Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 48 films notés

Page 24 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LE RETOUR A LA RAISON (1923)
    Note : 15/20
    L'immatérialité scénaristique de l'ensemble ne doit pas faire occulter au spectateur les élancées visuelles novatrices qui, même inconscientes et débridées, préfigurent déjà les grands metteurs en scène du lendemain.
  • LA FIEVRE DES ECHECS (1925)
    Note : 16/20
    Rien que pour la présence du fantasque Fogel, de film en film, inoubliable.
  • FÉTICHE EN VOYAGES DE NOCES (1936)
    Note : 15/20
    C'est mignon tout plein, fort drôle et charmant et d'une bienheureuse animation.
  • DOUBLEPATTE ET PATACHON MILLIONNAIRES (1925)
    Note : 11/20
    Une œuvre assez pauvre en gags, (d'après la durée réduite que nous avons pu visionner) qui plut pourtant au public mais qui fut éreintée par la critique.
  • CHILDREN'S CORNER (1936)
    Note : 10/20
    Pas de quoi être ravi !
  • FÉTICHE CHEZ LES SIRÈNES (1937)
    Note : 15/20
    D'une confondante et sympathique naïveté qui dégage un charme certain.
  • I DE GODE, GAMLE DAGE (1940)
    Note : 10/20
    Dernier film du célèbre duo comique danois, cette farce historique fut considérée comme une stupide caricature de la lointaine époque de la chevalerie.
  • TROIS VISAGES (2018)
    Note : 15/20
    Sur fond d'évocation générationnelle dans le biotope artistique iranien, avec trois femmes en vécu ou en conflit avec un entourage plutôt circonspect quant aux métiers de scène, le metteur en scène rend un hommage appuyé et révérencieux à celui qui fut son maître, son mentor et son ami, l'incontournable et précieux Abbas Kiarostami.
  • LE MARIAGE DE BABYLAS (1921)
    Note : 14/20
    Avec Nina Starevitch toujours aussi pétulante, une animation bienvenue pour une histoire par delà les rêves, d'une touchante simplicité scénaristique.
  • VA Y VIEUX FRERE (1923)
    Note : 11/20
    Une histoire d'une épouvantable banalité dans laquelle Pat et Patachon semblent occuper une portion congrue dans le déroulement d'une intrigue pesante au scénario quelque peu inexistant, pas vraiment euphorique pour le courageux spectateur.
  • POROROCA, PAS UN JOUR NE PASSE (2017)
    Note : 15/20
    Glissements progressifs vers l'enlisement émotionnel, accablé par une lente submersion de la réflexion et des obsessions irrationnelles, pour mener au drame exutoire et radical, à coups de marteau et de folie mortellement dévastateurs, pour une œuvre roumaine insidieusement perturbatrice et d'une parfaite cohérence.
  • L'ÉPOUVANTAIL (1921)
    Note : 15/20
    Un séduisant mélange d'animation et de prises de vue réelles avec dans le rôle principal du jardinier, Ladislas Starevitch en personne.
  • PAT ET PATACHON MEUNIERS (1924)
    Note : 12/20
    Selon une critique de l'époque d'un journal danois de la capitale, les films de Pat et Patachon, avec le temps, sont devenus meilleurs, bien mieux filmés et montés, mais le trio, formé avec le réalisateur Lau Lauritzen, a perdu l'essence même de ses origines, c'est à dire leur humour et leur comique. Nous sommes pas loin de partager cet avis.
  • 1984 (1984)
    Etonnant et surprenant message publicitaire !
  • LE LION ET LE MOUCHERON (1932)
    Note : 15/20
    C'est avec un rare à-propos et une évidente maîtrise du graphisme que le grand maître de l'animation illustre cette fable à l'implacable et compréhensible morale.
  • KINATAY (2009)
    Note : 16/20
    Sans jamais verser dans le gore gratuit ni la complaisance morbide, le réalisateur dévoile, sans aucune complaisance exhibitionniste, l'envers du décor d'une société corrompue, qu'une pauvreté endémique entretient en permanence et en victimes.
