un splendide jeu des principaux acteurs et des rebondissements tragi-comiques étonnants.
  • HISTOIRES DE FANTOMES CHINOIS (1987)
    Note : 16/20
    Trucages étonnants, tendresse diffuse, action, rebondissements en pagaille, une oeuvre inoubliable qui se regarde avec un plaisir infini.
  • UNE POIGNEE DE CENDRE (1987)
    Note : 16/20
    Une oeuvre superbe, avec des acteurs convaincants, dont la première partie (mélancolique et douce) tranche avec la folle séquence en Amazonie.
  • VEUVE MAIS PAS TROP (1988)
    Note : 13/20
    Plaisante distraction que Jonathan Demme maîtrise de bout en bout, avec humour et décontraction, secondé par quelques acteurs vraiment épatants.
  • LE PIEGE DE VENUS (1988)
    Note : 13/20
    Une oeuvre discutable qui souffre d'une regrettable prétention.
  • JULIA ET JULIA (1987)
    Note : 15/20
    Une oeuvre etrange et ambigue qui fascine et intrigue.
  • HIGH SPIRITS (1988)
    Note : 13/20
    Humour, histoires d'amour intemporelles et sympathiques trucages.
  • LES CIGOGNES N'EN FONT QU'A LEUR TETE (1988)
    Sujet cent fois (mal) traité, on peut tout de même retenir le comique suave de certains interprètes qui se laissent aller souvent de bon coeur.
  • PSYCHOSE (1960)
    Note : 18/20
    Une des oeuvres essentielles du grand metteur en scène qui contient d'étonnants morceaux d'anthologie à jamais inoubliables inscrites au gotha de la cinématographie.
  • FOLIES DE FEMMES (1921)
    Note : 19/20
    Une oeuvre essentielle, malheureusement mutilée (la version originale dure environ six heures 24) qui laisse un souvenir inoubliable, avec un éblouissant Erich von Stroheim, sublime dans son extraordinaire interprétation d'une malfaisante canaille, libidineux à souhait, d'un cynisme et d'une abjection redoutables. En tous points, incontournable et unique, à voir et à revoir de toute urgence, en profitant d'une importante rétrospective organisée par la Cinémathèque Française (février / mars 2019).
  • MOSQUITO COAST (1986)
    Note : 13/20
    De l'excellent travail sans faille ni déception qui n'empêche pourtant pas de préférer certains films antérieurs du cinéaste, en particulier de la période australienne.
  • LA RUMBA (1986)
    Un spectacle sympathique, dénonciateur qui manque pourtant de puissance !
  • GLORIA (1980)
    Note : 11/20
    N'en déplaise aux puristes, ce film est une rature malgré tout primée à Venise !
  • TRAPÈZE (1956)
    Entre mélodrame sentimental et intéressant documentaire sur le cirque.
  • LE RENARD DES OCÉANS (1955)
    Seconde collaboration Wayne / Farrow après "Hondo, l'homme du désert" qui sombre dans un océan d'ennui, de platitude et d'inepties.
  • DIEU SEUL LE SAIT (1957)
    Oeuvre moins connue du grand cinéaste américain, John Huston, qui n'eut pas les faveurs du public à sa sortie et que le réalisateur tint pourtant pour essentielle.
  • MON CURÉ CHEZ LES THAÏLANDAISES (1983)
    Une oeuvre stupide, ringarde et médiocre sans inspiration ni intérêt qui émane d'un metteur en scène d'une affligeante et profonde stérilité dans l'inspiration.
  • LE CHEMIN DU SERPENT (1986)
    Note : 15/20
    Un amer constat lucide et désespérant !
  • PATTY HEARST (1987)
    Note : 12/20
    Natasha Richardson est plutôt fort convaincante et le film se laisse voir même si l'on sent que le sujet ne convient pas pleinement au réalisateur Paul Schrader moins à l'aise que sur le terrain de la spiritualité ou de la rédemption.
  • MORT À L'ARRIVÉE (1987)
    Note : 13/20
    Petite déception, finalement toute relative, le film n'arrivant jamais à la rigueur et au suspense de l'époustouflante version de Rudolph Mate.
  • FAIS TA VALISE SHERLOCK HOLMES (1960)
    Note : 10/20
    Un colossal succès d'outre-Rhin qui provoqua une suite, encore plus mauvaise... et notre conversion définitive à l'athéisme, sans hésitation.
  • LA REINE KELLY (1928)
    Note : 18/20
    Un magnifique chef-d'oeuvre cent fois mutilé, tronqué, qui reste un inoubliable moment de cinéma dont la version la plus longue actuellement ferait deux heures.
  • LINK (1985)
    Note : 13/20
    Une oeuvre excellente où l'humour côtoie allègrement la réflexion et l'angoisse et qui perd beaucoup de sa force dans les vingt dernières minutes.
  • LES GOONIES (1985)
    Note : 13/20
    Une savoureuse réalisation !
  • LA DERNIÈRE CIBLE (1988)
    Note : 9/20
    Une déception ! On est fort loin des premières péripéties policières de l'incontournable flic créé par Harry Julian Fink et R.M. Fink, personnage fort bien campé par l'éminent Clint Eastwood, mais dont le charisme ne suffit pas à sauver le film.
  • MADAME CLAUDE 2 (1981)
    Gageons que le gogo gobera !
  • SI ELLE DIT OUI, JE NE DIS PAS NON (1982)
    On se pose bien des questions sur la sympathique Mireille Darc et son médiocre "talent" de scénariste, dans une œuvre passable concoctée par un vague tâcheron.
  • VIVRE (1952)
    Note : 18/20
    C'est sublime, étonnant, merveilleux au possible.
  • SOLDAT BLEU (1970)
    Note : 16/20
    Une vision sans compromission des mortels affrontements entre Blancs et Peaux Rouges, souvent insoutenable et démystifiante, d'un véracité incontestable et brutale.
  • LA LEGION DES DAMNES (1969)
    Enième version sur l'éternel commando-suicide nimbé d'héroïsme et de panache et ses impossibles irréductibles en mal de réhabilitation et de gloriole.
  • MONNAIE DE SINGE (1931)
    Note : 17/20
    Magnifique comédie burlesque où l'invention débridée, l'absurde comique et l'humour décalé éclatent dans un festival de non-sens finalement fort logique.
  • UNE PAGE FOLLE (1926)
    Note : 20/20
    Un film hallucinant (le seul exemple de film surréaliste japonais des années 1920) d'une sublime poésie noire dont le négatif fut retrouvé seulement en 1971.
  • LA FILLE À LA VALISE (1961)
    Note : 15/20
    Un film controversé à sa sortie qui mérite une redécouverte.
  • COMPANEROS (1970)
    Vous mélangez avec un peu de violence, de vulgarité et de révolution et vous obtenez un pur produit du western alimentaire / spaghetti. Pourtant, malgré et peut-être pour ses outrances, Corbucci mérite une nouvelle approche / découverte.
  • LES SOEURS BRONTË (1978)
    Note : 15/20
    Viduité apparente ou réelle se retrouvant dans l'ensemble du film qui malgré les soins apportés à sa réalisation, produit un ennui certain, malgré son charme diffus.
  • UN NOMMÉ CABLE HOGUE (1970)
    Note : 14/20
    Edifiant et nostalgique !