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NEW YORK CONFIDENTIEL-1955-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : New York confidential
Durée : 1h28
Date de sortie en France : 22/07/1955
Genre : FILM NOIR
Themes
Hôtels
- cinéma américain -
Suicide
- cinéma américain -
Réalisation : Russell ROUSE
Inspiration : D'après un livre de Jack LAIT et Lee MORTIMER
Prise de vues : Eddie FITZGERALD
Musique : Joseph MULLENDORE
Visa d'exp. : 16811
Résumé
Ponte incontesté de la pègre new-yorkaise, Charlie Lupo demande à son homologue de Chicago, de lui prêter un tueur pour liquider un certain Androtti, homme de main insubordonné qui avait pris quelques malencontreuses et gênantes initiatives. On lui dépêche le dénommé Nick Magellan qui s'exécute avec efficacité et célérité au point de devenir le garde-du-corps personnel de son puissant commanditaire. Ce dernier, veuf guère inconsolé, fort lié à sa vieille mère qu'il chérit énormément, est père d'une dynamique et fort irascible jeune fille qui aimerait quitter ce milieu violent et pourri où tout s'achète et se vend, même et surtout les relations et les situations. Lorsqu'une lucrative affaire de transport de pétrole échoue, à cause de la trahison d'un membre de la sphère décisionnelle de l'ensemble des syndicats du crime, un vote unanime homologue l'élimination du traître. Trois tueurs sont chargés de la sale besogne qu'ils exécutent, mais laissant stupidement quelques indices pouvant mener jusqu'à Lupo et mettre en danger toute l'organisation. C'est Nick qui est à nouveau chargé d'éradiquer le maladroit trio pour éviter toute propagation des éléments compromettants, surtout qu'un puissant comité anti-criminalité vient d'être constitué sous l'égide du redoutable juge Kincaid, diligenté par d'incorruptibles policiers du FBI. Notre homme de confiance parvient à éliminer deux des protagonistes alors que le troisième a trouvé refuge dans le milieu judiciaire, tout disposé à parler contre une certaine forme d'immunité.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 17/20
Beaucoup moins connue et encensée que "La femme à abattre" de Raoul Walsh, cette étonnante production de la Warner Bros a pourtant largement notre préférence, avec son implacable scénario tordu à souhait, un impérial Richard Conte d'une admirable sobriété dans son altière interprétation et une fulgurante Anne Bancroft dans le débordement foudroyant et primesautier de son personnage.
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