  • L'AVARIZIA (1918)
    Note : 15/20
    Excellent mélodrame transalpin projeté au 32e festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne (2018) en provenance de la cinémathèque de Prague, qui reste fort tempéré dans l'expression des sentiments et de la dramaturgie scénaristique, sans excessifs débordements passionnels, attisant avec bonheur notre cinéphilique contentement.
  • AMOUR NOIR ET BLANC (1923)
    Note : 15/20
    En hommage au cinéma américain, avec en vedettes-marionnettes, Charlie Chaplin, Mary Pickford, Tom Mix, Eric Campbell, Ben Turpin, pour nous plus grand ravissement.
  • MA VIE DE COURGETTE (2016)
    Note : 17/20
    Doublement primée à l'incontournable festival du Film d'Animation d'Annecy 2016, ce premier long métrage évite avec élégance et conviction l'habituelle niaiserie accompagnant souvent ce genre de production qui considère benoitement et avec une stupide autorité que l'enfant spectateur patauge dans une forme de sérénité bête et limitée. Pour une fois, le refus d'occulter ou de masquer les réalités, confère conséquemment une émotion et une intelligence d'une profondeur incommensurable.
  • RUE DE LA PAIX (1927)
    Note : 17/20
    De la haute couture cinématographique, gracieusement offert par le 32e Festival
    "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne (2018) avec des acteurs d'une finesse et d'une pertinence remarquables, évoluant avec justesse et mesure dans une scénographie bienvenue, évitant l'écueil du mélodrame inapproprié et d'une constante allégresse dans le plaisir de filmer et de jouer pour l'ensemble des protagonistes.
  • LE LABYRINTHE (2014)
    Note : 13/20
    Une certaine originalité scénaristique et des séquences d'action parfaitement menées ne suffisent malheureusement pas à donner une véritable densité à l'histoire ni une profondeur méditative à l'ensemble. On reste dans une production formatée ciblant un public adolescent friand d'anticipation initiatique, de chorus idiomatique et clanique.
  • EVOLUTION OF A FILIPINO FAMILY (2004)
    Note : 17/20
    Avant d'être une œuvre-fleuve monumentale, tournée en 16mm et vidéo numérique, cette réalisation du prodige philippin, commencée dix années auparavant, en 1994, se ressent avant tout comme une redoutable partition d'intelligence et de finesse qui jongle avec dextérité et naturel sur des faits réels (documentaires historiques sur les manifestations à Manille) sur une magnification du milieu rural et champêtre, sur d'étonnantes références socio-culturelles (les mélodramatiques sagas radiophoniques) pour nous proposer un volumineux canevas de réflexions et de contentement.
  • LE DOSSIER MONA LINA (2017)
    Note : 14/20
    Même si l'ensemble de l'intrigue est cousue de fil blanc et que quelques séquences s'abîment pesamment dans le sentencieux et le grandiloquent, on passe tout de même un agréable moment sans prétention excessive ni engouement flagrant.
  • TIMBUKTU (2014)
    Note : 17/20
    Comme ces traditionnels et antiques objets d'art, précieuses statuettes élancées et vives ou séduisantes figurines callipyges en bois et en tissus, à l'effigie et en l'honneur de la féminité, qu'on détruit à coups de mitraillette et de mépris, l'intolérance religieuse continue à faire ses ravages et ses convertis parmi une population pratiquante qui ne demandait qu'à vivre en paix et en harmonie dans cette nature éclatée de beauté et de sérénité, à portée de regard et de bienveillance, loin des tumultes et des barbares. C'est la claire et ferme assertion que nous expose le réalisateur dans cette œuvre magnifique, d'une éclatante luminosité et d'une douloureuse vérité.
  • LE TECKEL (2015)
    Note : 12/20
    Une morose et tenace déception, pour nous qui adorions les rigueurs et les raideurs acidulées du metteur en scène, dans la plupart de ses films précédents, se dégage finalement de cette œuvre inaboutie, aux séquences souvent hasardeuses, avec maintes scènes laissées en plan dans leur finalité révélatrice de la médiocrité humaine et que le morcellement en sketches souvent anémiques n'arrange nullement.
  • HARLEQUIN (1931)
    Note : 14/20
    Toujours aussi séduisant.
  • LE CHOEUR DE TOKYO (1931)
    Note : 16/20
    Un des derniers films muets du grand réalisateur nippon, sans aucune partition musicale, qui malgré un environnement pesant et traumatisant (un durable chômage de masse) ne manque nullement d'humour, de drôlerie et de dérision.
  • THE BIRTH OF THE ROBOT (1936)
    Note : 14/20
    Petit film publicitaire doté d'une sympathique animation qui se clôture par l'affirmation : "Modern worlds need modern lubrication" "Lubrication by Shell Oil".
  • DOGMAN (2018)
    Note : 15/20
    Sans hésitation ni tergiversations inutiles, on retiendra surtout la performance et la finesse de l'interprétation de l'acteur principal, un Marcello Fonte qui a su mettre en valeur, sans exagération ni affectation particulières, un physique anonyme et un effacement scénique finalement efficaces voire mortellement redoutables.
  • LA TERRE ÉPHÉMÈRE (2014)
    Note : 16/20
    D'un contemplatif minimalisme épuré, aussi bien dans la raréfaction des dialogues que dans la ténuité d'une trame scénaristique élémentaire, une œuvre cinématographique d'une bienvenue lenteur qui se regarde et s'écoute avec une nécessaire ouverture d'esprit et une tranquille simplicité de cœur.
  • LOVE EXPOSURE (2008)
    Note : 16/20
    Une œuvre curieuse et séduisante, avec de fascinantes ruptures de ton et de narration, au scénario follement tarabiscoté, parsemée d'étonnantes incongruités et traversée par des acteurs souvent épatants, apparemment convaincus de leurs rôles, bien au-delà du délire et de la perplexité qui se dégagent de l'ensemble.
  • THE STRANGE ONES (2017)
    Note : 16/20
    Même si au fil de l'histoire, d'une apparente progression de l'intrigue et des évasives déambulations de nos deux personnages principaux, quelques obscurités narratives s'estompent et que d'inquiétantes clarifications s'imposent au spectateur, la densité scénaristique maintient habilement bien des approximations et des imprécisions, générant de subtils porte-à-faux et de raffinés questionnements.
  • JUILLET DE SANG (2014)
    Note : 15/20
    Première incursion dans le polar pour un réalisateur jusqu'alors cantonné dans les productions connotées fantastiques, qui séduit fort, même si la seconde partie du film s'appesantit un peu sur des chemins de traverse plus conventionnels et moins séduisants que les bienvenues séquences de la première heure de projection.
  • MOI, DANIEL BLAKE (2016)
    Note : 17/20
    C'est avec une particulière violence feutrée, efficace et démonstrative, que le réalisateur Ken Loach décrypte à nouveau l'impasse humaine et sociale qui caractérise nos sociétés actuelles régies par des contraintes économiques mortifères, encadrées par une réglementation ubuesque et dominées par de drastiques notions de profit au seul bénéfice d'une poignée de nantis insatiables et criminels.
  • CIGARETTE CANDY (2009)
    Note : 15/20
    Une indéniable acuité cinématographique !
  • L'AFFAIRE SK1 (2013)
    Note : 5/20
    Ces longues et laborieuses investigations judiciaires qui ont duré une bonne dizaine d'années ne sont rien en face de la pénibilité et du harassement ressentis par l'imprudent et suicidaire spectateur durant les cent-vingt minutes que perdure la projection. Une œuvre calamiteuse, vaguement narcissique et d'une pachydermique redondance dans le déroulement de son intrigue hantée par des acteurs qui s'ennuient à mourir, des cadavres féminins toujours explicitement déshabillés, gorge tranchée et foufoune en l'air et des dialogues frisant tout juste le cours élémentaire simplifié.
  • LE CLIENT (2016)
    Note : 17/20
    C'est avec une insidieuse et remarquable efficacité, que notre réalisateur iranien a mis en place et en scène, comme dans la plupart de ses films, un canevas scénaristique volontairement simpliste et basique dont l'intérêt et la structure restent finalement secondaires, pour mieux déployer ensuite d'essentiels et rugueux questionnements éthiques, en souverain démiurge de quelques principes fondamentaux de la morale.
  • DEUX INCONNUS (2011)
    Note : 15/20
    La version courte d'un futur long métrage.
  • A MOST VIOLENT YEAR (2014)
    Note : 16/20
    Du cinéma solide et passionnant qui évite l'esbroufe facile du film d'action, de l'œuvre dénonciatrice et du thriller passe-partout qui s'aventure sur bien des pistes narratives souvent discrètement abandonnées, effleurant quelques sombres manigances à peine (dé)voilées, pour nous laisser qu'une histoire claire et trouble à la fois, loin des traditionnels clichés faciles de l'opposition entre le bon et le méchant.
  • A RUNNING JUMP (2012)
    Note : 13/20
    Sur fond d'activisme sportif et professionnel, un court métrage de Mike Leigh mettant en scène l'agitation et le pragmatisme des différents membres de la famille des Conroy, durant une journée particulièrement chaotique, qui n'apporte et n'enlève rien aux talents du cinéaste, pour lequel on peut préférer les longs métrages.
  • SOCIAL BUTTERFLY (2012)
    Pas de quoi déboucher une bouteille de champagne.
  • CAPTIVES (2013)
    Note : 3/20
    Spontanément, deux dénominatifs viennent à l'esprit sans hésitation : affligeant et saumâtre. En effet, sur un scénario d'une extraordinaire débilité qui accumule les invraisemblances psychologiques et les extravagances technologiques, le réalisateur concocte une histoire malingre avec des personnages sans aucune consistance ni véracité réelles, gigotant dans l'artificiel et le factice, lamentablement.
  • TORDENSTENENE (1927)
    Note : 12/20
    Dans l'ensemble assez entraînant, malgré une histoire d'une confondante bêtise, comme c'est d'ailleurs souvent le cas pour ce genre de narration cinématographique sans intérêt. A noter, en particulier, une scène acrobatique lors d'une tentative d'évasion depuis une toiture par l'intermédiaire d'un câble téléphonique aérien, durant laquelle Carl Schenstrom se serait blessé à une main et aux cuisses.
  • UNE PLUIE SANS FIN (2017)
    Note : 15/20
    Dans la grisaille d'une pluie permanente qui ternit inlassablement les jours, les âmes et les années, avec une conviction et une monotonie toutes asiatiques, la destinée d'une région (d'un pays) et de ses congénères confinés dans une apocalyptique morosité, ainsi tranquillement filmée, assénée, ne pouvait que déclencher les habituelles et drastiques foudres de la censure chinoise.
  • NEW YORK CONFIDENTIEL (1955)
    Note : 17/20
    Beaucoup moins connue et encensée que "La femme à abattre" de Raoul Walsh, cette étonnante production de la Warner Bros a pourtant largement notre préférence, avec son implacable scénario tordu à souhait, un impérial Richard Conte d'une admirable sobriété dans son altière interprétation et une fulgurante Anne Bancroft dans le débordement foudroyant et primesautier de son personnage.
  • BUNNY, OPÉRATION PUSSY (2015)
    Note : 1/20
    Rarement film aura collecté autant d'épithètes négatifs, de qualificatifs péjoratifs, tellement l'ensemble côtoie la bêtise absolue, la stupidité graveleuse et l'ineptie incessante. Même au second ou au vingtième degré, rien n'est à sauver de cette ineptie cinématographique dont l'indigence générale, la vulgarité affichée et l'insupportable crétinerie s'affichent constamment sous un pseudo-humour introuvable.
  • L'ÉTRANGLEUR (2016)
    Note : 16/20
    Un thriller hongrois redoutablement efficace, d'un réalisateur encore trop méconnu dans l'hexagone, qui charpente avec habileté et méthode, un suspense machiavélique et une intrigue souvent époustouflante, dans un pertinent enchaînement de séquences parfaitement maîtrisées dans une folle continuité et progression scénaristiques.
  • LES NOUVEAUX SAUVAGES (2014)
    Note : 15/20
    Cinglant et percutant à souhait, avec pour notre part une prédilection certaine pour l'aérien sketch introductif, on retrouve avec bonheur et l'ambiance bouffonne et cruelle qui avait si pertinemment sévi sur nos écrans, une cinquantaine d'années auparavant dans les terribles et caustiques saynètes du succulent Dino Risi.
  • GRANDS SOIRS ET PETITS MATINS (1978)
    Note : 15/20
    Sur une période essentielle de l'histoire politique de la France.
  • NEKROMANTIK (1987)
    Note : 15/20
    Sur une thématique identique, avec un traitement scénaristique bien moins outrancier et révulsif, on préfère le travail de "Lynne Stopkewich" sur le même sujet.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
TIMBUKTU (2014) 17
NEW YORK CONFIDENTIEL (1955) 17
MA VIE DE COURGETTE (2016) 17
EVOLUTION OF A FILIPINO FAMILY (2004) 17
MOI, DANIEL BLAKE (2016) 17
LE CLIENT (2016) 17
RUE DE LA PAIX (1927) 17
LE CHOEUR DE TOKYO (1931) 16
LA TERRE ÉPHÉMÈRE (2014) 16
A MOST VIOLENT YEAR (2014) 16
KINATAY (2009) 16
LOVE EXPOSURE (2008) 16
LA FIEVRE DES ECHECS (1925) 16
THE STRANGE ONES (2017) 16
L'ÉTRANGLEUR (2016) 16
FÉTICHE EN VOYAGES DE NOCES (1936) 15
FÉTICHE CHEZ LES SIRÈNES (1937) 15
L'ÉPOUVANTAIL (1921) 15
LE LION ET LE MOUCHERON (1932) 15
AMOUR NOIR ET BLANC (1923) 15
JUILLET DE SANG (2014) 15
LES NOUVEAUX SAUVAGES (2014) 15
LE RETOUR A LA RAISON (1923) 15
GRANDS SOIRS ET PETITS MATINS (1978) 15
TROIS VISAGES (2018) 15
POROROCA, PAS UN JOUR NE PASSE (2017) 15
L'AVARIZIA (1918) 15
DOGMAN (2018) 15
CIGARETTE CANDY (2009) 15
DEUX INCONNUS (2011) 15
UNE PLUIE SANS FIN (2017) 15
NEKROMANTIK (1987) 15
LE MARIAGE DE BABYLAS (1921) 14
THE BIRTH OF THE ROBOT (1936) 14
LE DOSSIER MONA LINA (2017) 14
HARLEQUIN (1931) 14
LE LABYRINTHE (2014) 13
A RUNNING JUMP (2012) 13
PAT ET PATACHON MEUNIERS (1924) 12
LE TECKEL (2015) 12
TORDENSTENENE (1927) 12
DOUBLEPATTE ET PATACHON MILLIONNAIRES (1925) 11
VA Y VIEUX FRERE (1923) 11
I DE GODE, GAMLE DAGE (1940) 10
CHILDREN'S CORNER (1936) 10
L'AFFAIRE SK1 (2013) 5
CAPTIVES (2013) 3
BUNNY, OPÉRATION PUSSY (2015) 1